France, terre d’asile… de fous !
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La Grande-Bretagne vient de rappeler à la France ses obligations de contrôle de ses frontières face à une recrudescence de traversées clandestines de la Manche. Sur le territoire national, des associations et ONG bien-pensantes (Utopia, MSF et autres) militent pour que les jeunes sans-papiers en voie d’examen administratif, qui peut durer jusqu’à dix-huit mois, soient protégés par le statut « d’enfants en danger » au même titre que les Français, avec toutes ses implications juridiques ultra-protectrices - aux frais des contribuables, cela va sans dire.
Soyons honnêtes sur l’immigration incontrôlée en France, qui tend à transformer notre pays, autrefois de tradition chrétienne et développé, en Cour des miracles multiculturelle en voie de sous-développement. Soyons lucides sur les raisons pour lesquelles ça ne fera qu’empirer jusqu’à l’implosion sociale, quand - et non pas si, car c’est uniquement une question de temps - les aveuglements naïfs et errements idéologiques auront atteint leur point de rupture.
La France est devenue un eldorado pour desperados de tous horizons.
Ils sont attirés comme des lucioles par la lumière sociale à bas prix plutôt que par les Lumières de l’esprit. Or, cette Cour des miracles des temps modernes se révèle être une Cour des mirages, qui n’a pas les moyens de sa prétendue générosité universelle et sans limites.
En Macronie, l’insupportable slogan « Bienvenue chez vous » est brandi par de faux humanistes déculturés, c’est toute l’année « Journée portes ouvertes ». Combien d’immigrés Emmanuel Macron et sa cour de bobos nantis, gentils bonobos des beaux quartiers, hébergent-ils pour montrer l’exemple et goûter aux joies de l’accueil sans limites que subit quotidiennement le peuple français ? Allons, un peu de générosité !
Le rapport d’audit 2019 de la Cour des comptes sur l’immigration pointait un manque de clarté des objectifs politiques de maîtrise des flux entrants, visiblement pas synonyme de réduction, alors que les chiffres et le montant de la facture concernant les immigrés hors pays de l’Union européenne s’envolent depuis la présidence Sarkozy, avec une accélération depuis 2012. Et ça ne fait qu’empirer, solidarité empruntée oblige.
L’appel d’air de l’immigration s’est amplifié jusqu’à devenir un vortex aspirant sans fond. Loin d’être constituée principalement de réfugiés de guerre, la plupart d’entre eux viennent de pays africains en paix, en quête de conditions de vie meilleures.
En effet, alors qu’on célèbre sans cesse l’émergence des pays africains, la seule chose qu’on voit émerger quand on y vit et travaille au régime commun, ce sont des formes aggravées et nouvelles de criminalité publique et privée organisée, économique et financière.
La France est perçue comme un havre de paix et de salut, un environnement social suffisamment dégradé et anarchisé pour pouvoir y naviguer en eaux troubles tout en bénéficiant de multiples aides, dont une fraude sociale multiforme quasi institutionnalisée.
C’est ainsi que la France s’est africanisée, ce qui n’est pas un compliment, ni un avantage. C’est ce qui attire les Africains désespérés par une mauvaise gouvernance chronique de leurs dirigeants, encouragée par une communauté internationale complaisante voire complice, dont la France.
Ils y reconnaissent un état de désordre social proche de celui qui règne chez eux, où tout est permis pour les hors-la-loi, avec en mieux des avantages incomparables de prise en charge médico-sociale. Le gîte et le couvert y sont désormais assurés, sans condition ni contrepartie, accueillis à bras ouvert par des activistes mondialistes irresponsables.
Ne devrait-on pas donner enfin la priorité aux Français de souche et de culture, et, puisque l’air du temps est aux quotas, en fixer à une immigration choisie plutôt que subie, selon des principes bien compris de responsabilité et d’humanité ?
L’immigration sans limites, une « chance pour la France » ? Terre d’asile… de fous.
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