Cinéma : « L’Histoire de Souleymane », nouveau flop au rayon pro-immigration
L’Histoire de Souleymane, c’est le film que tout le monde attendait… ou pas. Le long-métrage de Boris Lojkine, qui décrit les 48 heures précédant l’audition du personnage principal à l'OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides) dans le cadre de sa demande d'asile, ne séduit guère.
Pourtant, tous les ingrédients étaient réunis pour un succès : un gentil Guinéen - campé par Abou Sangare, un clandestin sous OQTF dans la vraie vie, travailleur, qui avale des kilomètres à vélo pour livrer ses commandes et aider les personnes âgées -, des policiers moyennement sympathiques, des prix au festival de Cannes, une campagne de promotion très appuyée et des critiques dithyrambiques.
« Touché par la grâce »...
Pour France Info, le film est un thriller « puissant et haletant », tandis qu’il s’agit d’un « contre-la-montre sans complaisance » et d’une « extrême intensité » pour Trois Couleurs ou d’un « récit sobre, tendu et parfaitement incarné », pour Slate. Pour le JDD, « Sangare crève l’écran », pour Télérama, il est « touché par la grâce » et pour Le Monde, il est « éblouissant ». Vous l’aurez compris, il s’agit du « film qui a bouleversé le festival de Cannes », comme indiqué dans la bande-annonce. Et pour cause : comme le dit si bien L’Express, L'Histoire de Souleymane est une « douloureuse illustration de la domination sociale ». Mieux : pour Le HuffPost, cette histoire « résonne plus que jamais avec la réalité ». Est-ce utile de le préciser ? Terriblement bien-pensant, le film est à la gloire de l’immigration.
Fort de tous ces beaux commentaires, le thriller devait pouvoir rivaliser avec les blockbusters, mais voilà, contre toute attente, à sa sortie, ce mercredi 9 octobre, il n’a convaincu que... onze mille sept cent cinquante spectateurs de se rendre en salles, soit une moyenne de vingt personnes par séance. Chacun avait des sièges libres et de la place pour poser sa veste à côté de soi.
À titre de comparaison, Le Comte de Monte-Cristo, de Matthieu Delaporte et d’Alexandre de La Patellière, a réuni cent vingt cinq mille spectateurs au premier jour de sa diffusion, quand Un p'tit truc en plus, d’Artus, en a séduit deux cent soixante quinze mille. Après respectivement douze et vingt semaines à l’écran, ces deux longs-métrages cumulaient encore, la semaine dernière, entre le 2 et le 9 octobre, 141.500 entrées pour l'un et 29.000 entrées pour l'autre.
Un sujet qui ne fait plus recette
Loin devant L’Histoire de Souleymane, dont le démarrage poussif ne présage rien de bon, car rares sont les films à emporter des succès commerciaux après un lancement raté. Les mauvais départs s’accompagnent souvent de déprogrammations, ce qui enfonce un peu plus ces longs-métrages au box-office. Il y a fort à parier que le film porté par Abou Sangare connaisse ce triste sort.
Le contraste est rude entre le plébiscite des critiques de cinéma et le rejet du public. À croire que l’immigration et le vivre ensemble ne font plus recette, que les Français en ont assez de recevoir des leçons.
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40 commentaires
Quand est-ce qu’on supprime l’art subventionné à travers « l’exception culturelle française »? Il me semblait que la saison des navets était l’hiver mais le cinéma français arrive à en produire toute l’année. En lieu et place de cette « exception culturelle française », je suis favorable à mettre une barrière douanière sur TOUS les produits culturels importés, du livre au film, ainsi qu’une taxe de publicité culturelle sur les produits dérivés à l’effigie de personnage de fiction comme les sacs à dos Mickey par exemple.
OQTF et même le JDD se pâme. Heureusement les veaux ne sont pas trop séduits, pour l’instant, Mais si les mangeoires de l’information débordent toujours, ils finiront bien par consommer…les veaux …Ahahah !
je ne sais plus qui a écrit que , lorsque la critique d’un film par Télérama est bonne je ne vais pas le voir.Pour ce film , aux vues du nombre d’entrées , cette remarque parait être justifiée.
Les Français regardent tous les jours un film grace au OQTF alors celui-ci plouf plouf.
Vous avez tristement raison
Tout chef d’entreprise a le souci du retour sur investissement ,mais avec l’argent public généreusement distribué ,cette inquiétude n’existe pas pour le groupuscule où il se se font plaisir entre eux !!
Merci de si bien le dire, avec leur propre argent ils ne feraient pas tant de navets.
