Fermeture de C8 : les révélations de Jules Torres

Brève 1

Le journaliste du JDD Jules Torres révèle une conversation qu'il a entendue, ce 21 février dans un restaurant, au cours de laquelle trois représentants de l'Arcom auraient affirmé : « On nous a demandé de virer Cyril Hanouna, on l’a fait, on a fait notre boulot. » Si de tels propos étaient confirmés, le scandale de la fermeture de C8 prendrait une tournure plus qu'embarrassante pour l'agence de régulation des médias.

Vos commentaires

87 commentaires

  1. Oeil pour oeil dent pour dent.
    Ne soyons pas angéliques et faisons la même chose.
    Rien que cette semaine une journaliste de matinale exhibe tous les jours son stylo et son smartphone, ensuite nous voyons bien la marque de ses baskets sous sa longue jupe.
    Il suffit juste de prendre une photo et de rechercher avec « Lens » pour connaître les marques. Elle doit bien se faire un beau billet mensuel car les fans veulent les mêmes.
    Signalement a l’ARCOM pour placement de produits.

  2. J’ai comme un doute ! Ça me parait trop beau pour être vrai selon l’expression. Dans un restaurant où en général les bruits ambiants sont généralement forts, sans que les journalistes de CNews soient reconnus, tout cela me semble être servi sur un plateau …
    J’attends les suites avec impatience .

  3. Les institutions de la Ve république n’ont pas prévu d’autre autorité que l’autorité judiciaire suffisamment indépendante en principe pour être un contre pouvoir à l’exécutif. Alors on se demande ce que viennent faire ces 17 pseudo autorités comme l’ARCOM qui sont aux mains du pouvoir arbitraire de gens non élus. ..Suis-je bête, leurs décisions peuvent être soumises au conseil d’état, les apparences sont donc sauves. Au fait, les membres du conseil d’état sont ils élus? Et ceux du conseil constitutionnel? Heureusement ce doit être gens intègres et des sommités du droit.

  4. L’Arcom est issue de la fusion du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) et de la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi).
    L’Arcom est une autorité publique indépendante (API).
    Elle est composée d’un collège de 9 membres, de 10 directions placées sous la responsabilité du directeur général et de ses adjoints, ainsi que d’un secrétariat général aux territoires auquel sont rattachées 16 délégations régionales, implantées en métropole et en Outre-mer.
    La mission de l’Arcom est de garantir les libertés publiques fondamentales de communication et d’expression dans les espaces audiovisuel et numérique.
    Veiller aux responsabilités démocratiques et sociétales des médias audiovisuels et des plateformes en ligne
    Garantir le pluralisme des médias audiovisuels d’information et l’indépendance de l’audiovisuel public
    Assurer les équilibres économiques du secteur
    Soutenir la création
    Face aux mutations rapides des secteurs de l’audiovisuel et du numérique, l’Arcom s’est dotée d’un projet stratégique relatant ses priorités à l’horizon 2025. Ces dernières se déclinent en quatre objectifs :

    Toujours mieux protéger les publics
    Davantage accompagner les transformations du secteur audiovisuel et numérique
    Participer à la construction d’une régulation européenne
    Poursuivre la modernisation de notre fonctionnement
    Et ils recrutent !

    • Mon premier commentaire ayant été invalidé par les sages qui disposent de notre liberté , je persiste et signe en demandant comment il est possible de tenir de tels propos. Mais il est vrai que la liberté ne se décline pas de la même façon pour tout le monde . Il n’en reste pas moins que pour avoir une tête il s’est révélé nécessaire d’en couper 400 !

    • Vous avez honte et ça vous coûte 6 mois de votre travail chaque année. Pour être infantilisé par une « autorité indépendante » et avoir le droit d’attendre 7 ou 8 heures et parfois bien plus aux urgences si vous avez le malheur de vous casser le bras.

  5. comment des salariés de l’arcom pouvaient ils parler ainsi sans méfiance en plein restaurant au milieu d’autres convives? Car ils se sentaient carrément chez eux, dans ce resto des beaux quartiers, pour ne pas dire de bobos. Chez eux donc au milieu de convives qui forcement doivent penser comme eux, qui sont du camp du bien. On imagine ce genre d’individus satisfaits, se transformant en petits flics pendant une guerre. Ou même petits flics pour un patron dans une entreprise

Laisser un commentaire

Pour ne rien rater

Les plus lus du jour

Rima Hassan vient toujours à la rescousse du Hamas
Lire la vidéo

Les plus lus de la semaine

Les plus lus du mois