[CHRONIQUE] Effondrement démographique : signe de l’effondrement de la nation
La démographie est la reine des batailles.
Les peuples n’ont d’autre avenir que leurs enfants et, dans le temps historique, la démographie est la reine des batailles. L’INSEE vient de rappeler (27/3/2025) que la baisse des naissances s’accentue, en France. Dans son bilan démographique pour 2024 (14/1/2025), il soulignait : « L’indicateur conjoncturel de fécondité s’établit à 1,62 enfant par femme. Il n’a jamais été aussi bas depuis la 2e guerre mondiale ». En 2024, 663.000 bébés sont nés en France, en baisse de 2,2 % par rapport à 2023 et de 21,5 % par rapport à 2010. L’INED a rappelé que le nombre de naissances baisse depuis treize ans et a intitulé une de ses publications « Fécondité française : anatomie d’une chute » (janvier 2025).
Lors de sa conférence de presse du 16 janvier 2024, Macron, qui adore filer la rhétorique guerrière, avait déjà appelé à un « réarmement démographique », ce qui avait provoqué un tollé des associations féministes, dont certaines proclamèrent : « Nos ovaires n’iront pas en guerre. »
« L’hiver démographique » de la France
La France a désormais rejoint la situation de beaucoup d’États membres de l’UE et est entrée dans ce que le démographe Gérard-François Dumont nomme « l’hiver démographique ». Pourtant, notre pays a fait longtemps figure d’exception, avec un taux de fécondité qui restait proche du taux de renouvellement des générations.
Il se trouve que par trois fois, j’ai été amené à rédiger des rapports sur la démographie pour la présidence du Conseil de l’UE : en 2007, à la demande d’Ursula von der Leyen, alors ministre de la Famille et de la Jeunesse d’Allemagne, et qui n’éprouvait pas à l’époque le besoin de se faire l’égérie du militantisme LGBT ; en 2011, à la demande de Viktor Orbán, qui entendait lutter contre l’effondrement démographique de la Hongrie ; en 2020, à la demande du gouvernement croate. Or, depuis 2007, la situation démographique de l’UE n’a cessé de se dégrader, sauf en Hongrie, grâce à une politique volontariste et très concrète. Situation qui a évidemment des conséquences importantes sur l’équilibre des comptes sociaux de nos « économies sociales de marché ».
S’il était possible d’écrire, en 2007, que la France était proche du renouvellement des générations, ce n’est plus le cas aujourd’hui et ça ne tient pas du hasard. Notre politique familiale faisait figure d’exemple. Elle reposait, d’une part, sur sa permanence et son universalité - éléments importants, puisqu’un projet familial est, par définition, une ambition de long terme –, d’autre part, sur la combinaison de mesures de soutien qui se confortaient l’une l’autre (allocations familiales, quotient familial, congés parentaux, systèmes de garde des enfants développés). Or, depuis plusieurs années, les gouvernements français se sont ingéniés à démanteler une politique lancée par le Front populaire et poursuivie par tous les gouvernements jusqu’à la Ve République, et qui semblait donc un élément intangible de la politique de la France, au-delà des régimes politiques.
Sous la présidence Hollande, la mise sous condition de ressources des allocations familiales a transformé une allocation universelle en une allocation sociale. La réalité pratique de cette décision très politique fut de favoriser la démographie des « classes populaires » au détriment de celle des classes moyennes, dans une stratégie électorale de long terme. C’était aussi le signe que la politique familiale n’était plus une pièce maîtresse stable de la politique de la France, ce qui ne pouvait qu’accroître l’incertitude des couples quant au soutien des pouvoirs publics envers la famille.
