Brexit
En matière de souveraineté, le Brexit est une condition nécessaire mais non suffisante : tout dépend de ce qu’on en fait
La Commission européenne, elle, reste sur une position anti-animale au nom du libéralisme agro-alimentaire.
Winston Churchill jugeait la demi-bouteille insuffisante pour une personne au dîner.
La ritournelle sur le Brexit cause de tous les mots évoque encore Molière : « Toute l’excellence de leur art consiste en un pompeux galimatias et un spécieux babil, qui vous donne des mots pour des raisons, et des promesses pour des effets. »
La classe politique a fini par accepter avec résignation la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.
Macron a doublement tort de vouloir jouer les bons élèves du régime de Bruxelles au détriment des intérêts français.
Le taux de chômage britannique, à 4,6 % en juillet, « est plus bas qu’en Amérique, au Canada, en France, en Espagne, en Italie » et le pays a un nombre record de postes vacants.
Les jeunes des quartiers protestants se sont emparés par mimétisme guerrier de la geste violente qui accompagna la gauche catholique et républicaine lors de ce qu’on appelle ici les « troubles ».
Dominic Cummings n’a jamais été la tasse de thé des députés conservateurs, et la réciproque était vraie.
Nous sommes déjà sortis de la récession, précise Tim Wallace, du Telegraph, en parlant du Royaume-Uni.
Les deux partis ont ignoré en toute inconséquence leurs partisans de base et se sont écharpés au-dessus d’un centre d’électeurs indécis qui faisaient l’élection.
Pour obtenir un visa de travail, il faudra présenter des qualifications, des compétences spécifiques qui octroieront des points à hauteur des 70 requis.
Alors, certains ont épousé Europe en votant pour elle. Que la mariée était belle ! Cela n’a duré qu’un temps. Ce n’était guère qu’un fantasme. Après la nuit de noces est venu le réveil amer. Quelle gueule de bois !
Les uns et les autres étaient là avec ce sentiment d’un soir de chute du mur de Berlin.
Analyse du Brexit par François Asselineau, partisan du Frexit au lendemain du Brexit Day. Il avait réuni différents leaders (Jean-Frédéric Poisson, Nicolas Dupont-Aignan, Florian Philippot,
Ce mercredi 29 janvier, Brexit oblige, les eurodéputés britanniques faisaient leurs adieux au Parlement européen…
Que les amoureux de l’Angleterre se rassurent : par beau temps, on apercevra toujours les falaises des côtes anglaises, passé Boulogne-sur-Mer, à l’approche de Calais.
Pour célébrer la sortie de l’Union européenne, il a été prévu une horloge lumineuse chargée de faire le décompte au 10 Downing Street
Il aura fallu plus de trois ans et demi, depuis le référendum de juin 2016, pour que la volonté du peuple britannique soit enfin respectée
Un référendum peut défier le sens de l’Histoire et apporter la preuve que l’Europe n’est pas irréversible.
Aujourd’hui, Boris Johnson est l’homme de la situation…
À la suite de l’écrasante victoire du parti conservateur de Boris Johnson lors des élections législatives au Royaume-Uni, Boulevard Voltaire a recueilli la réaction de
Boris Johnson a réussi à apaiser les craintes sur les conséquences économiques et sociales du Brexit en montrant les avantages du grand large…
En fait, de révélation, rien. Toujours les trois ou quatre mêmes anecdotes éventées qui, la plupart du temps, sont ambivalentes sous l’angle du bien ou du mal.
Le Premier ministre Johnson et le chef de l’opposition Corbyn s’affrontaient, mardi soir, lors de leur premier face-à-face télévisé sur ITV.
Boris Johnson n’a jamais été aussi près de réussir son pari.
La campagne va être terrible. Les anti-Brexit vont jeter toutes leurs forces dans la bataille, avec l’énergie du désespoir.
En matière de souveraineté, le Brexit est une condition nécessaire mais non suffisante : tout dépend de ce qu’on en fait
La Commission européenne, elle, reste sur une position anti-animale au nom du libéralisme agro-alimentaire.
Winston Churchill jugeait la demi-bouteille insuffisante pour une personne au dîner.
La ritournelle sur le Brexit cause de tous les mots évoque encore Molière : « Toute l’excellence de leur art consiste en un pompeux galimatias et un spécieux babil, qui vous donne des mots pour des raisons, et des promesses pour des effets. »
La classe politique a fini par accepter avec résignation la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.
Macron a doublement tort de vouloir jouer les bons élèves du régime de Bruxelles au détriment des intérêts français.
Le taux de chômage britannique, à 4,6 % en juillet, « est plus bas qu’en Amérique, au Canada, en France, en Espagne, en Italie » et le pays a un nombre record de postes vacants.
Les jeunes des quartiers protestants se sont emparés par mimétisme guerrier de la geste violente qui accompagna la gauche catholique et républicaine lors de ce qu’on appelle ici les « troubles ».
Dominic Cummings n’a jamais été la tasse de thé des députés conservateurs, et la réciproque était vraie.
Nous sommes déjà sortis de la récession, précise Tim Wallace, du Telegraph, en parlant du Royaume-Uni.
Les deux partis ont ignoré en toute inconséquence leurs partisans de base et se sont écharpés au-dessus d’un centre d’électeurs indécis qui faisaient l’élection.
Pour obtenir un visa de travail, il faudra présenter des qualifications, des compétences spécifiques qui octroieront des points à hauteur des 70 requis.
Alors, certains ont épousé Europe en votant pour elle. Que la mariée était belle ! Cela n’a duré qu’un temps. Ce n’était guère qu’un fantasme. Après la nuit de noces est venu le réveil amer. Quelle gueule de bois !
Les uns et les autres étaient là avec ce sentiment d’un soir de chute du mur de Berlin.
Analyse du Brexit par François Asselineau, partisan du Frexit au lendemain du Brexit Day. Il avait réuni différents leaders (Jean-Frédéric Poisson, Nicolas Dupont-Aignan, Florian Philippot,
Ce mercredi 29 janvier, Brexit oblige, les eurodéputés britanniques faisaient leurs adieux au Parlement européen…
Que les amoureux de l’Angleterre se rassurent : par beau temps, on apercevra toujours les falaises des côtes anglaises, passé Boulogne-sur-Mer, à l’approche de Calais.
Pour célébrer la sortie de l’Union européenne, il a été prévu une horloge lumineuse chargée de faire le décompte au 10 Downing Street
Il aura fallu plus de trois ans et demi, depuis le référendum de juin 2016, pour que la volonté du peuple britannique soit enfin respectée
Un référendum peut défier le sens de l’Histoire et apporter la preuve que l’Europe n’est pas irréversible.
Aujourd’hui, Boris Johnson est l’homme de la situation…
À la suite de l’écrasante victoire du parti conservateur de Boris Johnson lors des élections législatives au Royaume-Uni, Boulevard Voltaire a recueilli la réaction de
Boris Johnson a réussi à apaiser les craintes sur les conséquences économiques et sociales du Brexit en montrant les avantages du grand large…
En fait, de révélation, rien. Toujours les trois ou quatre mêmes anecdotes éventées qui, la plupart du temps, sont ambivalentes sous l’angle du bien ou du mal.
Le Premier ministre Johnson et le chef de l’opposition Corbyn s’affrontaient, mardi soir, lors de leur premier face-à-face télévisé sur ITV.
Boris Johnson n’a jamais été aussi près de réussir son pari.
La campagne va être terrible. Les anti-Brexit vont jeter toutes leurs forces dans la bataille, avec l’énergie du désespoir.
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