Ce que la brutalité de la scène Trump-Zelensky dit de la recomposition du monde
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Nombreux - trop nombreux, peut-être - sont les commentateurs qui se plaisent à voir un « imprévu dans l’histoire » dans la façon dont Donald Trump et J.D. Vance ont publiquement humilié Volodymyr Zelensky, lors de son passage éclair à la Maison-Blanche. Notre but ne sera pas d’ajouter une énième pierre à cet édifice un peu inutile, mais de voir en quoi cela éclaire la recomposition des rapports de force dans le monde.
La réalité a repris ses droits...
Commençons par les évidences. Il en est certaines qui sont jubilatoires, comme les blagues lourdingues des journalistes, appuyés par Trump, sur la tenue de Zelensky. On ne disait rien, en France, sur ce président qui venait au Parlement ou à l'Élysée pour recevoir la grand-croix de la Légion d'honneur en tenue de jardinage sous prétexte qu’il était en guerre. Zelensky, objectivement d’un grand courage physique au début de la guerre (si c’était un simple homme de paille, il se serait laissé exfiltrer), passait il y a encore quelques mois pour une sorte de saint laïc. Il pouvait donner des leçons aux tribunes de toutes les Assemblées occidentales. Il pouvait tonner en exigeant davantage d’argent et d’armes. On passait sous silence sa tenue indigne et ses revendications démesurées. La réalité a repris ses droits. Il s’est fait brancher grossièrement par un Trump qui ressemble décidément pas mal à l’un de ces bullies des comédies universitaires américaines qui molestent les intellos près des armoires métalliques où on range les cartables. Une autre évidence est celle énoncée par Vance : Zelensky n’a jamais dit merci à personne, il se drapait, de toute la longueur de son survêtement kaki, dans sa dignité de « président en guerre ». En ce sens, ces mises à jour sont plutôt bienvenues.
À ce sujet — Et maintenant la Légion d’honneur pour Zelensky
Le camp du bien est aux fraises...
Il y a d’autres évidences moins faciles à admettre. Non seulement le pouvoir a changé de mains et il est dans les mains de gens brutaux, mais il appartient également, en Russie, en Chine et aux États-Unis, à des gens qui connaissent et aiment l’Histoire longue. L’excellent Olivier Zajec le rappelle dans un long entretien accordé au Figaro : Trump n’est pas idiot et il a des convictions historiques profondément ancrées. « America First » n’est qu’un reboot du vieux protectionnisme à la Monroe et signe davantage la fin d’un universalisme wilsonien qui s’est avéré stupidement idéaliste que la volonté (très démocrate) d’écraser le monde sous la botte des GIs. Poutine remonte au IXe siècle et à la Rus de Kiev pour justifier son invasion (il n’est que de revoir son interview par Tucker Carlson, dans laquelle il monologue pendant une demi-heure, sans notes, sur l’histoire de son pays.)
En Occident, et singulièrement en Europe, le camp du bien est aux fraises. L’humiliation infligée par les Américains, brutaux, grossiers, désagréables, nous rebute. Nous ne comprenons pas ce langage. Ce que nous comprenons confusément, c’est que nous ne sommes pas capables de le parler. Mis plus bas que terre par le président et le vice-président de la première puissance mondiale, le président ukrainien a quitté les États-Unis en trombe, sans conférence de presse. Il doit probablement être en train d’estimer ses chances de survie en s’apercevant, mais un peu tard, que les États-Unis ont financé, vilipendé puis assassiné tous leurs alliés étrangers. Zelensky est allé trop loin et ne peut plus reculer : il ne peut pas revenir en arrière et redevenir le comique troupier qui jouait du piano sans les mains. Face à des Américains qui, façon Thatcher dans les années 80, veulent leur « money back », il est dos au mur. Nous, depuis la Crimée, nous comptons les points et nous nommons des amateurs (ce n’est pas Jean-Noël Barrot, parodiant la série bref. au lieu de bosser, qui me démentira) à des postes cruciaux. Pour combien de temps, encore ?