Une ambiance hostile aux familles
Le tout dans une ambiance hostile aux familles fondées sur le mariage et à l’accueil de la vie. L’inscription, dans la Constitution, du droit à l’avortement est un signe fort, puisqu’il « magnifie » la destruction d’une vie humaine à son début. Le discours écologique stigmatise « l’empreinte carbone » des enfants. Cousteau avait déclaré : « Nous périrons sous les berceaux. Nous sommes le cancer de la Terre. » Un certain discours économique explique qu’un enfant coûte cher. Et l’ingéniosité fiscale n’est jamais en reste. Dans une note du 5 février dernier, l’Observatoire français des conjonctures économiques préconise de plafonner les avantages des couples mariés ou pacsés, dans l’objectif bien concret d’accroître la fiscalité des couples sous prétexte d’égalité femme-homme. Et le président de la République, Turlupin qui n’aime rien tant que d’agiter les menaces guerrières ou celles de la peste ou du choléra, entretient avec délice un climat anxiogène dans l’espoir vain de redorer son blason.
Le discours public ou médiatique, lorsqu’il s’agit d’enfant, n’évoque jamais le bonheur et la tendresse. Certes, tout cela relève de la sphère privée et les familles ne sont pas toujours idéales, mais elles demeurent le rempart ultime de la liberté contre l’emprise de l’État. La fin de l’action politique n’est-elle pas d’assurer les conditions de la sécurité et de la tranquillité des familles, socles de la société, au sein d’une nation apaisée et d’assurer la perpétuation de celle-ci et son avenir ? Celui-ci réside dans nos enfants. Pas ceux des autres. Ou alors, résignons-nous à ce que notre pays devienne une France autre, qui sera une autre France. Peut-être plus la nôtre.
Stéphane Buffetaut
Chroniqueur à BV, élu de Vendée, ancien député européen
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33 commentaires
Le problème n’est pas de faire des enfants mais de pouvoir les élever en bonnes conditions. Je réclame depuis 40 ans une meilleur prise en charge (je ne parle pas gratuitement) des jeunes enfants qui ont les 2 parents qui travaillent. Connaissant les galères de garderie et crèches qui ferment trop tôt, chargé une nourrisse qui veuille bien reprend votre enfant tard le soir c’est pire que gérer une entreprise. Chaque commune devrait avoir une garderie 24h/24h, près des écoles destinée seulement aux parents qui travaillent, surtout qu’il y a de plus en plus de parents en solo. Avec une méthode garantissant une place en crèche ou garderie, très vite ils verraient la natalité remonter. Certaines communes ont des places pour les parents qui ne travaillent pas, qui eux ont des amis ou de la famille pour les seconder. La priorité est toujours là où il ne faut pas. Toutes les communes ont des locaux abandonnés qui pourraient être restaurés et permettre du bénévolat (La France est le champion du monde des bénévoles, non?) pour aider les enfants aux devoirs et au goûter.Tous les jours je vois des employés de mairie aigris et malheureux qui se promènent toute la journée quand ils ne sont pas en arrêt maladie, voilà de quoi financer. Les remplacer par quelque chose de plus utile serait une excellente note pour les communes qui attireraient des parents et enfants heureux.
Rien ne vaut de passer du temps avec ses parents. Avec de meilleurs salaires il serait possible de mettre plus facilement les parents à temps partiel, 3 ans, 5 ans, quand les enfants sont petits.
Difficile quand on n’a qu’un seul parent (peut-être la majorité)
Temps partiel qui fera mal au moment de la « liquidation » de retraite.
Droits libertaires et pervers, plaisirs égoïstes exacerbés, loisirs dévoyé adorés et temps libre adulé, tout cela a remplacé dans de nombreux esprits jeunes, en particulier féminins mais pas seulement, les devoirs et le respect de la personne, le travail et les joies du bien fait et du bien vivre, le plaisir d’un rire d’enfant au réveil et les satisfactions d’une éducation bien menée. Hélas !
Ce que je ne comprends pas dans ces tapages récurrents au sujet de la démographie, c’est que dans mon enfance nous étions 50 Millions et que maintenant nous sommes proches de 70 Millions, sans compter ceux qui sont arrivés sans se présenter à l’accueil. Courte mémoire ?
