[Edito] Belattar le conseille : Macron, otage des banlieues islamisées
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Bien s’entourer est un art, celui des grands. Louis XIV sut s’appuyer sur le génie de Colbert, de Vauban, de Molière et bien d’autres. Napoléon eut ses généraux et ses juristes. Le plus éclatant de nos capitaines d’industrie, Bernard Arnault, le patron de LVMH, ne serait pas ce qu'il est sans la compétence de son collaborateur juridique, feu Pierre Godé. Dis-moi qui te conseille... À cette lumière, Emmanuel Macron se révèle pour ce qu’il est : l’inverse des grands.
Belattar, thermomètre de l'Élysée
Dans un article daté de ce 14 novembre, L'Express révèle que deux conseillers du prince qui nous gouverne ont accueilli et reçu les conseils éclairés d'un sulfureux expert ès banlieues inflammables : Yassine Belattar. À quelques jours de la marche contre l’antisémitisme, Frédéric Rose, conseiller intérieur et sécurité de l'Élysée, et Bruno Roger-Petit, conseiller mémoire, ont trouvé judicieux de prendre l’avis de ce « faux comique et vrai militant », comme le décrit le patron de Reconquête Éric Zemmour. Macron à la manifestation ? Belattar a tiré la sonnette d’alarme : ce serait « une erreur irréparable », a dit l'auguste pythie de l'opinion islamisante en France. De quoi sidérer l'opinion et les élus, à l'image de François-Xavier Bellamy.
C’est donc à Yassine Belattar, "ni Charlie ni Nice", égérie du CCIF, condamné pour menaces de mort, que l’Élysée a demandé si le président devait marcher contre l’antisémitisme. Pour être avertis que ce serait une "erreur irréparable". La honte absolue... https://t.co/ymTHYJiJEZ
— Fx Bellamy (@fxbellamy) November 15, 2023
« L’un des participants à cet échange » a confié à L'Express la raison de cette invitation : pour l'Élysée, Belattar « est un thermomètre, une personne-ressource. Il fait partie de ces sociologues opportunistes qui peuvent alerter sur l’état d’esprit de certaines parties de la société. » Sociologue, donc, Yassine Belattar ? On aura tout entendu...
Multiples affaires
Voilà des années que le personnage tourne en coulisses autour du président de la République : il fut ainsi membre du Conseil présidentiel des villes, un « machin » mis sur pied en 2018 pour apporter des solutions aux problèmes des banlieues. Le résultat fut flambant, comme ont pu le constater les Français avant l’été… Le Président continue donc de s'abreuver à cette source d'eau brûlante, bien connue des lecteurs de Boulevard Voltaire. Le 19 septembre dernier, sur la foi de l’AFP, nous relations que « le tribunal correctionnel de Paris a[vait] jugé l’humoriste de 41 ans coupable de menaces de mort et de crimes à l’encontre du scénariste et metteur en scène Kader Aoun ». Des menaces de mort que notre homme eut du mal à démentir, car elles avaient fait l’objet d’un enregistrement téléphonique. Pour faire bonne mesure, la Justice a également condamné le digne conseiller présidentiel des villes « à une obligation de soins et à une interdiction de rencontrer les victimes ». Le 7 janvier 2022, ce héraut des banlieues était placé en garde à vue dans l’affaire qui l’oppose à notre journaliste Jordan Florentin (alors chez Livre noir). Jordan Florentin et un de ses collaborateurs l'accusent de les avoir séquestrés dans un théâtre où l'humoriste donnait un spectacle. Là aussi, l’opération a été filmée.
Macron, balise flottante au gré des vents
L’homme qui avait laissé planer la menace d’une candidature présidentielle anti-Zemmour - « Ouais, ouais, ouais, Éric, on arrive », hurlait-il avec l'élégance qui le caractérise lors d’un spectacle en janvier 2022 – multiplie les provocations : contre Éric Naulleau, contre le ministre de l’Éducation - « Si j'étais lui, j'éviterais de mettre les pieds dans le 93… » - ou contre la journaliste Zineb El Rhazoui - « Inch Allah t’es plus là en 2020 ! », lui avait-il lancé. Elle avait souhaité que cette année 2020 « soit celle de la victoire sur le fascisme islamique ». Ce musulman militant s’est encore signalé en lançant « Nous ne sommes pas dans un projet d’assimilation » ou « Je ne mangerai pas de porc, je ne boirai pas d’alcool […] la France doit s’habituer au fait que nous restons. »
Avec des conseillers de cette qualité, Macron, dont les idées ont de plus en plus l’allure d’une balise flottant au gré des vents, a peu de chance de choisir l'intérêt de la France. L'Express montre bien (ce dont chacun se doutait) que le Président a longuement hésité avant la manifestation avant de choisir de… ne pas y aller : la crainte d'embraser les banlieues l'a emporté. On connaît le mot prêté à Churchill avant la guerre : « Le gouvernement avait le choix entre la guerre et le déshonneur. » Pour sauver une paix civile qui n'existe plus, Emmanuel Macron est devenu l’otage volontaire des banlieues insoumises travaillées par l’islamisme. Lui aussi a choisi le déshonneur, et la guerre.