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137 commentaires
En matière de recomposition du monde, ce cher Macron, qui au passage ne prononce quasiment plus jamais le mot France mais seulement Europe, considère le partage de notre dissuasion nucléaire avec l’Europe. Ceci est en violation avec tous les traités sensés empêcher l’émergence ne douvelles nations nucléaires. Outre le fait que je ne voie pas, outre l’Allemagne (!) la Lettonie, la Pologne, et toutes les « petits bras et grandes gueules » de l’Europe ayant accès à notre « bouton rouge », ce partage légitimerait l’accès au nucléaire d’autres pays: Arabie Saoudite (qui a indiqué qu’elle la voudrait bien), et l’Iran, dont la légitimité à l’obtenir serait alors totale. Tout le monde peut alors l’avoir, et que le meilleur gagne.
En voulant fonder l’Empire européen, les progressistes comme Macron, Van der,Stamer, etc. ont provoqué la disparition des nations, leur histoire, leurs coutumes, leurs économies, et ont amené l’invasion migratoire pour un remplacement de peuples.
Résultats, nous nous trouvons avec une Europe affaiblie, dont certaines zones sont en passe de devenir des enclaves ou des califats musulmans. Une Europe avec des pans entiers se transformant en territoires du tiers-monde et de non-droit. Alors que peut bien peser une telle Europe face à des géants qui ont su garder leur idée de nation comme la Russie, les USA et la Chine ?
L’Europe est finie en tant que puissance économique et industrielle. Alors notre petit roitelet, veut-il régner sur un espace ruiné, instable, peut-être même au bord de la guerre civile. Il pourra toujours faire le paon devant les autres puissances qui le considèreront comme un clown, roi du vide…
Z aurait dû apprendre que les Américains n’aiment pas les gens qui disent qu’ils vont mal ,qu’ils ont passé une mauvaise nuit etc. Ils préfèrent ceux qui viennent leur proposer des solutions ,pas des problèmes .C’est le mode de gestion que j’ai retenu de 20 années d’expérience professionnelles à leur côté et le dressing code autorisé c’est le leur , vous venez sans cravate si eux sont sans cravate sinon , comme ils disent : si vous ne voulez pas le job , y en a dix qui attendent derrière la porte pour le faire .
Personnellement, depuis le début de cette guerre d’Ukraine, je trouvais que ce Zelynski était particulièrement arrogant avec l’Europe et avec les pays qui dépensait un pognon de dingue pour l’Ukraine. Il me faisait penser à ces racailles pour qui la France n’en ferait jamais assez avec la même façon de nous culpabiliser que fait l’Algérie à qui la France devrait tout. D’ailleurs, il me semble que ce même Zelinsky a été condamné dans le passé pour détournement de fonds ou abus de biens sociaux, enfin un truc dans le genre : je ne sais pas exactement de quoi il s’agit car nos médias oublient de le rappeler. Probablement par ce que ce président se prétend de gauche, probablement de la gauche homard ?
Trump est le président qui veut tenir sa parole .
Il fait ce qu’il a dit qu’il ferait.
Il ne va pas se faire dicter quoi que ce soit par cette personne pour lequel il n’a pas beaucoup d’estime au demeurant et qui le retarde dans son agenda .
Il a été invité à signer pas à négocier .
Trump est pressé parce qu’il a ses ennemis de l’intérieur dont il ne veut plus laisser une marche de manoeuvre .
l’Ukraine avant cette guerre ,c’était la Russie avant Poutine.
L’un des pays les plus pauvres , les plus corrompu et les plus malmenés par le reste monde.
Les Ukrainiens ont été obligés de défendre leur pays malgré Zelensky , Von der Layen , Macron et Biden .
Pauvres ukrainiens !
Leur pays pour lequel ils ont payé le prix fort ne leur appartiendra plus .
Qui seront les investisseurs venant se présenter pour se partager le gâteau de la reconstruction alors que Trump demande déjà les terres rares ?
