Calendrier de l’Avent (case 10) : La dictature des ressentis, d’Eugénie Bastié

12 commentaires

1. Eugénie Bastiè ? Elle à « inventé » disons instauré le terme de « déniologue » tant utilisé par nos gouvernants afin de décrire la façon de cacher le loup, alors que nous entrons dans le bois.
   Merci Eugénie, au moins cela est mit en évidence lors de cette horreur qui eut lieu de Crépol !
   Regardons comment nos dirigeants cachent la réalité pour imposer la leur ! Eugénie Bastié au moins, le démontre.

2. Non merci, très peu pour moi de la part de cette journaliste qui n’a eu que faire de la démocratie et de la liberté alors qu’elle s’exprimait sur les chaînes de télé en faveur de l’obligation vaccinale.
   Désolée, il n’y aura ni oubli ni pardon…

   • Et vous pouvez ajouter qu’elle fustigeait allègrement les retraités pour lesquels elle n’avait que rancoeur, trouvant que ceux ci n’étaient que des privilégiés.

   • Lé démocratie est la possibilité donnée à tout un chacun de pouvoire s’exprimer.
     Avoir une opinion différente de la vôtre n’est pas un déni de démocratie, voire « un que faire de la démocratie » mais simplement une opinion « différente ».

3. La dictature de la pensée unique avance à grands pas.

4. Voilà un livre dont le sujet m’inspire, car le sujet est fondamental aujourd’hui (hélas). Je vais vite « me l’offrir ». – – – – – – Madame Bastié, êtes vous apparentée à la grande aviatrice et résistante Maryse Bastié ? (simple curiosité indiscrète….).

5. Bravo à cette dame, que j’apprécie souvent quand elle passe sur Cnews…

   • De toutes les façons, l’équipe de CNEWS est formidable. Bravo!

6. En 1995 j’ai créé à Toulouse, mon groupe de presse. Là où le groupe Hersant et le Monde n’ont tenu que 3 mois et 6 mois, j’ai résisté 20 ans. Cela, malgré bien des attaques de nos services administratifs, et plus… La ligne éditoriale était pour la droite régionale, une droite qui encore aujourd’hui, oublie vite ceux qui se sont mouillés pour elle. Voire même à flatter quelques gauchos pour essayer de conserver son équilibre, ses postes.
   Entre-nous, si j’avais été de gauche, aujourd’hui je vivrais tranquille avec une belle rente…
   A droite, ce ne sont que des minables, comme on le voit encore dans les quelques capitales qui ont pour maire une personne soi-disant de droite. En fait, ils sont comme ceux de gauche, seulement concerné par leurs réélection, comme on le voit à Toulouse.

   • Quel était ce groupe de presse ? (simple curiosité d’un toulousain)

7. Cette jeune femme est formidable, une immense culture, un immense bon sens. Bravo Madame.

8. A lire évidemment .

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