Entrisme islamiste : la lutte contre l’islamophobie a sa journée et sa semaine
Un entrisme islamiste offensif dans les universités : semaine de lutte contre l'islamophobie à Sciences Po !
Une fois de plus, c'est Florence Bergeaud-Blackler qui sonne l'alerte : elle dénonce, dans un message sur X, l'organisation d'une « semaine de lutte contre l'islamophobie » à Sciences Po Paris, à l'instigation d'une association Salaam Sciences Po. Avec, notamment, comme invités de marque Médine, Fateh Kimouche (créateur du site halal Al Kanz), Thomas Sibille. Pour elle, « l'idéologie frériste de cette association Salaam Sciences Po [...] n'a pas sa place à Sciences Po ».
L'idéologie frériste de cette association Salaam Sciences Po dont les invités sont Médine, Fateh Kimouche créateur du site halal Al Kanz, Thomas Sibille ou autrefois Tariq Ramadan n'a pas sa place à Sciences Po.
Cette idéologie est dangereuse.
Dehors. pic.twitter.com/bu8keQEaYQ— Florence Bergeaud-Blackler (@FBBlackler) April 11, 2025
Une semaine contre l'islamophobie à Sciences Po Paris !
Cela fait un mois que la polémique couve au sujet de cette semaine qui doit se tenir à partir de lundi. Sur la sellette : Thomas Sibille, fondateur d’une librairie musulmane, surveillé comme « individu en relation avec la mouvance islamiste d’Île-de-France », d'après Le Figaro, qui précise que la présence de cet invité de l’association Salaam a été dénoncée par une membre du Conseil de l’IEP de Paris. Dans le viseur, aussi, l’association Salaam Sciences Po elle-même, accusée d'avoir fait intervenir, entre autres, une personnalité fichée S au sein de l’établissement. Louise Garnier, élue au Conseil de l’Institut d’études politiques de Paris, listait sur X, dès le 14 mars dernier, toutes ces accointances problématiques et demandait une enquête à la direction.
Un fiché S invité à Sciences Po ?
Lundi prochain, l’aumônerie de SciencesPo organise un sympathique dîner œcuménique avec l’association Salaam Sciences Po.
L’occasion de faire quelques révélations sur cette association islamique pas aussi innocente qu’il n’y paraît
— Louise (@louisegrner) March 14, 2025
Déjà, la Journée mondiale de lutte contre l'islamophobie, le 15 mars...
On savait qu'il y avait déjà, depuis 2022, une Journée mondiale de lutte contre l'islamophobie décidée par l'ONU, à l'initiative de la République islamique du Pakistan et de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), qui rassemble des pays où la liberté religieuse… n'existe pas ! Une Journée dont Arnaud Florac avait dénoncé les hypocrisies et les intentions : l'entrisme islamiste. La lutte contre l'islamophobie est bien ce cheval de Troie de l'islamisme lancé à la conquête des sociétés occidentales. Elle avait sa journée mondiale ; elle crée, ici ou là, sa semaine.
Journée, semaine, mois : l'islamisme avale tout le calendrier !
Mais si vous recherchez sur le Net les initiatives de lutte contre l'islamophobie, en France mais ailleurs aussi, vous allez constater que c'est… tout le temps ! Jour, semaine, mois : tout est bon pour favoriser la propagande d'un islam victimaire qui serait persécuté. Telle journée de septembre ou semaine de janvier au Canada (29 janvier, à l'initiative de Justin Trudeau), de novembre en France (la célèbre manif de 2019, avec ses débordements et ses polémiques), tel « mois canadien de l'histoire islamique », selon telle ou telle commémoration, déclaration, événement au Proche-Orient ou le calendrier électoral de l'islamo-gauchisme. Islamisation du calendrier et du temps (le ramadan, désormais incontournable, au JT, dans les rayons des supermarchés), islamisation de l'espace, par les mosquées, les voiles, les tenues, les prières de rue, islamisation des mœurs, islamisation par la langue, entrisme dans les universités via, notamment, les syndicats étudiants de gauche (voir la représentante de l'UNEF à l'université Bordeaux Montaigne débloquée vendredi). Une inflation inversement proportionnelle au nombre d'actes anti-musulmans effectivement commis en France qui, selon le ministère de l'Intérieur, a diminué d'un tiers en 2024 (173 actes seulement). Alors, quelle sera la prochaine étape ?
Frédéric Sirgant
Chroniqueur à BV, professeur d'Histoire
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Si je dis que la charia est incompatible avec nos lois, notre culture sui-je – islamophobe ou lucide ?
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Alors que:
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La honte totale!
Rassurons nous (je cite le texte ci dessus) : ‘Aumônerie de Sciences Po organise un sympathique diner oecuménique avec l’association Salaam Sciences Po « …Il y aurait donc de « l’islamophobie » sous roche ?? En tout cas ce n’est pas le phénomène constaté en général à travers le pays, et les lecteurs de B.V entre autres, en sont bien conscients ..!
Nous en avons plus qu’assez d’entendre parler d’islamophobie, quel est le pays en terre d’islam où les chrétiens et les juifs peuvent pratiquer librement leur religion sans risque ? AUCUN ! Avec l’islam il n’y a pas de réciprocité possible, aussi, quel culot, quelle imposture d’entendre certains musulmans, en Europe et en particulier en France se plaindre « d’islamophobie » encouragés en cela par des islamo-gauchistes comme ceux de Sciences Po entre autres, et souvent hélas, par des élus de la République !
Faux , aux émirats arabes unis, vous pouvez pratiquer le culte catholique, juif , et bouddhiste.
Il y a même a abou Dhabi une congrégation religieuse des sœurs maronites .
Et un collège saint Joseph catholique.
A Doha au Qatar la plus grande église du golfe 3000 places .
Par contre aucune église en Arabie,j’y ai vécu 2 ans .
Les citoyens de ces pays ont-ils le droit de fréquenter ces cultes ? La conversion à une autre religion que l’islam est-elle autorisée ?
Toutes les religions ont des extrémistes , des fondamentalistes , des intégristes , mais chez nous, une seule religion pratique le terrorisme , car c’est une religion qui est aussi un parti politique totalitaire et une loi suprême , c’est ce triptyque qui pose problème
J’ajoute à cette triplette le soutien des stratèges d’extrême gauche et de ses sympathisants. Sans leur pouvoir lubrifiant, l’entrisme reste possible mais l’entrée est beaucoup plus problématique.