Une grande partie des terres arables appartiennent à des fonds d’investissement ou des gros producteurs céréaliers européens y compris français .
Zelensky n’était que le garant et l’alibi ukrainien de tout cela . La parole du peuple ukrainiens ,on ne l’a pas trop entendu .
Comme tout peuple slave historique , les Ukrainiens sont naturellement soumis à leurs dirigeants même illégitimes ,lisez « une histoire de la Pologne » vous comprendrez mieux cela.C’est une constante de l’âme slave qui n’a pas disparue et pour cela il faut avoir une dose d’ADN .Si la musique slave (même les chants révolutionnaires des soviets )ne donne pas des frissons , vous ne pouvez pas comprendre .
Oui; même impression, mêmes sensations concernant le monde slave; pour avoir connu le fin fond de la Pologne dans les années 1970. D’où vient le cri déchirant et sublime de leur musique, sinon d’une âme blesée de part en part, à la fois révoltée et impuissante ? J’ ai connu les galops effrenés à travers les tristes mais belles forêts de bouleaux, les gigantesques cuites à la mauvaise bière, les suicidés par noyades dans les lacs glacés, les heures de queues en ville pour un paquet de farine, la soupe au chou au petit-déjeuner, et les chants mêlés de larmes le soir autour d’un feu de camp..
Mr De Gaulle n’était pas tout le temps à dire merci aux Américains de 1942 à 1945.
On peut comprendre que Mr Zelensky, représentant son pays, arbore aussi une certaine fierté et refuse de vendre son pays.
Les européens, comme les commentateurs de Boulevard voltaire en particulier sont très divisés. Certains voudraient rester sous parapluie américain, d’autres quitter l empire américain pour se rapprocher du Russe, d’ autres payer la création d’une force armée conventionnelle véritablement opérationnelle pour une sécurité indépendante. Mais personne ne voudra payer et cela risque fort de se terminer par une Europe à la fois sous l’empire américain et le russe. Ces 2 empires étant provisoirement réconcilier, ce ne sera plus là guerre froide, mais peut la paix chaude. Une solution qui va probablement faire davantage de partisans que la course à l’ armement de l »‘Europe » même si au final le prix financier ne sera peut être pas si différent.
Si on veut voir la réalité en face, on se condamne à devoir regarder la télé, réalité, et payer pour fabriquer des armes de guerre, autre réalité.
La France rayonnait dans le monde quand elle faisait partie des nations non alignées et qu’elle ne transigeait pas sur sa souveraineté, nos forces stratégiques en sont le symbole non négociable . les pitoyables qui nous gouvernent ont oublié ce principe de base nous ont conduit dans l’abîme qu’ils continuent de creuser avec l’opiniâtreté des fous.
A tout prendre, je préfère la brutalité franche et rude quand elle est justifiée, et c’est le cas, que les baisers suaves et les paroles veloutées suivis d’un coup de poignard dans le dos, ce qui est trop souvent le cas de ce côté-ci de l’Atlantique.
Zelensky d’un grand courage physique ? Qu’il soigne son image guerrière comme celui a l’Élysée n’en fait pas un commando parachutiste , « l’habit » ne fait pas le moine mais si vous y ajoutait la lettre « e « vous en faites un pianiste vulgaire et non un humoriste ni un guerrier
» une évidence, Mr zelensky n’a jamais dit merci à personne » dites vous. Êtes vous certain de cette évidence?
En tout cas il sait dire merci car je l’ai entendu dire aux Britanniques cette semaine.
Mr Trump dit des vérités, mais avec grossièreté. Il est probablement plus fin dans ses mensonges.
Rien de bien de nouveau probablement, si ce n’est que ce genre de propos entre chefs d’ état se déroule habituellement sans caméra. Mais nous sommes à une époque où les chefs d’ état peuvent être aussi des hommes de télé. C’est le cas de Trump et Zelensky, donc ils peuvent facilement remplacer Hanouna et C8…
Le 28 février 2025.
