Bus réservés aux Juifs à Londres, places de parking pour les femmes en France
Nous vous en parlions l’été dernier. À la suite du viol d’une Française par un migrant nigérian, au mois d’août, dans un sous-sol de Metz, le maire de la ville a eu une riche idée : réserver aux femmes des places de parking. Celles-ci sont situées « à proximité des sorties » afin de permettre aux dames de prendre plus facilement la poudre d’escampette à l’approche d’hommes aux intentions louches… Il était prévu d’en installer une cinquantaine à travers la ville, mais face au plébiscite, la mairie a doublé les emplacements et, aussi, ajouté des caméras.
Suite au viol d'une femme par un migrant clandestin à Metz , le maire va créer des places spécifiques aux femmes proches des entrées et sorties de parking.
Pour courir plus vite pour échapper aux violeurs ?
Il va vraiment falloir se reprendre dans ce payshttps://t.co/kwxJY4s6Xj— Jon De Lorraine (@jon_delorraine) August 31, 2024
Depuis, la disposition semble ravir les conductrices. « Quand on doit se déplacer dans l’obscurité, on se sent davantage rassurées, c’est indéniable », témoigne ainsi Sylvie, jeune maman interrogée par Le Parisien. « C’est une très bonne initiative, abonde une autre, cliente du centre commercial Saint-Jacques, en centre-ville. Car Metz est devenue une ville anxiogène. » Anxiogène, pour ne pas dire dangereuse…
La banalisation de l’inacceptable
La bien-pensance veut nous faire croire que les hommes d’avant se comportaient affreusement avec les femmes et que la révolution MeToo aurait changé la donne. Il n’en est rien. Viol, tentative de viol, agression sexuelle, proxénétisme, harcèlement sexuel, exhibition... les crimes et délits à caractère sexuel (hors cadre familial) enregistrés par la police et la gendarmerie ont encore été en hausse de 6 %, sur l'année 2023. Mais plutôt que de lutter efficacement contre cet essor intolérable des violences sexuelles, les autorités s’y adaptent. Elles font avec.
À Paris, la RATP a testé, fin 2023, son nouveau dispositif contre les violences sexistes et sexuelles avec des « safe places », c’est-à-dire des endroits dans lesquels se réfugier en cas d’agression. Sur le même principe, les fêtes de Bayonne se sont parées, depuis 2022, du logo « Safe Toki » – signifiant « lieu sûr », en anglo-basque, et qui signale les peñas où sont accueillies les femmes en danger. À Marseille, enfin, l’appli « Safer Plages » permet aux victimes de harcèlement de lancer l’alerte et de déclencher l’intervention d’une équipe de médiation spécialisée…
https://twitter.com/marseille/status/1829413811549245749
L’initiative de Metz fait immanquablement penser à une autre expérimentation, faite cette fois à Londres, où une ligne de bus spéciale a été lancée dans le but de permettre aux citadins de confession juive de se sentir « en sécurité lorsqu'ils voyagent ». À Berlin, les autorités locales sont allées encore plus loin et ont carrément déconseillé aux Juifs et aux homosexuels de se rendre dans les « quartiers dans lesquels vivent une majorité de personnes d’origine arabe ».
Jusqu’où ira cette démission du politique ? Conseillera-t-on, bientôt, aux Juifs de partir en Israël s’ils veulent rester en vie ? Invitera-t-on les femmes à se voiler pour ne pas être agressées sexuellement ? Ou peut-être à rester à la cuisine et à s’emmurer vivantes, comme c’est désormais la règle en Afghanistan ?
