Et si l’on osait (enfin) parler du coût de l’immigration ?
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L’immigration française est peu qualifiée. C’est ce que pointe Nicolas Pouvreau-Monti, fondateur et directeur de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie, lors d’un entretien, mardi 27 mars, sur CNews.
Le coût annuel de l'immigration en question
Entre 35 et 40 milliards d’euros. C’est le coût annuel de l’immigration en France, première génération des descendants d’immigrés compris, après avoir ajouté leur contribution. C’est ce que rapportait l’OID, mardi 26 mars, d’après l’OCDE en 2021, repris par l’État et par le CEPII en 2018 (service rattaché au Premier ministre). Ce montant représente entre 1,4 et 1,6 % du PIB, un tiers des recettes annuelles des impôts sur le revenu, et dépasse le montant des dépenses de l’Intérieur. Pourtant Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, se garde bien d’interroger le coût de l’immigration dans sa démarche de chasse aux économies pour 2024.
En s’en remettant à l’estimation la plus récente du consultant international sur l’Afrique et les migrations, Jean-Paul Gourévitch, en date de 2023, le budget de l’immigration s’élève même à 54 milliards. Cela représente plus d’un tiers de la dette publique qui sera contractée par l’État en 2024 : 141,323 milliards d'euros, selon le budget établi par le ministère de l’Économie. Rapporté au budget de l’État qui s’élève à 582 milliards d’euros, l’immigration pèse pour plus de 9 % !
L'immigration actuelle est de toute évidence un coût pour la France. pic.twitter.com/J8uyKqFCV3
— Marc Vanguard (@marc_vanguard) March 26, 2024
Une contribution trop faible des immigrés
Un tel coût peut s’expliquer par le manque de contribution des immigrés de manière absolue par rapport à ce que l’État leur donne et, de manière relative, par rapport aux Français. Nicolas Pouvreau-Monti rapporte que les immigrés sans qualification (de niveau brevet ou CAP) venant en France sont 2,5 fois plus nombreux que ceux venant au Royaume-Uni. Il explique cela par l’attractivité supérieure des universités britanniques, du secteur financier et également le système de solidarité français moins incitatif à travailler. Ce phénomène s’accompagne d’un niveau de chômage et d’inactivité très fort. Chez les Algériens, une des population les plus représentées dans l’immigration française, le chômage est trois fois plus important que chez les Français : 41 %. Les inactifs sont souvent des femmes au foyer dont la culture n’encourage pas autant l’émancipation de la femme que la culture française. Ceci explique cela :
« Nous avons d’une part une population qui contribue moins au système de solidarité collective parce qu’elle est plus souvent inactive et qu’elle occupe des postes où l’on cotise moins et, d’autre part, ces populations consomment beaucoup plus les systèmes de solidarité collective », remarque-t-il. Pour preuve, les immigrés algériens, principalement représentés dans les titulaires de titres de séjour, sont quatre fois plus nombreux que les Français à accéder aux HLM, logements financés par le système de solidarité, d’après ses estimations.
Nicolas Pouvreau-Monti : « Le Royaume-Uni, par exemple, est en mesure d'attirer une immigration qualifiée en volume plus nombreux. En France, on a des immigrés qui sont en moyenne 2,5 fois plus nombreux à n'avoir aucune qualification», dans #LaMatinale pic.twitter.com/prmyKNH9KW
— CNEWS (@CNEWS) March 27, 2024
Pour autant, l’immigration est loin d’être monolithique sur le plan géographique et son impact diffère. L’immigration sud-asiatique fait figure d’exception en matière de coût, du fait de la suractivité de sa population, de sa sur-réussite et de sa sous-représentation en matière de délinquance et au niveau carcéral.
Les chiffres permettant de mesurer et de qualifier l’immigration en France ne manquent pas et les rapports de cet observatoire d’initiative citoyenne, donc indépendant, sont à la disposition des décideurs politiques et des citoyens. Dans la mesure où l’immigration s’accélère, et a fortiori ses coûts, et où la dette de la France plonge à 3.000 milliards d’euros, les constats doivent laisser place à des actions concrètes.
« La soutenabilité de cette politique d’immigration n’est pas possible sur le plan budgétaire et économique », précise Nicolas Pouvreau-Monti. Pour certains, pourtant, ça n'a pas l'air d'être un problème.
42 commentaires
C’est un secret pour personne sauf pour nos politiques aveugles et les écolos gauchistes islamisés et fanatisés. Mais personne ne bougera avant la chute finale ( la guerre civile ou plutôt de religion).
