Beau moment de vivrensemble : à Cholet, les « migrants mineurs isolés » se retrouvent pour faire la fête
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Il n'y a, pour l'instant, pas grand-chose sur le calendrier républicain à la date du 28 décembre, mais ça pourrait ne pas durer. À Cholet, dans le Maine-et-Loire, on a des idées citoyennes : l'association La Cité La Gautrêche, par exemple, voulait fêter la fin de l'année avec ses amis « mineurs migrants isolés », mais il y avait apparemment un problème de date. On ne pouvait pas, disent les bénévoles, fêter Noël. On se demande bien pourquoi. Ça n'a pas empêché un certain Moïse d'offrir un cadeau à sa marraine française. On constate, au passage, que nos nouveaux hôtes ont des marraines, comme les poilus de 14. Il y aurait un parallèle intéressant à faire entre les hommes français qui luttaient pour que la France ne soit jamais envahie et ceux qui viennent de l'étranger pour la « grand-remplacer ». Chaque époque a ses héros.
Bref, le 28 décembre, on avait mis les petits plats dans les grands, dans les locaux de la « structure d'accueil ». Ahmed, 17 ans, préparait « des crêpes et des roses des sables ». Trente jeunes « femmes et hommes », invités par la vingtaine de bénévoles, se sont ensuite retrouvés pour « écouter de la musique raï » ou encore « jouer à un jeu d'anneaux », rapporte Ouest-France. 95 % de ces survivantes et survivants, qui ont probablement échappé au pire (sans qu'on sache trop ce que c'est), sont de religion musulmane (et, bon sang mais c'est bien sûr, voilà pourquoi il ne fallait pas parler de Noël !), et il fallait donc leur trouver un moment festif « entre deux fêtes ». Jean-Yves, l'un des bénévoles, est en tout cas attendri par le spectacle de trois jeunes jouant au baby-foot quand on sait « ce qu'ils ont traversé ».
En réalité, nous savons tous très bien ce que ces clandestins, qui ne sont souvent ni mineurs ni isolés, ont traversé : la Méditerranée. Du moins, la plupart du temps. On sait même comment : en Zodiac™, pour une somme rondelette, puis à bord de l'un de ces taxis qui naviguent dans le coin, comme l'Ocean Viking par exemple. Trop mineurs pour être chauffeurs Uber, trop majeurs pour aller à l'école, certains seront peut-être, in fine, délinquants inexpulsables ad vitam aeternam sur le sol français, comme tant d'autres. « Ça remplit le cœur », confie Jean-Yves à Ouest-France. Ça peut le soulever, aussi.
En attendant la prochaine cargaison de migrants, qui ne veulent pas fêter Noël mais ne crachent pas sur un petit moment festif organisé par « les assoces », on peut toujours lire ce reportage, écrit dans l'inimitable style de la presse quotidienne régionale et qui jette une lumière (hélas) déjà vue cent fois sur l'intégration, par des associations de boomers désœuvrés, de nos futurs concitoyens. Bonne fête du 28 décembre à elles et eux toutes et tous. Et n'oublions pas, quant à nous, de prendre de solides résolutions pour 2023. Ce sera toujours ça.
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32 commentaires
Des marraines toutes émoustillées par l’approche de ces jeunes et fringants éphèbes, un peu d’exotisme pour changer de leur vie quotidienne…
J’ai l’impression avec ce genre de kermesse que c’est la destruction de notre civilisation que l’on fête . De plus, quand , ces bisounours invétérés vont-ils comprendre que les populations qui s’invitent chez nous, ne sont pas des chrétiens comme tout le monde ? Ils ne voient en ces réjouissances, gracieusement offertes par le contribuable, qu’une opportunité à saisir, et non pas une leçon de générosité à recevoir ! Surtout que les mêmes qui se prêtent à ce genre de charité mal placée, auraient été incapables d’organiser cela pour nos vieux, nos pauvres ,et nos isolés ; ou les trois à la fois , et nombreux dans nos provinces !
« Côte à côte un jour, face à face un autre….. » comme l’a dit approximativement G. COLOMB. Souhaitons à ces bénévoles qu’ils n’aient pas à le regretter car jusqu’à maintenant, la reconnaissance de ces gens est très particulière, tu donnes d’une main, ils te coupent l’autre….. Cela dit, il faudrait impérativement CESSER de subventionner ces associations, ça ne sert qu’à développer INSECURITE et MISERE en France.
Il n’y a que moi, qui ait passé 20 ans dans le Maine et Loire, que cette histoire étonnera ? Je ne dis pas qu’elle ne peut pas se passer ailleurs mais j’ai vu de près, sans les fréquenter, toutes ces bonnes âmes, avides de gagner leur paradis sur terre en pratiquant les « bonnes oeuvres ». Certes, il faut aider son prochain, sans tomber dans l’idolâtrie qui mène souvent à la bêtise crasse. Cet article est excellent et décrit parfaitement ce que j’ai pu observer.