François Hollande : un recadré à encadrer
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François Hollande sort du bois...
Caché au fin fond d’une forêt corrézienne où il vit de cueillette et de chasse dont il ramène les fruits à son aimée le soir venu, l’« ex-Normal » a cru bon réapparaître momentanément dans la civilisation pour critiquer la manière dont son odieux remplaçant traitait le conflit syrien. Dans une interview au journal Le Monde qu’il a donnée assis au pied d’un chêne centenaire, l’homme a livré sa pensée sans détour : "On doit parler à Vladimir Poutine… Mais ce n’est pas une raison pour laisser la Russie avancer ses pions sans réagir." De toute évidence, des mois de vie à la dure ont aiguisé son côté stratège. Intarissable sur Bachar el-Assad, qu’il a pris en grippe dès son plus jeune âge, il fait part de son immense déception : "Si j’ai été aussi dur sur le régime de Bachar el-Assad, et je l’ai été avec constance, ce n’est pas pour le laisser liquider son opposition et massacrer son peuple." La perspective que le conflit syrien soit réglé sans évincer sa tête de Turc préférée le rend malade. Trouble ses nuits, menace sa vie de couple.
Des propos qui ont résonné jusqu’en Inde, où le couple Macron voyageait officiellement. En toute tranquillité. Ploum ploum tralalère… "Oh, le beau Taj Mahal ! Et quand on le retourne, est-ce qu’il y a de la neige qui tombe ?", etc. Réflexions de touristes bien naturelles. Autant dire que les leçons du Corrézien retourné à la vie sauvage tombaient mal. Très Mahal !
La réplique ne se fit pas attendre. Le malotru devait être corrigé au plus vite et il le fut par ces mots : "La France n’interviendra pas militairement sur le sol en Syrie… Et je crois que certaines personnes qui donnent des leçons ont, elles-mêmes, décidé la même chose."
Un long cri de douleur retentit dans la campagne corrézienne et l’homme "ex-Normal", "ex-biker", s’en retourna au plus profond de la forêt clamer son chagrin à sa bien-aimée qui commençait à trouver le temps long : "C’est à c’t’heure-ci que tu rentres ? De quoi tu te mêles ?", etc. Les maîtresses d’ex-Présidents ne sont pas faciles.
Depuis, François Hollande mijote un plan. Aller zigouiller Bachar de ses propres mains. Lui planter un coup d’Opinel en pleine poitrine… Et ramener sa dépouille pour la déposer aux pieds de Julie… En offrande… Puis le faire en barbecue. À la broche… Dévorer un à un tous les bons morceaux en un festin mémorable. Dans un coin, JoeyStarr bâillonné ne pourrait pas chanter… Un happy end à la Goscinny qui clôturerait sa carrière en beauté. Marquerait l’Histoire. « Ah, Julie, retiens-moi ou je vais faire une bêtise… »
Emmanuel Macron ne mesure pas le danger qui menace l’équilibre international. François Hollande pourrait devenir le "Ravaillac" de Bachar el-Assad. Il faut surveiller cet homme.
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