L’impensé migratoire
Plutôt que de multiplier partout les « safe spaces », il s’agirait de s’attaquer à l'une des racines du problème. Celle-ci est bien connue de ceux qui s’intéressent au sujet : on sait, en effet, de source officielle, que, s’ils ne représentent que 8 % de la population vivant en France, les étrangers commettent 13 % des violences sexuelles. Leur part bondit dans les zones où ils sont fortement présents, comme en Île-de-France où ils sont les auteurs d’une grosse majorité (63 %) des agressions sexuelles commises dans les transports en commun. Le harcèlement de rue est également un fléau dont l’origine étrangère est reconnue par tous. « Quand on a fait la loi sur le harcèlement de rue en 2018, nos premiers opposants n’étaient pas des réactionnaires voulant conserver le droit à importuner, mais des collectifs dits féministes intersectionnels qui avaient peur de stigmatiser les "hommes racisés", se souvient Marlène Schiappa, à l'origine du projet. Leur raisonnement part du principe que le harcèlement de rue serait commis par des hommes racisés et qu’il serait très urgent de protéger ces agresseurs parce qu’eux-mêmes seraient victimes d’on ne sait quelle oppression dans leur vie personnelle… »
En attendant, notre société paraît condamnée à multiplier les zones d’apartheid sexuel et, finalement, à restreindre la liberté fondamentale des femmes à aller où elles le souhaitent.
Jean Kast
Journaliste indépendant, culture et société
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67 commentaires
encore un signe de soumission se deviens a pleurer
L’art de casser le thermomètre.
Dans les années 70 les femmes pouvaient être seins nus sur la plage, aucune agression ou geste déplacé.
Maintenant mêmes en survêtement elles sont victimes de certains mâles patibulaire mais presque. Et les hommes normaux en pâtissent aussi
Ai lieu de traiter le problème à sa source, ce gouvernement de rigolos ne connaît que des pansements pendant qu’il laisse entrer les responsables de cet » ensauvagement » !!
Toujours plus de racailles chaque jour, donc tjrs plus de policiers, et des solutions de parking…des couvre-feux…agrandir les trottoirs….pendant que les islamistes ,Coran en bandoulière, se marrent et gagnent du terrain… on n’a jamais vu un gouvernement aussi nocif!!
Grâce au communautarisme et au tri des humains, les bourreaux trouveront leurs proies plus facilement.
Le pire ? Certains soutiennent que c’était moins bien avant. A douter de leurs facultés. Par exemple, avant ? La justice laissait le sang sur les mains des délinquants. Ils étaient jugés en conséquence. Aujourd’hui ? La justice porte sur ses mains une partie du sang versé par les délinquants lesquels sont jugés avec dilettantisme ce qui les encouragent à récidiver « en mieux » .
J’arrive hier midi à l’aéroport Charles de Gaulle terminal 3 où la sono diffuse toutes les 5´ un message invitant les touristes à ne pas répondre aux sollicitations de taxi garés juste aux portes de sorties mais qu’il faut se diriger vers les zones attribuées aux vrais professionnels effectivement, des « taxis « sont garés prêts à sauter sur le nigaud qui n’a même pas le temps de dire où il va que son bagage est déjà engouffré dans le coffre par le chauffeur . Ensuite c’est à la gare Roissy CdG où vous êtes accompagné par la sono qui diffuse régulièrement un message vous invitant à faire attention aux pickpockets présents dans la zone …bienvenu en France ! J’étais sidéré de une telle ambiance . Je connais pas mal d’aéroports ou autres gares à travers le monde ( sauf l’Afrique où je n’y ai jamais mis les pieds ) et il n’y a qu’en France où je reçois un tel accueil
Après CDG vous pouvez vous rendre en Afrique, vous ne serez pas dépaysé.
C’est curieux, les néo-féministes veulent une société sans hommes (leur semence seule est nécessaire à la perpétuation de l’espèce), les islamistes veulent une société sans femmes (leur ventre seul est nécessaire à la perpétuation de l’espèce). En Afghanistan ou en Iran, ils n’ont que les islamistes, en France nous avons droit à la double peine : les islamistes et les néo-féministes. Et en plus, il faudrait faire cohabiter les deux dans la même société …!
