Moins de 5 % : pas d’élus. Moins de 3 % : pas d’élus, pas de remboursement des frais de campagne… Et l’éviction de Jean-Frédéric Poisson risque de ne pas arranger les affaires.
Grand, moyen, petit – tout est question d’appréciation -, cela s’appelle un remplacement.
Insoutenable veulerie d’une majorité d’élus locaux, préférant subir des décisions qu’ils considèrent pourtant comme injustifiables, plutôt que de se battre…
Et, il faut bien l’avouer, le chef de l’État avait l’air plutôt en forme : l’air marin de Brégançon, sans doute…
Quand on a touché le fond, on ne peut que remonter. Mais quand on n’a pas encore touché le fond ?
La réalité terroriste nous rappelle à l’ordre depuis Strasbourg.
Aussitôt atteint une marche, il faut viser la suivante.
N’avons-nous pas, ici, une sorte de Grand Guignol comme on le joue à Lyon au pied de la colline de Fourvière ?
Le jeune homme ne portait pas d’oreillette et ne filtrait pas les entrées avec la sécurité.
Moins de 5 % : pas d’élus. Moins de 3 % : pas d’élus, pas de remboursement des frais de campagne… Et l’éviction de Jean-Frédéric Poisson risque de ne pas arranger les affaires.
Grand, moyen, petit – tout est question d’appréciation -, cela s’appelle un remplacement.
Insoutenable veulerie d’une majorité d’élus locaux, préférant subir des décisions qu’ils considèrent pourtant comme injustifiables, plutôt que de se battre…
Et, il faut bien l’avouer, le chef de l’État avait l’air plutôt en forme : l’air marin de Brégançon, sans doute…
Quand on a touché le fond, on ne peut que remonter. Mais quand on n’a pas encore touché le fond ?
La réalité terroriste nous rappelle à l’ordre depuis Strasbourg.
Aussitôt atteint une marche, il faut viser la suivante.
N’avons-nous pas, ici, une sorte de Grand Guignol comme on le joue à Lyon au pied de la colline de Fourvière ?
Le jeune homme ne portait pas d’oreillette et ne filtrait pas les entrées avec la sécurité.