Pas de problème pour le gouvernement à payer la facture de l’immigration. Ils vont bientôt piquer aux Français qui ont encore des « sous », leurs économies, puiser dans les comptes bancaires (loi Sapin, décrétée par un socialo !), les livrets A et autres, bloquer les assurances-vie… Les raisons vaseuses ne manqueront pas : « la nation en danger devant la menace étrangère Russe (article 22 121), relever la France en faillite, participer à la revitalisation de la France, etc. »
Surtout, qu’en ces périodes de disette, en voilà un secteur où l’on pourrait, de façon juste et équitable, économiser quelques dizaines de milliards d’euros. On peut aussi rajouter à ce coût de l’immigration le coût de la délinquance qui découle de cette immigration. On ferait d’une pierre 2 coups : diminuer le budget de 45 m d’€ que nous coûte cet enrichissement et réduire la délinquance. Ce serait bien plus équitable et plus rentable que de taper sur les chômeurs et sur les vieux qui ont bossé toute leur vie il me semble. Cela n’empêchera pas de traquer les fraudes chez les chômeurs et autres bénéficiaires des aides sociales.
Tout le monde le sait …
Depuis la loi sur le droit du sol ça doit nous faire une addition sacrément salée. Parti comme c’est parti aujourd’hui les français vont y sacrifier leur protection sociale. Décidément l’immigration est une chance pour la France.
Ils préfèrent faire payer aux salariés et aux retraités leurs erreurs financières. C’est plus simple et en accord avec leur idéologie. Il est inutile de vouloir lutter contre l’arrivée de ces populations. Il suffirait, comme pour beaucoup d’autres choses d’ailleurs, d’en corriger les raisons, à savoir: les prestations sociales et autres subsides , le regroupement familial, les envois de devises à l’étranger, 500€, c’est pour la plupart le revenu d’une année qu’ils envoient au pays, et a la clé pour ces personnes illégalement sur notre territoire une régularisation. Les trafics et la violence qui en découlent feront le reste des revenus. Alors oui, cette immigration est un fardeau, et certainement pas une chance pour la France, sauf pour certains groupes de restauration, du bâtiment et d’autres qui en tirent profit avec une main-d’œuvre sous-payée ou des investisseurs immobiliers peu regardent sur les sources de revenus , ainsi que la grande distribution qui voit en ces cohortes de fidèles consommateurs réglant pour la plupart avec l’argent des trafics en espèces.
Attal préfère s’en prendre aux chômeurs. C’est tellement plus simple ! Grande opération de nettoyage pour les J.O , Attal envoie les migrants à la campagne, faute d’y mettre des usines !
il y a déjà 30 ans en arrière, une personne de l’insee me racontait que la prime de rentrée scolaire servait à une population de la ville de Lunel à acheter des téléviseurs…
Et le fonds social de l’assedic sollicité pour régler des retards de loyer à payer téléviseur, ordinateur etc… pour cette même population.
A l’attention des Mozart de la finance ou plutôt Toacards comme l’ a dit NDA pour faire de vraies économies il faut stopper l’immigration qui coûte cher à tous les points de vue n’étant qu’une malchance pour les pays qui la subissent, réduire conséquemment les dépenses de l’état au niveau de TOUS ses employés, limités aux français les multiples subventions , primes et chèques de toutes sortes, arrêter de financer tout et n’importe quelle association dont celle qui sont contre notre nation, changer ce train de vie royal des gouvernants et réduire les impôts et taxes pour développer la consommation. Le temps du pas de vagues est revolu, ceux qui ne seraient pas contents de ces mesures pourraient aller vivre ailleurs.
Des études universitaires en Allemagne, Danoise et anglaises montre le coût exorbitant de l’immigration africaine et moyenne Orientale
C’est tellement plus facile de surtaxer les Français
« La soutenabilité de cette politique d’immigration n’est pas possible sur le plan budgétaire et économique »enfin une parole sensée et ces chiffres sont en dessous de la réalité si l’on prend tout en compte .
A l’heure ou le gouvernement , la France doit faire des économies , les sommes utiliser pour les migrants sont les premières qui doivent être pris en compte pour ces économies , stop aux subventions et aides aux associations pro migrants, les adhérant de ces associations n’ont qu’a payer de leur poches, ce n’est pas a la population qui est contre l’arrivée massive de ces personnes de paye.
Je souscrit totalement à cette saine parole Poulbot !
Un sujet tabou tout comme celui de la binationalité et la déchéance de nationalité pour les binationaux délinquants
pourquoi une personne ayant un CAP serait considéré comme étant sans qualification ? par contre je suis d’accord, il convient de baisser les aides pour les personnes délinquantes, ou n’ayant rien à faire sur le territoire, par exemple baisser les aides des ONG pro-migrants, et laisser la place dans les centres de rétention pour y mettre des immigrés plutôt que des bureaux pour les ONG.
Déchéance de nationalité pour les binationaux délinquants..tout simplement.
Il faut fermer les robinets à ces associations promigrants qui nous coûtent des milliards !
Bonjour. Vous qui êtes du 36 , allez voir à Ardentes s’ils sont contents d’avoir un « lieu d’accueil » pour migrants ! …