Dans vos commentaires cette semaine : « La soumission continue. Et dire que nous n’en voulions pas ! »

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Grande semaine d’examens que cette semaine. Le baccalauréat, bien sûr ! En lisant la tribune de Gabrielle Cluzel, « Bac 2022 : “Ludique” un mot compliqué ? À quand une étude de texte de Tchoupi à la plage », l’un de vous s’interroge : « C’est de baccalauréat ou du CAP dont on parle ? » Et se souvient : « Je me rappelle que je connaissais un père de famille ouvrier fraiseur toujours en bleu qui tenait un petit atelier ou il travaillait des pièces pour l’industrie aéronautique. C’était l’archétype du prolo et dans sa bibliothèque au milieu des romans noirs et des San Antonio il y avait une collection impressionnante de prix d’excellence ! C’était dans les années 50 60 ! On respectait encore le travail manuel, et le reste était à l’encan ! »

Mais c’est bien du bac qu'on parle aujourd’hui. Jean F, de son côté, pense que « nous aurons donc une génération qui saura lutter contre toutes les discriminations, même les plus improbables, mais qui sera incapable d’en écrire le terme ». Question de priorité ! Le bac encore, mais à la suite de l’article de Philippe Kerlouan, « Le baccalauréat : un diplôme sans valeur distribué par des faussaires » ». Michel Schneider s’interroge : « Quel ministre de l’Éducation nationale aura le courage de donner une fois un problème de règle de trois et une dictée de certificat d’études de l’année 1900 et de la noter avec les critères de l’époque ? » Réponse de notre lecteur : « Aucun, car on comprendrait vite qu’aucun bachelier actuel ne serait reçu, que les licenciés en sciences seraient reçus à 10 %, et même les docteurs lauréats de nouvelles thèses échoueraient partiellement. Quel succès pour des gens qui prétendent prévoir le climat et gouverner la planète ! » Pipo 56, lui, a un avis très tranché sur le sujet : « La France est un pays qui accorde beaucoup trop d’importances aux diplômes. Tant mieux si ceux-ci perdent de leur crédit. La compétence et le mérite personnel doivent (comme avant) reprendre l’avantage sans s’occuper de cette fausse sélection faite par des incapables. »

Grande semaine d’examens que cette semaine, disions-nous. Pour les lycéens mais aussi pour les Français. Examen de conscience dans l’isoloir. Examen, ou plutôt concours (de circonstance !) pour les candidats aux élections législatives encore en lice pour le second tour. À la lecture de la tribune de Stéphane Buffetaut, « Un État européen à marche forcée », Candide s’exclame : « Pourquoi se plaindre du taux d’abstention aux législatives ? La majorité des Français sait que désormais un député français ne sert plus à grand-chose, sinon à rien, puisque tout est décidé par cette Union européenne qui dicte la feuille de route. Les béni-oui-oui du palais Bourbon sont avec le gouvernement les fossoyeurs de la souveraineté nationale. » Charpenay n’est pas plus optimiste : « La soumission continue. Et dire que nous n’en voulions pas. Aucun avenir à long terme pour cette structure, mais des tensions, voire des conflits à venir. » Anne Aurore Angélique constate même « un vrai désir d’abandon de la souveraineté des États ».

Tout cela n’est pas très réjouissant, convenons-en. Alors, offrez-vous une resucée de bonne humeur en lisant ou relisant le billet de notre ami Jany Leroy, « Jeunes avec Macron : un clip, un flop ». « Qu’est ce que j’ai ri en vous lisant ! », s’est exclamé Deffy 70. Alors, que cette semaine, malgré tout, vous soit joyeuse !

Vos commentaires

8 commentaires

  1. Mon fils a quitté le collège en seconde et ma fille, bac et maîtrise; tous deux font bien une faute à chaque ligne et utilisent l’anglais couramment et le français facultativement. Comme quoi avoir le bac ne signifie pas obligatoirement être doué. C’est juste un niveau d’étude, sans plus.

  2. Pauvres bacheliers et bachelières … On ne leur a pas appris les règles d’orthographe ni de grammaire : ils ne pouvaient pas les inventer ! Et pourtant , c’est bien ce qu’on leur demandait . Les pédagogistes de « Mérieu » (otho ?) ont saboté plusieurs générations de jeunes … Beaucoup de règles du français sont simples , il faut seulement les apprendre … Et les appliquer ( exercices structuraux répétitifs ) . « La répétition est l’âme de la pédagogie . » (Alain) ..CQFD

  3. Fabriquer 90 % de cancres peut être une stratégie politique pour dominer, soumettre. Les 10 % restants les plus méritants, ralliés, achetés, éduqués, disciplinés comme dans une armée, récompensés. Surtout quand le Pouvoir n’a plus de frontières, et copie sur le pays le plus peuplé, qui ne lésine sur aucun excès despotique de confinement au moindre écart. La Politique de nos frères et soeurs des chevaliers Kadosh et Illuminati, maitrise alors à la fois les religions et la gouvernance…

  4. « La majorité des Français sait que désormais un député français ne sert plus à grand-chose, sinon à rien, puisque tout est décidé par cette Union européenne qui dicte la feuille de route ». OUI et c’est pour ça que l’union souverainiste Debout la Fance – Les Patriotes – Génération Frexit, mais également l’UPR sont dans le vrai!

    • et enfin nous allons voir maintenant si un groupe de députés en l’ occurrence R.N sert à quelque chose ou ne sert à rien!

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