Le jour où Zelensky a perdu la guerre !
En insultant le Président Trump et J.D. Vance devant les médias médusés, Zelensky a perdu le peu de crédit qui lui restait aux USA !
On ne crache pas dans la main qui vous nourrie !
Vous avez entendu Zelensky « insulter Trump et Vance »?
Oui, si discuter est synonyme d’ insulter, ou si ne pas répondre à un ordre de se mettre à plat ventre est une insulte !
Comme Trump est au pouvoir, Zelensky perd la guerre et est un dictateur sanguinaire et Poutine est en réalité notre ami?
Oui !
Dans un anglais difficile, mais oui !
Ai-je parlé de Poutine ?
Quand on est invité par un chef d’État, si l’on veut être respecté, on respecté ses hôtes, et on n’arrive pas habillé comme un hooligan.
De pluson évite de cracher dans la main de ceux qui vous nourrissent à coups de milliards de $ !
Osons l’avouer sans ambage dans ce trio télévisé, personne ne sait sur quel pied danser.Tous les métiers mènent au pouvoir, de l’immobiler (Trump) à la Faculté (Pompidou), du music-hall (Zélinsky) à la peinture…au pistolet (Hitler), de la cordonnerie (Ceaucescu) à la boulangerie (Thorez). Notre Emmanuel est le perpétuel apprenti d’un métier « macronisé ».
Dans ce show télévisé, deux Tom bien cravatés et un Jerry en costume kaki ont joué au chat et à la souris. Ou plutôt, Zélinsky n’a pas joué, il est venu en tenue de travail. Comme pour illustrer Guitry : » Dans la vie tout le monde est comédien, sauf quelques acteurs. » A l’affiche : la guerre ou la paix. Tous les budgets militaires sont en hausse, signe que la paix n’est pas facile à signer !
Il est vrai que ce petit bonhomme en tee shirt exigeant de plus en plus d’armes et d’argent (combien l’Ukraine nous a-t-elle coûté d’argent que nous n’avons pas ?) est plus qu’énervant. Il est clair qu’il a perdu. Seul il ne peut rien, et l’appui de l’Europe ne suffit pas. À partir de là il faut qu’il négocie et que cette guerre cesse. Trump a horreur de la guerre et il a raison. Il a mis le doigt sur une vérité : la haine entre dirigeants qui mène des peuples à s’entretuer. La sagesse propulaire verrait bien ces dirigeants se battre sur un ring. Quelque part Trump a mis ce principe en pratique, au moins verbalement, et ce n’est pas à la gloire de Zelensky. Reste à espérer que nos petit roitelets européens, vexés, ne se rebiffent pas et ne décident pas d’envoyer leur peuple à l’assaut de la Russie… ils en sont capables et surtout ce premier ministre anglais qui ne me dit rien du tout. Donc il faut veiller au grain et empêcher nos va-t-en-guerre de faire n’importe quoi.
On peut être étonné, voire consterné, par la légèreté primesautière avec laquelle M. Florac balaye d’un revers de main le très mauvais sketch bien préparé par les duettistes yankees pour l’humiliation publique en direct-live mondial du « petit » président « mal fringué » d’un État en lambeaux suite à l’agression, programmée depuis 2007, par l’ours dépeceur ex-soviétique revanchard, que l' »Occident » et l’ONU ont laissé manœuvrer à sa guise, y compris après avoir -déjà- intimé cette l’Ukraine libérée de la botte rouge-sang l’ordre de se défaire de tout l’arsenal nucléaire stocké sur son sol contre la garantie absolue -juré craché- signée par les mêmes yankees et d’autres d’une protection en béton de leur sécurité. On a vu.
J’imagine que ce « comique troupier » bien trop tétu a sans doute eu l’audace mortifère de refuser « le deal » de la captation quasi-définitive en coupe réglée des ses convoitées ressources minières par son cynique « allié » principal désireux se payer sur le Bête, privant au passage l’ambitieux chef MAGA de sa quête absolue du Nobel de la Paix non qu’il espère, qu’il réclame !