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85 commentaires
Macron s’entoure de collaborateurs toujours d’un niveau inférieur à lui, mais pas d’adversaires ou de rivaux..
Pauvre Macron ! Je le pensais intelligent, erreur, il n’est que minable et froussard et immature et fait même appel aux voyous.
Minable vous dis je ! Malheur au pys dirigé par un enfant.
Pire que lui, ceux qui l’ont élu.
depuis le 7 octobre + de 1500 actes antisémites, + de 500 actes antichrétiens dont les derniers en date le saccage de stèles juives dans le Nord dans un cimetière, et le saccage de la basilique de Rouen, et 132 actes anti musulmans.
il fallait un bouffon au roi, il l’a trouvé, venant compléter sa panoplie dans le genre déjà des 2 énergumènes faisant des roulades dans les jardins de l’Elysées, des drag queens en bas résille sur les marches du palais, le roi ayant supprimé en contre partie la garden party après le défilé du 14 juillet, le seul jour où le peuple voyait où passait son argent.
Il est grand temps que ces faux-c… de LR se décident enfin à voter la première motion de censure qui se présentera ! Il faut absolument renverser ce pouvoir qui est en train de détruire le pays ! Et le plus tôt sera le mieux !
Ce n’est pas seulement Macron qui est l’otage des banlieues islamisées, c’est l’Europe toute entière et la France en particulier. Moi qui ai plus de 80 ans, je conseillerais aux jeunes voulant rester en Europe, d’apprendre l’arabe et d’étudier le coran. Ce n’est pas du défaitisme, c’est du bon sens, car l’Europe, L’Afrique, le moyen orient et l’Indonésie seront très rapidement musulmans, avant 2050 il y aura une mosquée à l’Élysée, que nous le voulions ou non.
Ne disposons-nous pas de suffisamment d’éléments pour qu’une démarche de destitution soit engagée ?
La France est le pays de l’UE qui compte le plus de musulmans dans sa population , plusieurs centaines de morts et de blessés en France dans des attentats islamistes , Macron a peur , il marche sur des grenades offensives .
C’etait une mauvaise idée d’y aller, la place d’un président n’est pas au milieu des gros bras de la LDJ et du BETAR.
La réception de Yassine Bellatar coïncide avec la condamnation de Éric Dupond-Moretti qui va le contraindre à démissionner de son poste de garde des sceaux ! Macron a sûrement pensé à lui pour être son successeur.
Comme le rappelait utilement ce matin un chroniqueur dans la matinale d’Europe1, imagine-ton De Gaulle prendre un avis auprès de Fernand Raynaud ?…
Curieux de la part de cet homme, à priori intelligent, de s’entourer d’hommes jeunes, peu éduqués, au passé sulfureux, musulmans, il se rapproche, ou plutôt il ressemble de plus en plus à MELENCHON.
L’élève dépasse le maître nous avions eu « Hollande et Léonarda » maintenant nous avons « Macron et Bellatar » (je passe sur Benalla), à suivre ce n’est pas fini !
Ses réunions pour demander aux autres ce qu’il faut faire, on fait long feux. Le stagiaire de l’Élysée est incompétent , et il le sait. Son gouvernement ne vaut pas mieux. Au lieu de refuser d’aller à la réunion, pourquoi ces « fortes têtes » ne demandent pas la destitution de cette calamité ?
Macron a acté la partition de la France entre deux peuples, celui des musulmans et les autres. Pour ses conseillers, on peut y voir la conséquence logique pour eux d’interroger un des représentants de l’islamisme national pour sonder le sentiment de ces gens. D’autant que nombre des penseur, initiateurs de la doxa dominante comme Jacques Attali, par exemple, ont récemment effectué des virages à 180° dans leurs analyses.