Vous voulez une explication ? Allez faire un tour Porte de la Chapelle, dans les quartiers Nord de Marseille, dans le quartier du Blosne à Rennes, à Ivry ou en Seine-Saint-Denis, liste non exhaustive !
Effondrement des naissances. Explosion des homicides. La vie fait peur. La mort fascine. Sous toutes ses formes.
Mettre les AF dès le premier enfant, les augmenter de 20% du 1er au 3ième et les supprimer à partir du 5ième enfant du même père et ou ,de la même mère. Ceux qui veulent des familles très nombreuses à eux d’assurer leurs besoins ce n’est pas à l’Etat et donc au contribuable à les assister en permanence !!! nous aurons peut être moins d’enfants issus de familles polygames comme pour les Traoré (17 avec plusieurs femmes). Et toutes ces femmes soi disant seules qui touchent l’allocation de parent isolé ?? quand la CAF va t elle faire enfin des contrôles ?? Quand un ministre mettra-t-il le paquet pour déclencher une politique anti fraude car il n’y a pas qu »à la SS avec avec près de 2millions de fausses cartes.Tous ces organismes sont gangrénés par la gauche laxiste !! Tout ce personnel des départements et des régions sur des sujets de double emploi (1/3 travaille) quand les mettrez vous au contrôle ?? On se bouge ??
Entièrement d’accord avec vous.
Encore faudrait-il qu’on ait envie de faire vivre aux enfants cette vie actuelle faite d’incertitude et d’insécurité ! Il faudrait peut-être que nos gouvernants se demandent rien qu’un peu pourquoi on hésite à faire des enfants……….
Argument parfaitement fallacieux repris du matraquage médiatique imbécile avec, par exemple, l’escroquerie de ses prétendus 250 000 euros de coût d’un enfant sur 25 ans (soit 850 euros par mois) ! Je ne sais pas quel âge vous avez mais imaginons que vous ayez une quarantaine d’années. Vos arrières-grands-parents ont connu la 2eme guerre mondiale, travaillaient 60 heures par semaine et n’avaient pas la sécurité sociale, vos grands-parents ont connu la guerre d’Indochine et la guerre d’Algérie, la guerre froide et sa menace nucléaire permanente, la fin de la 4ème république et sa quasi guerre civile et travaillaient 50 heures par semaine, vos parents ont connu la guerre froide, toujours avec sa menace nucléaire permanente avec le face-à-face OTAN/Pacte de Varsovie, le chômage de masse, les délocalisations industrielles massives et travaillaient 40 heures par semaine. Et toutes ces générations, malgré les épreuves qu’ils ont traversé sans commune mesure avec la situation contemporaine, n’ont pas été empêchés, ni de faire des enfants ni de s’échigner à développer ce pays.
Alors, bien entendu, vous avez le droit de privilégier vos RTT, vos loisirs, votre individualisme forcené, vos sorties du vendredi soir, votre IPhone à 1200 euros changé en moyenne tous les 30 mois, votre repas du soir livré par un clandestin employé par Uber, etc. Mais, de grâce, ne justifiez pas votre égoïsme par un pseudo contexte d’inquiétude sociétale dans lequel 90% de la population mondiale rêverait de vivre !
A ce sujet, puisque le financement de la retraite par répartition fait l’actualité depuis quelques années, ma proposition : pour toute personne ayant cotisé la totalité de ses annuités et ayant élevé au moins trois enfants, retraite à taux plein, pour toute personne ayant élevé 2 enfants taux à 80 % du taux plein, un enfant 50% du taux plein, pas d’enfant pas de retraite par répartition (sauf impossibilité médicale bien sûr) donc à assumer par la capitalisation.
