Sébastien Jallamion
Ancien Policier, Président de l’Association Nationale de Défense Egalitaire de la Liberté d’Expression (ANDELE), membre du SIEL
Nombreux sont ceux qui ont dû répondre devant la Justice de la teneur de leurs propos jugés « islamophobes » par le CCIF.
La presse s’est fait l’écho d’informations pour le moins inquiétantes…
Fissenou Sacko a fait l’objet de deux expertises psychiatriques, menées par un collège d’experts, et vient d’être reconnu irresponsable pénalement.
Il y a ceux qui « pensent mal », contre lesquels tous les coups sont permis, et ceux qui se croient dans « le camp du bien ».
Cet enfumage ne pourra pas durer éternellement.
Les islamistes ont pignon sur rue en France. Les salafistes nous narguent. Les Frères musulmans prospèrent.
« La grogne qui se fait entendre au sein de nos institutions démontre à elle seule qu’une crise importante est en cours. »
Le mouvement qui a pour particularité de se détacher de toute formation syndicale ou de tout bord politique, entend donc réitérer son cri d’alarme.
La question des moyens accordés aux forces armées est primordiale.
Au delà d’un certain nombre, les populations exogènes sont inévitablement sources de conflit.
Dans son livre « À mort le flic », Sébastien Jallamion raconte ce qu’il appelle « sa descente aux enfers » depuis septembre 2014.
Des centaines de bornes à incendie font l’objet d’ouvertures sauvages en région parisienne, et essentiellement en Seine-Saint-Denis.
Être condamné pour s’être exprimé sur les réseaux sociaux est une chose. Être privé de liberté pour ce genre d’infraction en est une autre.
Les premières victimes seront encore et toujours nos concitoyens les plus fragiles et les plus exposés…
Il pourrait y avoir une escalade de la violence, les policiers n’ayant alors d’autre choix que d’utiliser leur arme de service pour sauver leur peau.
Les islamistes doivent être combattus avec la plus grande fermeté et la plus grande détermination.
Nombreux sont ceux qui ont dû répondre devant la Justice de la teneur de leurs propos jugés « islamophobes » par le CCIF.
La presse s’est fait l’écho d’informations pour le moins inquiétantes…
Fissenou Sacko a fait l’objet de deux expertises psychiatriques, menées par un collège d’experts, et vient d’être reconnu irresponsable pénalement.
Il y a ceux qui « pensent mal », contre lesquels tous les coups sont permis, et ceux qui se croient dans « le camp du bien ».
Cet enfumage ne pourra pas durer éternellement.
Les islamistes ont pignon sur rue en France. Les salafistes nous narguent. Les Frères musulmans prospèrent.
« La grogne qui se fait entendre au sein de nos institutions démontre à elle seule qu’une crise importante est en cours. »
Le mouvement qui a pour particularité de se détacher de toute formation syndicale ou de tout bord politique, entend donc réitérer son cri d’alarme.
La question des moyens accordés aux forces armées est primordiale.
Au delà d’un certain nombre, les populations exogènes sont inévitablement sources de conflit.
Dans son livre « À mort le flic », Sébastien Jallamion raconte ce qu’il appelle « sa descente aux enfers » depuis septembre 2014.
Des centaines de bornes à incendie font l’objet d’ouvertures sauvages en région parisienne, et essentiellement en Seine-Saint-Denis.
Être condamné pour s’être exprimé sur les réseaux sociaux est une chose. Être privé de liberté pour ce genre d’infraction en est une autre.
Les premières victimes seront encore et toujours nos concitoyens les plus fragiles et les plus exposés…
Il pourrait y avoir une escalade de la violence, les policiers n’ayant alors d’autre choix que d’utiliser leur arme de service pour sauver leur peau.
Les islamistes doivent être combattus avec la plus grande fermeté et la plus grande détermination.
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