[Dans vos commentaires] « Cette photo fera élire Trump en novembre »

Une photo qui restera dans l’Histoire, sans nul doute. Celle de Donald Trump, l’oreille ensanglantée et le poing en l’air. En réaction à l’article, « USA : Donald Trump blessé après un tir à l’arme à feu », nombreux sont les lecteurs de BV à espérer que cette tentative d’assassinat manquée contre le leader républicain l’aide dans sa course vers la Maison-Blanche. « Cette photo fera élire Trump en novembre prochain. Comment un Américain ne pourra-t-il pas y voir le même symbole de victoire que celui que les Marines plantèrent sur le mont Suribachi lors de la bataille d’Iwo Jima ? », commente, ainsi, Tureverbere. « Cette photo restera dans les annales ! », ajoute Roan. Et Daniel Razon d’espérer : « Gageons que la popularité de Trump va encore grimper en flèche et qu'il sera élu ! » Plus qu’une prédiction sur les élections américaines à venir, Patrick Sainclair nous livre une réflexion sur l’attitude de l’ancien président américain : « La réaction de Trump est stupéfiante, elle relève de sa nature profonde, un courage physique et une capacité à ne pas être déstabilisé dans une situation tragique pour lui. »

Si les armes à feu ne sont pas aussi répandues en France qu’aux États-Unis, notre pays connaît malheureusement, lui aussi, son lot de violences. Après Sainte-Soline (Deux-Sèvres), de nombreux agriculteurs s’inquiètent de voir les mêmes dégradations se répéter. Marc Baudriller revient sur ce sujet dans son article « Après Sainte-Soline, Melle : la gauche ultra-violente remet cela ». Alors que Gérald Darmanin n’a pas réussi à dissoudre les Soulèvements de la Terre, Kikou note : « La gauche ultra-violente sévit un peu partout pendant que notre ministre de l’Intérieur dissout à tour de bras des associations de droite qui n’ont jamais fait preuve de violence… Allez comprendre. En vérité, on ne comprend que trop bien ! » Et Garibaldi ajoute : « Les membres de cette association qui aurait dû être dissoute sont des écologistes comme moi je suis le pape. » « Un jour ailleurs » remarque surtout dans cette affaire que « nos paysans, Macron les a pris pour des imbéciles en début d’année au Salon de l’agriculture. Ils ne voient toujours rien venir des promesses qui ont été faites. Alors Darmanin a beau dire que les manifestations seront interdites, on sait très bien ce qui va se passer : destruction de parcelles, violence tous azimuts. Et ça se terminera par quelques arrestations pour la forme, et puis plus rien. Le gouvernement continuera de fermer les yeux… »

Contre cette violence, la culture sauvera-t-elle le monde ? Peut-être, mais ce n’est pas au Festival d’Avignon qu’on trouvera la beauté culturelle française, comme le démontre Jean-Louis Charles dans son article « Le Festival Off d’Avignon, une bouée de sauvetage crevée ». Un sentiment partagé par Jacques Darricarère, qui écrit : « Si le théâtre ressemble à la chanson aujourd’hui, alors on comprend la désaffection du public. Le talent a disparu de beaucoup de productions pour faire place au wokisme et l’entre-soi. » Et Josée Perlaut abonde dans son sens : « Vu le niveau intellectuel de la majorité de ces spectacles, le public ne se bouscule pas pour obtenir une place, il en va de même du théâtre que de la décadence de notre pays, tout fout le camp. » À contre-courant, Catchi tient quand même à faire remarquer que « le festival a ses défauts. Certes, tout n’est pas de bonne qualité. Mais parler de bobos, wokisme, deconstruits systématiquement, que c’est consternant ! Des pièces classiques , des créations basées sur des faits historiques, des témoignages de vies, des biographies, des fictions… Beaucoup de belles choses qui valent bien mieux que des bla-bla de certaines radios, télés. »

Enfin, l’article de Clémence de Longraye,  « L’inverse du Puy du Fou : révélations sur la cérémonie d’ouverture des JO », nous laisse présager une cérémonie d’ouverture des JO elle aussi déconstruite. « Ce qu’il y a de bien, dans tout ça, c’est qu’on n'est pas (encore) obligé de regarder. J’irai donc à la plage en famille », sourit Hadrien. Et Edwige Marie de prendre le contre-pied des organisateurs de cette cérémonie : « Je vais planifier un week-end au Puy du Fou et ses spectacles de qualité, à l’inverse de ceux concoctés par ces tristes sires dignes représentants d’un wokisme débridé et sans âme. »

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