Cette « brillante idée » du maire de Metz, illustre bien sa myopie. Alors, maintenant le nigérien mal-veillant va-t-il pouvoir s’en prendre aux individus de sexe masculin? J’invite les maires de France à ne surtout pas suivre l’exemple du maire de Metz, mais plutôt à faire preuve de courage en expulsant de tels nigériens du territoire français et en équipant ces endroits de parking avec plus d’agents de sécurité.
Les islamistes sont très forts, ils n’ont même pas à prendre le pouvoir pour appliquer leur programme, ce sont nos dirigeants qui s’en chargent ! On ne pourra même pas accuser les islamistes quand nos femmes seront cloîtrées comme en Afghanistan, ils nous rétorqueront (à raison) qu’ils n’y sont pour rien et que les reproches devraient être adressés à la caste politique en place depuis 50 ans. C’est vraiment désespérant.
C’est exactement ce que je me suis dit en lisant cet article . Nos élus se font les bras droits des islamistes . Avec les meilleures intentions du monde certainement, les voilà devenus nos gardiens de la préservation de notre vertu . Je n’aurai jamais pensé vivre dans un monde comme cela un jour et à l’aube de cette nouvelle année , je m’en désole
Quand j’ai une fuite d’eau dans ma maison , je vais couper l’arrivée générale !! Elémentaire !
Nos dirigeants vont chercher des serpillères et des bassines et épongent ,mais la fuite continue à inonder!!
On va tolérer jusque où ?? Méthode des Talibans pour que les femmes ne sortant plus , ne risqueront rien ??
Bien d’accord .
Excellente métaphore !
Mieux que cela, la baignoire déborde, ils ne ferment pas le robinet et ils essorent la serpillière au dessus de la dite baignoire débordante. Affligeant.
Et si ça ce n’est pas de la discrimination, c’est quoi alors ? Le comble, ces discriminations sont financés par de l’argent public exactement comme sous le régime hitlérien. Et cela ne choque pas les droits de l’hommiste qui prolifèrent en Europe et tout particulièrement cela ne choque pas nos féministes tellement promptes à s’élever contre des discrimination « bidons », écran de fumée pour éviter de s’attaquer aux vrais problèmes, aux vraies discriminations qui touchent de plus en plus les femmes dans nos pays qui furent un moment donné à la pointe de la civilisation, mais dont la civilisation est quotidiennement attaqué par des hordes barbares issue d’une autre civilisation que notre civilisation judéo chrétienne.
La marche vers « safe France » est bien avancée…
Ces initiatives sont scandaleuses, elles sont tout sauf égalitaires et encore moins courageuses. Et pourquoi pas, après des parkings, des rues réservées aux femmes, ou même des immeubles, puisque certains de ces actes criminels se sont produits jusqu’au domicile des victimes, et aussi des commerces réservés aux minorités sexuelles qui, parfois, ont à subir des brimades, pire, des agressions, et aussi des bus ou des wagons réservés aux femmes ? Comme à Londres ou dans certains pays musulmans ? C’est de l’enfumage, de la lâcheté, de la perversion, une fois de plus. Quand pourrons-nous collectivement, cette fois-ci, espérer pouvoir compter sur des politiques qui auront enfin le courage d’agir sur l’une des causes principales de ces crimes et de ces délits que certains subissent, et particulièrement sur ceux odieux dont sont victimes certaines femmes, des causes issues trop souvent de l’immigration, la même immigration qu’ils appellent encore de leurs vœux par pur idéologie ou par électoralisme pervers depuis plus de quarante ans ?
On marche sur la tête. Au lieu de résoudre des pbms de société pour le bien de tous on « marginalise » des tranches de population. Personnellement en tant que femme je ne m’interdis aucun lieu où j’ai à me rendre pour motif personnel ou professionnel! Et si je me rends dans des endroits qui craignent je sors accompagnée de mon meilleur garde du corps, mon Berger Allemand de 50 kg :)
Vera, faites attention à votre chien. « Ils » ont tous au minimum un couteau en poche et n’hésitent jamais à s’en servir.
en effet face à un couteau : une arme!
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