Dans vos commentaires, cette semaine : « Qu’on me donne les Botticelli ! »

4096px-Diane_et_Actéon_-_Cavalier_d'Arpin_-_Q18573517

« Ne pas subir », telle était la belle devise du maréchal de Lattre, grand Français, grand soldat. Ne pas subir, c’est bien le cap de Boulevard Voltaire dans une période où les périls redoutés, dénoncés, combattus s’abattent en avalanche sur notre pays. Ainsi avons-nous décidé de publier dix œuvres d’art que certains élèves pourraient considérer comme une provocation. Et tant pis s’ils froissent ceux qui haïssent la France et la civilisation occidentale dont elles sont le joyau.

C’est une réponse, la nôtre, aux menaces inadmissibles faites à un professeur d’un collège des Yvelines qui a souhaité montrer à ses élèves le tableau de Giuseppe Cesari Diane et Actéon. Notre lecteur Michell place la querelle au niveau où elle doit être, à l’échelle civilisationnelle. « La culture européenne a toujours magnifié la beauté féminine, rappelle-t-il. La femme y est présentée comme l’œuvre indépassable de notre créateur. La femme fait l’objet de toutes les attentions car c’est par elle que la vie se transmet et que notre survie est possible. Que ceux qui ne pensent pas comme nous, qui traitent la femme comme un être inférieur et ne veulent pas comprendre nos valeurs quittent l’Europe et la France et s’en retournent dans leurs contrées. ». Netrick indique avec ironie où mènera cette pente si nos professeurs et si la France cèdent : « Que l’on décroche les œuvres de Botticelli, Courbet, Dalí, Delacroix, Durer, Goya, Ingres, Manet, Modigliani, Rubens de tous les musées ou collections privées et que l’on me les donne ! », propose-t-il avec humour.

Médiocrité, suffisance

Qui eût cru, voilà dix ans seulement, que les œuvres classiques sagement rangées dans nos musées porteraient nos valeurs comme une oriflamme dans une bataille ?

Une autre histoire, cette semaine, n’aura sans doute pas plu, ni aux sauvageons dérangés par nos œuvres d’art, ni à ceux qui soutiennent leur arrivée en masse. Car l’actualité a à nouveau mis en vedette un de ces « exemples d’intégration » qui terminent en tôle. Il y a comme la ruine d’une démonstration péremptoire assenée depuis des décennies à grand renfort de subventions publiques, un dogme absolu. Ainsi, le jeune Dylan Robert qui avait décroché à 18 ans le César du meilleur espoir masculin pour son rôle dans le film Sheherazade, de Jean-Bernard Marlin, est mis en examen pour assassinat et tentative d’assassinat sur fond de trafic de drogue. « Chassez le naturel, il revient au galop », commente Jean F. De son côté, Stephk fait mine de s’étonner : « Pourtant, on essaie de nous faire croire que la délinquance est due à la pauvreté. Ces "artistes" n’ont ils pas gagné de l’argent avec leur film ? » Apparemment, l’argent n’a pas suffi, alors même que bien des revenus modestes, à la campagne par exemple, ne sont pas délinquants. Va comprendre ! Pour aki06, le phénomène est connu : « C’est le profil habituel d’un électron libre récupéré par la mouvance bobo parigo qui gangrène aujourd’hui la culture française : médiocrité, suffisance, etc. Tous ces minables subventionnés (à nos frais) s’imaginent être l’élite. Depuis leur bulle, ils ne voient pas arriver la "nouvelle vague" qui les balaiera… » Thierry22 s’amuse : « Oh, une étoile filante ! Vite, un vœu ! » Étoile filante ? Pas sûr, car ce genre de profil dispose de soutiens solides en France. « Quand Dylan aura payé sa dette à la société, explique Maurice Reboh, il n’aura aucun mal a retrouver sa place : les socialistes l’ont déjà consacré comme une super vedette, il le restera quoi qu’il ait fait, sauf viol ou battre une femme. Pour le reste, tout lui sera pardonné ».

Ne pas subir, c’est dénoncer encore. Et révéler ce scandale : l’Union européenne si chèrement entretenue par la France (qui supporte un coût net direct de 10 milliards d’euros par an, rappelons-le) engloutit des millions dans des recherches sur… l’extrême droite !

Quand on vit grassement du gauchisme

« Derrière le pôle "Culture, créativité et société inclusive", qui représente 2 % du budget global (environ 2,280 milliards d’euros), se cachent plusieurs projets de recherches destinés à contrer ce que l’UE appelle les récits "extrémistes", "nationalistes" et "identitaires" », dénonce Clémence de Longraye. Notre lecteur Dbrun interroge : « Mais où s’arrêtera la démence dans les programmes européens ? On est dans l’hallucination totale. Mais comment nous débarrasser de ces fous ? » Martin Gale explique à quel point cette « démence » n’est pas perdue pour tout le monde : « Quand on vit aussi grassement du gauchisme, on a intérêt à voir de l’extrême droite partout. C’est une bonne stratégie pour continuer à vivre dans les ors de l’argent public. » Même analyse présentée différemment par Henri En Lubrano : « Il est vrai, aussi, que les dirigeant actuels de l’Europe risquent gros face à la montée du réflexe nationaliste : fini la bonne vie !, lance-t-il. Les sommes annoncées sont ubuesques, poursuit notre lecteur. La recherche contre le cancer et surtout la nécessité de trouver, comme le font les Américains, de nouveaux traitements est en panne (en France) : on ne peut pas tout financer ! » Non, on ne peut pas tout financer, la destruction de la patrie et son sauvetage. Ne pas subir, ne plus subir. Aidez BV à mener ce combat : nous l’emporterons !

Vos commentaires

7 commentaires

  1. Ce qui me surprend, c’est la provocation que l’on suscite benoitement. Quand j’étais jeune, il ne serait pas venu à l’idée de mes enseignants de présenter un tableau de nues, peut-être qu’il fallait préserver les enfants. Il y a tellement d’oeuvres plus belles. Les enfants ne sont pas encore des adultes, alors prenons soins d’eux.

  2. Tous ces gauchistes, surtout ceux de la « socialie bobo-gaucho-parigot-tête-de-v… et d’ailleurs » , qui se gargarisaient lorsque Mitterrand créa le plus grand musée du monde, le Louvre, ne voyaient pas alors le mal, que leurs potes immigrés, présents ou futurs, eux verraient 30 ans plus tard.
    Prévoir n’est pas le fort des gauchistes, quelque soit le domaine.

  3. Comme la dernière invasion que notre nation à subit parmi tant de précédentes nous avons trop restés passif dans un premier temps, mais toujours la France s’est réveillé et bouté les envahisseurs hors de nos frontières. Là l’histoire se répète.

Commentaires fermés.

Pour ne rien rater

Les plus lus du jour

Un vert manteau de mosquées

Lire la vidéo

Les plus lus de la semaine

Les plus lus du mois