
Et si je n’ai pas envie de prendre ce congé « obligatoire », on va m’y obliger ? M’envoyer la « brigade des nurses » ?

C’est passé sournoisement, « en loucedé » en mai dernier…

Pour les honnêtes gens, la récidive au sortir de la prison est un scandale que les règles actuellement applicables ne permettent pas d’éviter.

La cité d’Anne de Bretagne accueille sur la place Royale une délicate œuvre d’art nommée La femme qui pisse.

Soulagé, enfin, que, par la grâce d’un semblable avertissement, ce film subversif ne soit pas poursuivi devant la justice pour discrimination et incitation à la haine gendarmesque…

Le Président Macron n’a pas dit un mot du sujet dans ses deux dernières interventions du mois de juillet. Pas plus que le Premier ministre dans son discours de politique générale.

La solution au développement de l’Afrique se trouve en Afrique, pas en France ou en Europe. Avec les Africains qui, au lieu de déserter, devraient se retrousser les manches.

Qu’est-ce que l’écologie peut avoir à faire avec le business de Mlle Traoré ? Rien ! Mais on converge…

La France est devenue une terre fissile : gare à l’explosion.

L’abstention nationale au premier tour a atteint 55,34 %, taux strictement identique à celui de Malville. La conséquence s’impose dans la droite ligne de la jurisprudence du tribunal administratif de Nantes : il faut immédiatement annuler le premier tour des municipales dans toutes les communes…

« Ils ont ga–gné ! » « Ils ont ga–gné ! », comme on dit après une partie de foot. « Ils », ce sont les écolos, bien sûr. Le Président

Un proverbe, qui serait africain, dit : « Si tu veux monter au cocotier, tu dois avoir les fesses propres ! »

Avant 1685, en matière d’esclavage, tout était permis puisque rien n’était interdit. Alors, Colbert rédigea le Code noir que Louis XIV signa.

Saturez les ondes, gueulez qu’on est dirigés par des incompétents, hurlez à la mort de la France si on laisse le pays aux mains des communautaristes, enfin, faites votre boulot !

Au chapitre de l’hygiène de vie, les chasses d’eau seront systématiquement munies d’un dispositif ne libérant l’eau qu’une fois par semaine.

Ces onze gamins sont morts pour vous. C’est devant leur mémoire que vous devriez plier le genou.

Une démission est irréversible.

À l’heure qu’il est, elle est certainement en train de chercher comment se remettre en selle.

Depuis quand la politique sanitaire de la France se fait-elle dans les salles de rédaction des journaux ?

Ce texte a recueilli votre accord puisque vous l’avez voté. Je serais honoré que vous puissiez m’apporter des réponses concrètes…

L’État, obèse et boursouflé, s’insinue partout, dans tous les interstices.

Je tente de comprendre : « On n’a plus le droit de dire “j’aime pas” : c’est ça ? » Sa réponse me crucifie : « Même les idiots l’avaient compris ! » m’assène-t-il…

La question est très simple : qu’est-ce que l’État vient faire là-dedans ?

Dans une courte tribune publiée dans Le Monde, Mme Binoche a décidé de verser dans le pathos et le catastrophisme ; c’est bien vu, par les temps qui courent.

Alors, se demande le bon peuple, pourquoi tant de fausse prudence pour les conseils municipaux ?

Au diable ce masque « afnorisé » ! Je ferai comme John Wayne : un foulard triangulaire sur le museau ; pas besoin de 36 pages pour faire un nœud sur la nuque.
Le préfet, jugulaire, jugulaire jusqu’au bout de sa casquette chamarrée, demande que la délibération du conseil départemental, celle qui créé ce fonds d’aide, soit annulée.

Je me demande bien quelle peut être cette « population qui suit le ramadan » ! Si vous avez la réponse, merci d’écrire à Boulevard Voltaire qui fera suivre.

Et si je n’ai pas envie de prendre ce congé « obligatoire », on va m’y obliger ? M’envoyer la « brigade des nurses » ?

C’est passé sournoisement, « en loucedé » en mai dernier…

Pour les honnêtes gens, la récidive au sortir de la prison est un scandale que les règles actuellement applicables ne permettent pas d’éviter.

La cité d’Anne de Bretagne accueille sur la place Royale une délicate œuvre d’art nommée La femme qui pisse.

Soulagé, enfin, que, par la grâce d’un semblable avertissement, ce film subversif ne soit pas poursuivi devant la justice pour discrimination et incitation à la haine gendarmesque…

Le Président Macron n’a pas dit un mot du sujet dans ses deux dernières interventions du mois de juillet. Pas plus que le Premier ministre dans son discours de politique générale.

La solution au développement de l’Afrique se trouve en Afrique, pas en France ou en Europe. Avec les Africains qui, au lieu de déserter, devraient se retrousser les manches.

Qu’est-ce que l’écologie peut avoir à faire avec le business de Mlle Traoré ? Rien ! Mais on converge…

La France est devenue une terre fissile : gare à l’explosion.

L’abstention nationale au premier tour a atteint 55,34 %, taux strictement identique à celui de Malville. La conséquence s’impose dans la droite ligne de la jurisprudence du tribunal administratif de Nantes : il faut immédiatement annuler le premier tour des municipales dans toutes les communes…

« Ils ont ga–gné ! » « Ils ont ga–gné ! », comme on dit après une partie de foot. « Ils », ce sont les écolos, bien sûr. Le Président

Un proverbe, qui serait africain, dit : « Si tu veux monter au cocotier, tu dois avoir les fesses propres ! »

Avant 1685, en matière d’esclavage, tout était permis puisque rien n’était interdit. Alors, Colbert rédigea le Code noir que Louis XIV signa.

Saturez les ondes, gueulez qu’on est dirigés par des incompétents, hurlez à la mort de la France si on laisse le pays aux mains des communautaristes, enfin, faites votre boulot !

Au chapitre de l’hygiène de vie, les chasses d’eau seront systématiquement munies d’un dispositif ne libérant l’eau qu’une fois par semaine.

Ces onze gamins sont morts pour vous. C’est devant leur mémoire que vous devriez plier le genou.

Une démission est irréversible.

À l’heure qu’il est, elle est certainement en train de chercher comment se remettre en selle.

Depuis quand la politique sanitaire de la France se fait-elle dans les salles de rédaction des journaux ?

Ce texte a recueilli votre accord puisque vous l’avez voté. Je serais honoré que vous puissiez m’apporter des réponses concrètes…

L’État, obèse et boursouflé, s’insinue partout, dans tous les interstices.

Je tente de comprendre : « On n’a plus le droit de dire “j’aime pas” : c’est ça ? » Sa réponse me crucifie : « Même les idiots l’avaient compris ! » m’assène-t-il…

La question est très simple : qu’est-ce que l’État vient faire là-dedans ?

Dans une courte tribune publiée dans Le Monde, Mme Binoche a décidé de verser dans le pathos et le catastrophisme ; c’est bien vu, par les temps qui courent.

Alors, se demande le bon peuple, pourquoi tant de fausse prudence pour les conseils municipaux ?

Au diable ce masque « afnorisé » ! Je ferai comme John Wayne : un foulard triangulaire sur le museau ; pas besoin de 36 pages pour faire un nœud sur la nuque.
Le préfet, jugulaire, jugulaire jusqu’au bout de sa casquette chamarrée, demande que la délibération du conseil départemental, celle qui créé ce fonds d’aide, soit annulée.

Je me demande bien quelle peut être cette « population qui suit le ramadan » ! Si vous avez la réponse, merci d’écrire à Boulevard Voltaire qui fera suivre.
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