Un troupeau de hyènes à l’esprit munichois vient, comme soulagé, commenter le revers d’alliance qui était dans les cartons. L’armée et le peuple ukrainiens maintiennent et réaffirment publiquement leur soutien à leur président « dictateur » victime de ce triste traquenard étasunien.
L’UE moribonde, ou l’Europe « à quelques uns », au pied du mur, va devoir -enfin- « prendre ses responsabilités », quelles qu’elles soient…
« Zelensky, objectivement d’un grand courage physique au début de la guerre (ah bon ? Il est au front et demande aux troupes de suivre son panache blanc ?)
Poutine remonte au IXème siècle et à la Rus de Kiev pour justifier son invasion » (non sa libération)
Sans doute le parti pris par M de Florac.
Mon parti pris, à moi, après avoir lu la presse internationale et en avoir discuté avec mon amie juive ukrainienne, mon amie criméenne et mon amie russe, je vous les choses différemment.
Toutes les trois (je dis bien toutes les trois) ne voient pas choses comme cela.
Elles sont Ok pour critiquer l’ancienne URSS (et encore la remercient d’avoir sauver l’Europe, les américains étant arrivés après juste pour recevoir les lauriers) mais pas la Russie.
Mon amie juive ukrainienne m’a affirmé que les nazis étaient véritablement présent en Ukraine pensant la dernière guerre, mon amie criméenne m’a dit que si il y avait un référendum pour le rattachement (et non l’annexion !) à la Russie, ce serait aujourd’hui à 99% de uis et mon amie russe me dit que la vie en Russie, malgré la guerre est encore facile.
Et moi, je sais encore lire les livres d’histoire et la presse internationale, et je vois bien que la Russie tente de libérer (et non d’annexer) les oblasts sur lesquels les ukrainiens tirent perpétuellement depuis plus de 10 ans, en visant de préférence les civils dont les enfants.
Après, chacun voit midi à sa porte, n’est-ce pas. Et c’est tellement bien de taper sur les russes. C’est la mode !
Entièrement de votre avis , je lisais il y a peu de temps lors des commémorations de libération du camp d’Auschwitz un article sur les survivants et leurs témoignages, la plupart de ces miraculés expliquaient que les pires kapos du camp étaient des ukrainiens et qu’ils rivalisaient et dépassaient souvent la cruauté des gardiens SS . Ces témoignages n’ont bien entendu pas été retenus par la presse occidentale mainstream lors des commémorations récentes
Auriez-vous aussi l’audace d’évoquer les « camps de vacances » des zeks en Goulaguie soviétique, de l’extermination radicale de toute l’armature de l’armée polonaise par les balles de Tokarev dans la nuque et charniers dans les forêts de Katyn, de l’aimable livraison par Staline à Hitler de tous les wagons d’allemands anti-Hitlériens réfugiés en Russie soviétique, contre l’envoi « entre alliés » de tous les russes réfugiés ayant fui le stalinisme…
Toujours cette vieille amnésie de la paille et la poutre…
Entièrement de votre avis Tara. Ajoutons que les Américains démocrates étaient depuis des années installés de manière sournoise dans l’Ukraine côté est, où des journalistes intègres ont constatés leur présence à travers des rations distribuées à des militaires ukrainiens, rations américaines. Cette invasion était préparée depuis longtemps et ils voudraient être surpris que Poutine ait enfin voulu se défendre à la demande de son entourage qui a eu des milliers de morts depuis 2014 ? Non … il ne faut surtout pas que ce soit dit car il faut que Poutine soit le vilain à abattre. Honte à tous ces hypocrites qui applaudissent Zelensky quand il entre dans Notre Dame, le diable est habillé dans la parure d’un saint. Le monde a la tête à l’envers.
Oui, l’équipe Trump a eu raison de remettre les pendules à l’heure.