Black Blocs
Ce lundi 5 juin, BFMTV met les petits plats dans les grands
Il n’est apparemment pas question, cette fois, de laisser entrer les Black Blocs venus de toute l’Europe
Les Black Blocs sont des gens qui militent « par la violence mais pas forcément par la casse », explique le maire.
Ces violences sont l’occasion de mettre en lumière le fossé qui existe entre l’extrême gauche et le PCF.
Une mobilisation marquée par de nombreux affrontements contre les forces de l’ordre.
En réalité, les juges disposent d’un arsenal juridique extrêmement élargi, s’ils souhaitaient, vraiment, mettre hors d’état de nuire les Black Blocs.
Parce que voyez-vous les black blocs sont des être fragiles, avec un petit coeur gros comme ça…
Le 1er mai dernier, trouille et gnons semblent avoir changé de camp.
Quant aux Black Blocs, on peut craindre qu’ils ne seront jamais inquiétés car ils sont identifiables à ceux qui avaient déclenché Mai 68 à l’université Paris-Nanterre, autrement dit à de futures élites.
Un photo-reporter américain (Jeremy Lee Quinn) vient de dévoiler, clichés à l’appui, que les émeutiers ou contre-émeutiers, supposés être des « avatars » du Ku Klux Klan, sont en réalité des… « black bloc anarchists ».
Cette gauche extrême, ces antifas, il est temps d’agir fermement contre leurs actions.
Je crois que les minorités activistes kidnappent abusivement l’espace public et agissent comme un poison lent pour la démocratie.
Il n’y a pas que les coups de barre de fer qui peuvent faire mal à notre récit national.
Arrêter des Black Blocs, c’est compliqué ! En revanche, intercepter les militants identitaires et les faire lourdement condamner semble simple comme bonjour.
En fait d’ordre, la chienlit devient l’ordinaire…
L’ultra-gauche, à la faveur des réseaux sociaux, se déplace en meute à chaque fois que la conférence d’un intervenant étiqueté d’extrême droite, réac ou bien simplement conservateur est annoncée.
L’ISSEP, l’école fondée par Marion Maréchal, a été prise pour cible par des antifas qui n’ont pas hésité à revendiquer leur action sur leur page
Cette guerre civile que nous prévoyaient les bien-pensants avec l’élection de Marine Le Pen, Jupiter, par son inaptitude, est en train de l’organiser.
Dans ce grand brouhaha, les questions nationales et sociales sont éludées.
Dans le langage des médias de 2019, les propos tenus par Anne Hidalgo s’appellent des « fake news ».
Car il s’agit de savoir si des Black Blocs étaient effectivement présents en nombre sur les Champs-Élysées et s’ils ont pu procéder facilement à leurs actes de violence.
Si le Président et son monde pensent avoir gagné et maîtriser la situation, bien des Français sont nettement plus inquiets pour la suite.
Quiconque a couvert ces manifs le sait : les journalistes sont, pour les gilets jaunes, une profession démonétisée. Leur faire retrouver crédit passe par une implacable quête de vérité.
Samedi, Gérard Collomb, faut l’avouer, s’est surpassé.
Black blocs, ces sympathiques petits bourgeois déguisés en casseurs?
Devant la 23e chambre correctionnelle, le profil de ces activistes était édifiant. Aucun n’était en rupture avec la société. Une jeunesse issue de milieu sociaux privilégiés.
Le syndrome Malik Oussekine a encore frappé.
Ce lundi 5 juin, BFMTV met les petits plats dans les grands
Il n’est apparemment pas question, cette fois, de laisser entrer les Black Blocs venus de toute l’Europe
Les Black Blocs sont des gens qui militent « par la violence mais pas forcément par la casse », explique le maire.
Ces violences sont l’occasion de mettre en lumière le fossé qui existe entre l’extrême gauche et le PCF.
Une mobilisation marquée par de nombreux affrontements contre les forces de l’ordre.
En réalité, les juges disposent d’un arsenal juridique extrêmement élargi, s’ils souhaitaient, vraiment, mettre hors d’état de nuire les Black Blocs.
Parce que voyez-vous les black blocs sont des être fragiles, avec un petit coeur gros comme ça…
Le 1er mai dernier, trouille et gnons semblent avoir changé de camp.
Quant aux Black Blocs, on peut craindre qu’ils ne seront jamais inquiétés car ils sont identifiables à ceux qui avaient déclenché Mai 68 à l’université Paris-Nanterre, autrement dit à de futures élites.
Un photo-reporter américain (Jeremy Lee Quinn) vient de dévoiler, clichés à l’appui, que les émeutiers ou contre-émeutiers, supposés être des « avatars » du Ku Klux Klan, sont en réalité des… « black bloc anarchists ».
Cette gauche extrême, ces antifas, il est temps d’agir fermement contre leurs actions.
Je crois que les minorités activistes kidnappent abusivement l’espace public et agissent comme un poison lent pour la démocratie.
Il n’y a pas que les coups de barre de fer qui peuvent faire mal à notre récit national.
Arrêter des Black Blocs, c’est compliqué ! En revanche, intercepter les militants identitaires et les faire lourdement condamner semble simple comme bonjour.
En fait d’ordre, la chienlit devient l’ordinaire…
L’ultra-gauche, à la faveur des réseaux sociaux, se déplace en meute à chaque fois que la conférence d’un intervenant étiqueté d’extrême droite, réac ou bien simplement conservateur est annoncée.
L’ISSEP, l’école fondée par Marion Maréchal, a été prise pour cible par des antifas qui n’ont pas hésité à revendiquer leur action sur leur page
Cette guerre civile que nous prévoyaient les bien-pensants avec l’élection de Marine Le Pen, Jupiter, par son inaptitude, est en train de l’organiser.
Dans ce grand brouhaha, les questions nationales et sociales sont éludées.
Dans le langage des médias de 2019, les propos tenus par Anne Hidalgo s’appellent des « fake news ».
Car il s’agit de savoir si des Black Blocs étaient effectivement présents en nombre sur les Champs-Élysées et s’ils ont pu procéder facilement à leurs actes de violence.
Si le Président et son monde pensent avoir gagné et maîtriser la situation, bien des Français sont nettement plus inquiets pour la suite.
Quiconque a couvert ces manifs le sait : les journalistes sont, pour les gilets jaunes, une profession démonétisée. Leur faire retrouver crédit passe par une implacable quête de vérité.
Samedi, Gérard Collomb, faut l’avouer, s’est surpassé.
Black blocs, ces sympathiques petits bourgeois déguisés en casseurs?
Devant la 23e chambre correctionnelle, le profil de ces activistes était édifiant. Aucun n’était en rupture avec la société. Une jeunesse issue de milieu sociaux privilégiés.
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