Statut de la Catalogne
Après les émeutes indépendantistes en Catalogne, la situation reste très tendue. À trois semaines de nouvelles élections législatives, convoquées par le Premier ministre socialiste Pedro
Le vote d’hier ne peut conduire à l’indépendance.
Il avait commis un seul crime : porter des bretelles aux couleurs du drapeau espagnol.
Le 21 décembre, la victoire électorale de l’unionisme reste possible, mais elle est loin d’être assurée.
La proclamation de la « République de Catalogne » par le Parlement catalan n’a provoqué la reconnaissance diplomatique par aucun État souverain.
On doute fortement que le fameux compromis à la belge (en réalité, un consensus mou) puisse régler la situation espagnole.
Naïf, je m’imaginais que l’honneur élémentaire, pour lui, était de rester, d’assumer.
Un phénomène global ? Sans nul doute. Lequel commence d’ailleurs à prendre de l’ampleur en Italie.
L’Histoire vient conforter la géographie : l’Alsace s’enorgueillit d’avoir été longtemps une région indépendante jusqu’à son annexion par la France en 1648…
« Attention, les peuples se réveillent. Et pas seulement en Catalogne… »
Il s’est enfin jeté, et avec quelle force, dans la rue. Un million de personnes le 8 octobre à Barcelone, un million cent mille hier.
Le Système bruxellois (qui usurpe le beau nom d’Europe) est, depuis qu’il a abjuré les sains principes du traité de Rome, cliniquement mort.
C’est tellement beau et romantique, une jeunesse qui fiche le bazar dans l’auberge espagnole – pardon, catalane.
Que se passera-t-il lors des élections qui doivent être convoquées au plus tard dans six mois ?
Après le vote de la motion d’indépendance de la Catalogne, le Sénat espagnol vient de voter l’application, pour la première fois, de l’article 155 de la Constitution.
Puigdemont est un petit récipient qui ne manque pas d’air pour combler le vide.
Soros et son Open Society Foundation sont en train de jouer dans les coulisses de l’indépendantisme catalan…
Les dirigeants de l’UE ont cru qu’il fallait manipuler les régions pour affaiblir les États ; ils ont fini par comprendre que cette politique menait au chaos.
Quelle bouffonnade, quelle farce, quel ridicule ! La République indépendante de Catalogne, proclamée ce mardi 10 octobre, n’aura duré que… 8 secondes.
La tentative de coup d’État de Puigdemont est infiniment plus grave que les prétendues violences policières.
En France, on aime bien les rois et les reines, mais à condition qu’ils soient bien sages dans leur joli carrosse.
Une vingtaine de camions de l’armée de terre sont partis hier soir d’une base militaire près de Saragosse pour Barcelone, où ils sont arrivés ce matin.
Les États n’étant plus à même de jouer le rôle de rempart, le cadre régional apparaît comme le cocon permettant de se protéger de la globalisation.
Certains ne manqueront pas de voir dans ce qui se passe en Catalogne comme une sorte de prémisses d’un « printemps des régions ».
Ce qui se passe, c’est un coup d’État dont l’enjeu est la sécession unilatérale et la révolution.
En Catalogne, ces derniers temps, l’actualité se partageait en deux sujets : l’indépendance, donc, et le rejet des touristes…
Après les émeutes indépendantistes en Catalogne, la situation reste très tendue. À trois semaines de nouvelles élections législatives, convoquées par le Premier ministre socialiste Pedro
Le vote d’hier ne peut conduire à l’indépendance.
Il avait commis un seul crime : porter des bretelles aux couleurs du drapeau espagnol.
Le 21 décembre, la victoire électorale de l’unionisme reste possible, mais elle est loin d’être assurée.
La proclamation de la « République de Catalogne » par le Parlement catalan n’a provoqué la reconnaissance diplomatique par aucun État souverain.
On doute fortement que le fameux compromis à la belge (en réalité, un consensus mou) puisse régler la situation espagnole.
Naïf, je m’imaginais que l’honneur élémentaire, pour lui, était de rester, d’assumer.
Un phénomène global ? Sans nul doute. Lequel commence d’ailleurs à prendre de l’ampleur en Italie.
L’Histoire vient conforter la géographie : l’Alsace s’enorgueillit d’avoir été longtemps une région indépendante jusqu’à son annexion par la France en 1648…
« Attention, les peuples se réveillent. Et pas seulement en Catalogne… »
Il s’est enfin jeté, et avec quelle force, dans la rue. Un million de personnes le 8 octobre à Barcelone, un million cent mille hier.
Le Système bruxellois (qui usurpe le beau nom d’Europe) est, depuis qu’il a abjuré les sains principes du traité de Rome, cliniquement mort.
C’est tellement beau et romantique, une jeunesse qui fiche le bazar dans l’auberge espagnole – pardon, catalane.
Que se passera-t-il lors des élections qui doivent être convoquées au plus tard dans six mois ?
Après le vote de la motion d’indépendance de la Catalogne, le Sénat espagnol vient de voter l’application, pour la première fois, de l’article 155 de la Constitution.
Puigdemont est un petit récipient qui ne manque pas d’air pour combler le vide.
Soros et son Open Society Foundation sont en train de jouer dans les coulisses de l’indépendantisme catalan…
Les dirigeants de l’UE ont cru qu’il fallait manipuler les régions pour affaiblir les États ; ils ont fini par comprendre que cette politique menait au chaos.
Quelle bouffonnade, quelle farce, quel ridicule ! La République indépendante de Catalogne, proclamée ce mardi 10 octobre, n’aura duré que… 8 secondes.
La tentative de coup d’État de Puigdemont est infiniment plus grave que les prétendues violences policières.
En France, on aime bien les rois et les reines, mais à condition qu’ils soient bien sages dans leur joli carrosse.
Une vingtaine de camions de l’armée de terre sont partis hier soir d’une base militaire près de Saragosse pour Barcelone, où ils sont arrivés ce matin.
Les États n’étant plus à même de jouer le rôle de rempart, le cadre régional apparaît comme le cocon permettant de se protéger de la globalisation.
Certains ne manqueront pas de voir dans ce qui se passe en Catalogne comme une sorte de prémisses d’un « printemps des régions ».
Ce qui se passe, c’est un coup d’État dont l’enjeu est la sécession unilatérale et la révolution.
En Catalogne, ces derniers temps, l’actualité se partageait en deux sujets : l’indépendance, donc, et le rejet des touristes…
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