[DANS VOS COMMENTAIRES] « Un gouvernement qui adore la danse »

En France, notre « gouvernement qui adore la danse, un pas en avant, un pas en arrière », selon Patrick Saumet, excelle, comme le dit Luther Whitney dans « l’immobilisme en marche » !

Politique statique concernant le budget, d’abord, puisque le gouvernement l'impose encore à coups de 49.3. On peut se demander, comme Jacques Darricarrere, « à quoi servent et les 577 députés et les 348 sénateurs qui nous coûtent un pognon de dingue si un seul homme peut faire la pluie et le beau temps », mais on peut aussi imaginer qu'il s’agit d’une stratégie qui a fait ses preuves, comme le remarque Candide : « Bayrou ne change pas de tactique, c’est celle qu’il a adoptée à l’Éducation nationale de 1993 à 1997 : en faire le moins possible pour durer le plus longtemps possible. » Pas forcément idiot : ne dit-on pas qu’il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne font pas de bêtises ? D'ailleurs, même quand ils tentent, c'est toujours pour « enquiquiner les braves gens » et « les records de sottise se succèdent à cadence accélérée », comme le remarque dbrun, « mais en revanche, l’immobilisme le plus total prévaut toujours en matière de recherche d’économies » puisque, relève Montvives.canalblog, on prévoit encore de « sortir de la faillite par l’impôt », à croire que « ces coquins vont nous prendre jusqu’à notre dernier slip ! »

Un dernier slip qu’il conviendra, d’ailleurs, de laver le moins possible, selon les recommandations officielles de l'ADEME puisqu’il semble, comme le dit RV, que « le drame de ce pays, c’est que la moitié des gens sont payés pour emmerder l’autre moitié ». Vazimeli s’inquiète : « À quand le contrôle de nos slips par les agents de l’OFB ? » Alesia, lui, est prêt pour monter sur le front du vêtement trop propre : « Si je vois un voisin avec une chemise propre chaque jour, il est possible que je fasse un signalement ! » Après la guerre des boutons, la bataille de la culotte ? Surtout l’art de la diversion… L’UE, elle, a décidé de vous faire avaler des insectes, en plus des couleuvres habituelles. Michel Bigot se permet donc « une suggestion pour transiger : qu’elle arrête de s’occuper des vers et des bouchons de bouteille pour passer à la politique internationale… »

Parce que, pendant que notre gouvernement tente de faire diversion en sauvant la planète à coups de sous-vêtements, en l'ouvrant le moins possible sur les sujets qui fâchent, la gauche, elle, ne perd pas son temps. Même si Renny jacquemart relève qu’à Villeneuve-Saint-Georges, « il n’est pas fort, Boyard ! », il n’en reste pas moins que deux ou trois têtes d’affiche de gauche ont brillé, cette semaine. Ségolène Royal, d’abord, semble être la nouvelle meilleure amie du président Tebboune. Est-ce surprenant ? Comme le dit Milan, « la gauche préfère le "c’est mieux ailleurs" que le "c’était mieux avant" ». Julia Cagé, ensuite, l’économiste reconnue pour son objectivité sur France Inter qui a fait ironiser Michel Beraudo-March : « La déontologie journalistique, à France Inter, est à peu près l’équivalent des droits de l’homme en Corée du Nord. » Enfin, cerise sur le gâteau, voilà Mélenchon qui dévoile son idéal de Grand Remplacement. Au moins, remarque Cagratte, « le message est clair. Mélenchon et consorts du NFP veulent gouverner la France… mais sans Français. »

Cependant, ils ne semblent pas près de réaliser leur rêve puisque, comme le note ICE devant les saccages de l’université de Rennes, « plus la gauche perd du terrain, plus elle est virulente… » Tout n’est peut-être pas perdu, alors, puisqu'on voit encore se rebiffer certains auteurs à l’idée de déjeuner avec Jordan Bardella. Comme Michel Bigot, on se demande : « Sont-ils si peu sûrs de leurs "positions" qu’ils ont peur d’être contaminés ? » En tout cas, « ce carnaval des prétentieux », comme l’appelle Lechonch, « se prive donc de beaucoup de "lecteurs qui puent" », remarque Montvives.canalblog. Peut-être tout simplement que le camp patriote est le seul à suivre les directives de l’ADEME ?

En bref, Montvives.canalblog constate surtout que « le gouvernement socialo-centriste ne veut rien entendre pour sortir la France du coma économique ». Il préfère faire diversion et, de toute façon, à l’entendre, c’est : « Circulez, il n’y a rien à voir ! », comme le remarque Jacswr, puisque « le déni des réalités est la marque de nos gouvernants qui se disent "en responsabilité”" ». En fait, notre gouvernement brille surtout par son adresse à danser sur un volcan ...

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