Déjà sous Louis XIV le problème se posait. Vous aviez dix enfants : exonération totale. La guerre, la guerre….On connaît le mot de Napoléon : une nuit de Paris, réparera les pertes des batailles….Mais le vrai ferment de la natalité, entre autres, c’est la foi en l’avenir, or elle plutôt tristoune. D’aveuglement en aveuglement, la France est devenue une province. Un printemps français ? Oui si on prend le taureau par…les cornes.
Tout a été fait dans le pays pour qu’on en arrive là.Mesures anti famille ,mentalité égocentrique,écologie idiote ,promotion sans frein de l’avortement.
Les français ont compris l’avenir que les progressistes leur prépare : un monde woke déjanté, un monde ou les blancs, les Chrétiens seront sacrifiés. Les français ne croient plus au sursaut.
Toutes ces femmes qui militent contre « la maternité » au point que certaines sont prêtes à se faire ligaturer les trompes, finiront par le regretter un jour mais ce sera trop tard .
Quant à réduire l’être humain à une question d’économie, pour des politiques qui se disent humanistes, font preuve d’une inhumanité crasse : avoir des enfants coûtent cher, s’occuper des vieux coûtent cher, les malades coûtent cher etc… nos politiques, apparemment sont fascinés par la mort au point de constitutionnaliser l’avortement .
Quant au réarmement démographique proposé par notre « génie », rien n’a été fait, des mots, toujours des mots avec sa logorrhée maladive, cela en devient insupportable; depuis des décennies, il n’y a plus de politique familiale, il ne faut pas s’étonner du résultat. Quant à ce Hollande, surtout qu’il se taise pour rester polie !
Encore une réussite de la gauche . Faire crever un pays est un métier et l’on peut dire qu’ils le maîtrisent. Grand métissage en cours tout se passe comme prévu.
Personne n’ose le dire, il y a de plus en plus de couples du même sexe et à ce qu’il me semble ils ne se reproduisent pas. Le président n’a pas d’enfant, combien de ministres, de proches de macron n’ont pas d’enfants et pour cause. Ceci dit, pendant des lustres on nous a parlé de l’égalité homme femme, et bien les femmes ont suivie, elles veulent travailler, avoir des loisirs, faire ce qu’elles veulent, boire, s’amuser, sortir etc …. On leur a ôté la fibre maternelle
Ensuite il y a une autre raison, pourquoi faire des enfants dans un pays en déclin, où l’éducation nationale ne produit plus que des ignares et des fainéants, où pour recruter des infirmières et bientôt des policiers on supprime les concours (les notes étaient tellement basses, (en dessous de 6 la plupart du temps) l’insécurité est partout ça fait peur, de plus, c’est pas notre va t’en guerre qui va donner aux femmes l’envie de faire des enfants si c’est pour voir leurs enfants finir dans un cercueil.
Tout à fait
« C’est au moment où, intellectuellement, socialement, par le développement de l’aisance, des arts, par l’élévation du niveau général, les nations paraissent s’être le plus perfectionnées et avoir atteint la situation la plus brillante, qu’elles donnent des preuves d’arrêt dans leur croissance et même de recul par la réduction progressive de la natalité.
[…]
La natalité peut être insuffisante au point de vue relatif et au point de vue absolu.
L’insuffisance de la natalité est relative quand, tout en excédant la mortalité, la natalité dépasse celle-ci beaucoup moins dans une nation que chez les nations voisines et concurrentes, de façon que les proportions numériques et l’équilibre des forces soient modifiés au détriment de la nation la moins prolifique.
Cette insuffisance relative de la natalité a surtout des inconvénients politiques et militaires ; elle peut conduire, toutefois, à l’assujettissement ou à la subordination des peuples les moins prolifiques aux peuples les plus prolifiques.