Justement avec l’argent qu’il a touché il peut retourner chez lui, et qui a engagé quelqu’un sans papier, c’est interdit, il n’y a qu’à voir les contrôle sur les chantiers
Qui nous dit que cet « acteur » « formidable » en devenir n’a pas travaillé bénévolement ?
Le cinéaste réalisateur est peut-être un « raciste » exploiteur ? Allez savoir ….
J’ai déjà parlé de ce problème. Les entreprises qui « embauchent » des sans papiers devraient être lourdement sanctionnées.
La gauche de Libé, le Monde, France info et autres médias qui se distinguent dans cette mouvance ne représente approximativement, dans son ensemble, que 10 à15 % de la population. Le score de cette première diffusion de » L’Histoire de Souleymane » est de cet ordre de grandeur. Les français en ont ras la casquette d’être continuellement agressés par des migrants délinquants, des LGBT exhibitionnistes et intrusifs, des transgenres intolérants et narcissiques au plus au point et des médias qui relaient ces dérives et dérivés avec complaisance, renforçant ainsi la France « guimauve » .
Pas de souci, il sera très bientôt au programme de France 2.
Combien a coûté ce film? Qui a payé ? Pourquoi tant d’argent dépensé ? Qui a ouvert les vannes?
Bonnes questions
Tout ça n’est que de l’entre- soi de la part des médias en général et des personnes composant le monde du cinéma qui veulent à tout prix nous nourrir des bienfaits de l’immigration et du vivre- ensemble qui marche si bien comme on le sait,il n’y a qu’à voir l’insécurité grandissante de notre pays et cette caste montre finalement qu’elle est parfaitement consciente du problème aux conséquences néfastes et c’est pour ça qu’on nous cuisine tous les jours ces plats indigestes.Une remarque positive cependant,je vois que les spectateurs ne se bousculent pas pour aller dans ce type de restaurant et ça me fait penser quand ma mère me faisait un plat que je n’aimais pas et qu’elle me forçait à en manger et bien je le détestais encore plus. Là, c’est la même chose avec ce genre de film.
Ils veulent à tout prix nous faire croire que l’immigration c’est bien. Il veulent de force nous en faire manger. Et ce sont des bides. Pour un Abou Sangare combien de perdants. C’est comme s’ils voulaient nous faire croire que tous les joueur du lotos gagnent le gros lot, et par le jeu des avances sur recette, etvautres subvention joyeusement distribues aux navets, combien ce film va nous couter ? Au moment où, pour faire des économies, le gouvernement ne trouve rien de mieux que de faire les poches des Francais ; quand l’Élysée augmente son budget déjà explosé… Pour que Monsieur Macron, grillé en France, aille faire le beau dans des pays qui n’en ont rien à faire.
En effet l’immigration et le vivre ensemble ne font plus recette parce que ça ne marche pas avec ces populations , impossible de vivre avec des gens qui refusent de s’intégrer , qui veulent nous imoser leurs coutumes barbares et sont responsables de la majorité des crimes et délits commis sur le territoire , sans oublier ce qu’ils nous coûtent .
Sortir un film « fait-pour-tirer-les-larmes-de-crocodile » de tout ce qui se fait de mieux en « gauchie-bobo-parigot », juste quelques semaines après avoir enterré un géant du cinéma français, Alain Delon, et le lendemain de l’enterrement de Michel Blanc…
Tout ça n’est pas très tentant pour les français qui chaque semaine pleurent leurs enfants, particulièrement leurs filles, assassinés par des OQTF dont on ne sait plus que faire.
Le cinéma français…
Quel cinéma français ?
Celui des mêmes bobo sus-cités, qui passent leur temps à s’autocongratuler sur fond de Champaigne et caviar.
Le cinéma politico-gaucho-français n’attire pas, il fait fuir !
Tout à fait !
Les producteurs, s’ils avaient un grain de bon sens, devraient pourtant se douter que le bon peuple, assommé quotidiennement d’une propagande pro-immigration démentie par la réalité qu’ils vivent, ne va pas en plus aller payer une place de cinéma pour se voir injecter une dose supplémentaire de « chance pour la France ».
La sortie de ce film est une véritable insulte envers les familles des victimes de clandestins..quant à l’engouement des médias ! Le jdd? C’est une blague?
Le « JDD » noooon…pas lui…? Pas Geoffroy Lejeune…?
Ce film passe dans la salle art et essai municipale de ma ville LR .
Je boycotte ce genre de films qui veut m’imposer le vivre ensemble.