Parmi eux se trouve le directeur d’une organisation caritative musulmane.
Aujourd’hui, Boris Johnson est l’homme de la situation…
Le sondage en projections de voix YouGov, en fin de semaine dernière, prédit 359 sièges (la majorité est à 326) pour les conservateurs, loin devant les 211 du Labour…
En fait, de révélation, rien. Toujours les trois ou quatre mêmes anecdotes éventées qui, la plupart du temps, sont ambivalentes sous l’angle du bien ou du mal.
La BBC Radio 4 aurait-elle confondu la fille du père Noël avec celle du père Fouettard ? En effet, la Suédoise Greta Thunberg sera rédactrice en chef
Le Premier ministre Johnson et le chef de l’opposition Corbyn s’affrontaient, mardi soir, lors de leur premier face-à-face télévisé sur ITV.
La « bêtise à front de taureau » dont parle Baudelaire devient chaque jour plus violente et plus hystérique.
Boris Johnson n’a jamais été aussi près de réussir son pari.
La campagne va être terrible. Les anti-Brexit vont jeter toutes leurs forces dans la bataille, avec l’énergie du désespoir.
Les élections anticipées auront lieu jeudi 12 décembre. La campagne sera monstrueuse.
Jouer ainsi sur la peur est la méthode « globaliste » à l’œuvre, que ce soit à propos du climat ou du Brexit, mais curieusement jamais à propos de la submersion migratoire.
C’est la première fois que le Parlement britannique approuve un texte lié au Brexit, voté en juin 2016 par 52 % des Britanniques.
In fine, le peuple aura le dernier mot puisqu’il y aura des élections générales…
Aujourd’hui, certains parlent de compromission…
Confiant, le ministre des Finances britannique Sajid Javid a annoncé, lundi, qu’il présenterait, le 6 novembre, son « premier budget après la sortie de l’Union européenne ».
Les Britanniques derrière Boris Johnson veulent quitter l’Union européenne pour Halloween.
Mais le report sans fin du Brexit rappelle le supplice de Prométhée, et BoJo se vit en Héraclès, héros grec qui le sauva.
Saperlipopette, sont-ce ses mauvaises fréquentations californiennes qui ont ensauvagé notre cher Hugh Grant au point d’utiliser des f*** à tout va, en s’adressant par tweet au Premier ministre du Royaume-Uni, ou bien son sang écossais qui n’a fait qu’un tour ?
Cette éventuelle « pire des situations », ce n’est quand même pas « le sang, le labeur, les larmes et la sueur » » offerts par son illustre prédécesseur Sir Winston Churchill.
Les conservateurs anglais ont toujours su trouver la personne qu’il fallait quand l’Histoire leur donnait rendez-vous.
La France doit se redresser, et pour cela, elle a besoin d’une droite à l’idéologie forte.
Non, Mesdames Binoche et Béart, les gilets jaunes ne vous demandent rien, et surtout pas votre fausse compassion de dames patronnesses, pousse-au-crime, qui justifient la violence.
D’une main, Mitterrand relançait le FN, de l’autre, il adoubait la création de SOS Racisme afin de maintenir son ostracisation. Les mâchoires du piège étaient tendues, la droite chiraquienne n’avait plus qu’à se jeter dedans…
Comme dans La Lettre volée d’Edgar Allan Poe, l’argent est là, sous notre nez.
Parmi eux se trouve le directeur d’une organisation caritative musulmane.
Aujourd’hui, Boris Johnson est l’homme de la situation…
Le sondage en projections de voix YouGov, en fin de semaine dernière, prédit 359 sièges (la majorité est à 326) pour les conservateurs, loin devant les 211 du Labour…
En fait, de révélation, rien. Toujours les trois ou quatre mêmes anecdotes éventées qui, la plupart du temps, sont ambivalentes sous l’angle du bien ou du mal.
La BBC Radio 4 aurait-elle confondu la fille du père Noël avec celle du père Fouettard ? En effet, la Suédoise Greta Thunberg sera rédactrice en chef
Le Premier ministre Johnson et le chef de l’opposition Corbyn s’affrontaient, mardi soir, lors de leur premier face-à-face télévisé sur ITV.
La « bêtise à front de taureau » dont parle Baudelaire devient chaque jour plus violente et plus hystérique.
Boris Johnson n’a jamais été aussi près de réussir son pari.
La campagne va être terrible. Les anti-Brexit vont jeter toutes leurs forces dans la bataille, avec l’énergie du désespoir.
Les élections anticipées auront lieu jeudi 12 décembre. La campagne sera monstrueuse.
Jouer ainsi sur la peur est la méthode « globaliste » à l’œuvre, que ce soit à propos du climat ou du Brexit, mais curieusement jamais à propos de la submersion migratoire.
C’est la première fois que le Parlement britannique approuve un texte lié au Brexit, voté en juin 2016 par 52 % des Britanniques.
In fine, le peuple aura le dernier mot puisqu’il y aura des élections générales…
Aujourd’hui, certains parlent de compromission…
Confiant, le ministre des Finances britannique Sajid Javid a annoncé, lundi, qu’il présenterait, le 6 novembre, son « premier budget après la sortie de l’Union européenne ».
Les Britanniques derrière Boris Johnson veulent quitter l’Union européenne pour Halloween.
Mais le report sans fin du Brexit rappelle le supplice de Prométhée, et BoJo se vit en Héraclès, héros grec qui le sauva.
Saperlipopette, sont-ce ses mauvaises fréquentations californiennes qui ont ensauvagé notre cher Hugh Grant au point d’utiliser des f*** à tout va, en s’adressant par tweet au Premier ministre du Royaume-Uni, ou bien son sang écossais qui n’a fait qu’un tour ?
Cette éventuelle « pire des situations », ce n’est quand même pas « le sang, le labeur, les larmes et la sueur » » offerts par son illustre prédécesseur Sir Winston Churchill.
Les conservateurs anglais ont toujours su trouver la personne qu’il fallait quand l’Histoire leur donnait rendez-vous.
La France doit se redresser, et pour cela, elle a besoin d’une droite à l’idéologie forte.
Non, Mesdames Binoche et Béart, les gilets jaunes ne vous demandent rien, et surtout pas votre fausse compassion de dames patronnesses, pousse-au-crime, qui justifient la violence.
D’une main, Mitterrand relançait le FN, de l’autre, il adoubait la création de SOS Racisme afin de maintenir son ostracisation. Les mâchoires du piège étaient tendues, la droite chiraquienne n’avait plus qu’à se jeter dedans…
Comme dans La Lettre volée d’Edgar Allan Poe, l’argent est là, sous notre nez.
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