Dans vos commentaires cette semaine : « Bienvenue au club de ce que vivent au quotidien les Français ! »

foresti

L’actualité de cette semaine nous laisse avec une interrogation : sur quelle planète vivent-ils ?

Dans quel monde se rend-on à un enterrement, qui plus est à un enterrement royal, en chaussures de sport ? Sans l’ombre d’une gêne, le couple présidentiel s’est rendu à Londres, à l'occasion des obsèques de la reine Élisabeth II, en baskets. Certes, les Macron ne portaient pas ces chaussures le jour des obsèques, mais tout de même ! Un accoutrement qui n’a pas manqué de faire réagir les lecteurs de l’article de Gabrielle Cluzel « Les Macron en baskets à Londres : et si casser les codes était ringard ? ». Pour Béniguet, « ce n’est malheureusement qu’une preuve de plus de la décadence française ». Polaire 30, de son côté, s’attache à relever le contraste saisissant entre la France et la Grande-Bretagne : « Pendant dix jours, depuis le décès d’Élisabeth II jusqu’à son inhumation, les Britanniques nous ont donné une leçon de grandeur, de dignité et de ferveur. Tout était réglé au cordeau, dans les moindres détails, et le peuple a été constamment et admirablement associé à ces cérémonies. On était loin, très loin, de la vulgarité et de la médiocrité qui sont la marque de fabrique de la France marconienne. » Et Allobroges74130 de clore la polémique : « Quel que soit le type de chaussures, Macron est toujours à côté de ses pompes ! »

Mais les Macron ne sont pas les seuls à vivre dans une autre réalité. Les juges de la Cour administrative de Nantes qui ont acté le déboulonnage d’une statue de saint Michel sous la pression d’une minorité bien-pensante semblent tout autant déracinés. Notre reporter aux Sables-d’Olonne revient sur les protestations contre cette décision de justice dans son article « Contre le déboulonnage, Reconquête soude symboliquement la statue de saint Michel ». D’un côté, il y a ceux qui préfèrent voir le verre à moitié plein et saluent l’action des manifestants comme Ruth Abaga : « Bravo, il faut résister sur tous les plans. Nous en avons assez de cette opération de démolition de la France. Ne laissons rien passer ! » De l’autre, des lecteurs comme Migo s’inquiètent de l’évolution du pays : « Déconstruire, déculturer, en un mot détruire ce qui fait la France : au nom de quoi ou de qui ? C’est insupportable et je ne comprends pas qu’il n’y ait pas de mobilisation plus importante suer ce sujet. » Et Domipa de proposer : « Quant à déboulonner quelque chose, déboulonnons plutôt tous ces soi-disant juges écolo-gauchistes et laïcards dont l’idéologie n’est que de détruire la France, son Histoire, ses traditions et son patrimoine. »

Dans quel monde, enfin, vit Florence Foresti ? Dans l’article de Marie Delarue, « Le Marais et Paris, ça commence à être difficile à vivre », on apprend que l’humoriste réalise, seulement en 2022, que la vie à Paris est loin d’être idyllique. « Bienvenue dans la réalité ! Et encore, ils ne sont pas les plus mal lotis dans le Marais », s’exclame BM77. « Bienvenue au club de ce que vivent au quotidien les Français partout dans ce pays. Peut-être que quand l’insécurité et les racailles iront déranger ces nantis les choses bougeront », interpelle Yolande Steiner. Mais pour Deffy70, difficile de compatir avec Florence Foresti : « Comme tous les bobos, Foresti a voté Hidalgo et toujours à gauche auparavant. Elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même. Qu’elle assume », écrit-il.

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