L’insuffisance absolue de la natalité se présente quand celle-ci est, d’une façon fréquente ou continue, inférieure à la mortalité ; c’est alors un vrai et terrible fléau ; la nation qui en est atteinte est destinée à se recroqueviller et à perdre graduellement, non seulement son rang parmi les nations, mais son individualité si elle arrive à conserver encore son nom, ce nom ne couvre plus qu’un alliage d’éléments divers où l’élément purement national tient une place s’amoindrissant chaque jour. »
(Paul Leroy-Beaulieu, “La question de la population”, Livre III, chap. Ier ; Librairie Félix Alcan, 1913, pp. 180-181.)
La FRANCE d’aujourd’hui n’est déjà plus la notre depuis des années et ce n’est pas la naissance de plus de bébés qui changera cette donne. La classe politique Française dans sa majorité est responsable de cela .Du moins ,celle qui ont était aux commande d’un navire qu’ils sabordent avec allégresse.On ne peut tous les jours exaltés à travers les médias de complaisances la pseudo liberté des femmes ,s’attaquer aux hommes accusés de tous les maux ,détruire la famille père – mère et s’offusquer des effets délétères que cela engendre pour la nation Française.Sans parler d’une immigration de grand remplacement qui elle bénéficie des largesses d’un système dévoyé ,aidé en cela par des associations dont la nuisance envers notre Pays est patent.Association qui par ailleurs touche des subventions .Bref ,là aussi nous sommes très mal parti et ce phénomène ne prendra que de l’ampleur dans une FRANCE vouée à disparaitre ,à moins d’un sursaut salvateur du genre :A coeur vaillant rien d’impossible ! Mais existe t’il encore de ces êtres ?
Vous avez parfaitement raison mais il convient quand même de rappeler que la classe politique que vous évoquez n’a pas fait de coup d’état pour arriver où elle se trouve … les récentes élections législatives en témoignent ! Les vrais responsables sont donc majoritairement les Français qui ont validé maintes fois dans les urnes les dérives, voire les trahisons, des politiques en charge ! Faut-il rappeler qu’en la matière, un patriote proposait il y a une quarantaine d’années, en lieu et place du financement de l’immigration, un salaire parental pour le membre d’un couple, les femmes le plus souvent les lois naturelles de l’anthropologie étant ce qu’elle est, de rester au foyer élever son ou ses enfants ? Je crois d’ailleurs qu’un de ses slogans était « La France et les Français d’abord ». Eh bien, ces Français qui couinent aujourd’hui sur les effets de leur inconséquence, lui ont craché dessus tout en faisant une moue dégoûtée. Principalement, à l’époque, pour être dans l’air du temps et pour plaire à leur crémière.
Il avait également prédit le courageux comportement de ses mêmes Français et de leurs représentants dont un certain Retailleau qui vient, dans la plus grande discrétion, de nommer une certaine Cindy Léoni dont le CV est pourtant très évocateur de l’extrême gauche : « Aujourd’hui vous baissez les yeux, demain vous changerez de trottoir ! »
En conclusion : »Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des menteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime. Il est complice ! » George Orwell.
Exact mais en France il y a 60 à 70% d’électeur de gauche, j’en connais beaucoup qui me dise tu exagère la France ce n’est pas çà…….
où est la politique de la famille, seuls les migrants l’ont adoptées pour les aides familiales, oùon autorise la polygamie, alors quelle est contraire à nos droits, d’où un nombre croissant de femmes isolées pour encaisser l’aide s’y rapportant. Quand à nos enfants qui voudraient engendrer une progéniture, il faudrait qu’il y ai des maternités, chez nous dans l’Indre si vous habitez Le Blanc où il y a un hôpital (où on supprime les ervices le suns après les autres), les femmes pour allez chez le gynéco et ensuite accoucher font plus de 50 kilomètres, avant la maternité était sur place, et pour couronner le tout il n’y a pas de crèche, et on ferme les classes, petit exemple du cout d’une micro-crèche à côté de chez nous à quelques kilomètres 824 000 euros pour accueillir maxi 12 enfants, je pense qu’à ce prix ils ont du acquérir un château.