Gaîté Lyrique : les gauchistes de StreetPress chassés par des migrants !

Le feuilleton continue. Après des mois d’occupation par des migrants clandestins, la Gaîté Lyrique sombre encore un peu plus dans le chaos. Dernier épisode en date : le départ en catastrophe des équipes de StreetPress. Le média en ligne d’extrême gauche, dont les bureaux se trouvaient au sein du fameux théâtre parisien, a été contraint de quitter les lieux après avoir appris qu’il avait 48 heures pour trouver un nouveau local, faire ses cartons et débarrasser le plancher.
Quand des pro-squatteurs sont squattés… puis expulsés
Dans un courrier adressé à ses abonnés, le codirecteur du site jure que la cohabitation avec les squatteurs se passait « sans encombre », mais décrit néanmoins une situation intenable. « La nuit, la tension monte parfois entre les occupants », reconnaît ainsi Mathieu Mollard, avouant également que plusieurs événements professionnels ont dû être annulés en raison de la présence des migrants. Un incendie se serait même déclaré dans les sanitaires du théâtre, mettant en danger ses occupants.
La rédaction de StreetPress contrainte de quitter la Gaîté Lyrique à cause des migrants : « Mercredi, on a appris qu’on avait 48h pour trouver des nouveaux bureaux. » https://t.co/elhu8bEYn2 pic.twitter.com/3k59kIm4SD
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) March 5, 2025
Mais, rassurez-vous, le média financé par l'Open Society Foundations de George Soros ne s’en tire finalement pas si mal que ça. Il a pu sous-louer des bureaux grâce à une association parisienne et mettre à l’abri une partie de son matériel. Et pour faire face à ce déménagement express ayant entraîné plusieurs milliers d’euros de frais imprévus, StreetPress a d’ores et déjà sollicité la générosité de ses lecteurs. À votre bon cœur !
Une incapacité à apprendre de ses erreurs
Cette mésaventure permettra-t-elle aux militants d’ultra-gauche délogés d’ouvrir enfin les yeux sur l’immigration, notamment lorsqu’elle est illégale ? Absolument pas. Le journal antiraciste, qui s’est donné pour mission principale de lutter contre les « droites radicales », continue de soutenir les squatteurs étrangers. En janvier dernier, déjà, il avait défendu la position de la directrice de la Gaîté Lyrique lorsque celle-ci avait refusé l'expulsion des illégaux proposée par la préfecture, estimant qu'il était impensable de mettre ces clandestins à la rue. Mieux : la responsabilité de cette situation incomberait, selon StreetPress, aux forces « réactionnaires » qui déverseraient leur « propagande raciste ». Ben voyons !
https://twitter.com/streetpress/status/1879564828228120704
Sur X, de nombreux internautes n’ont pas manqué de railler l’ineptie d’une gauche qui en est réduite à battre en retraite devant le chaos qu’elle a elle-même créé. « Le réel rattrape toujours les gauchistes », estime ainsi un internaute anonyme. « Quand les gens goûtent à leur propre cuisine, je jubile », commente un autre. Le député RN Matthias Renault s’est lui aussi gentiment moqué des idéologues qui, comme le disait Bossuet, déplorent les effets dont ils chérissent les causes. « Je tenais à vous faire part de ma solidarité dans cette épreuve et espère que cet incident lié à l’immigration incontrôlée dans notre pays ne fera pas obstacle à votre mission de lutte contre l’extrême droite », a ironisé l’élu, dans un « courrier de soutien », publié le 5 mars.
Le primat de l’idéologie
« Commençons par écarter tous les faits », disait Jean-Jacques Rousseau. C’est bien ce rejet du réel qui continue de régner, à gauche. Rien ne doit venir entamer les convictions des idéologues, même lorsqu’ils font eux-mêmes l’amère expérience de leurs erreurs. Impossible, pour eux, de se remettre en question. On pense à cette association pro-migrants, à Bretteville, dont le président a été tué à coups de barre de fer en 2020 par un clandestin afghan qu’il avait précédemment hébergé chez lui. On se souvient, aussi, de cette « femme trans », insultée et frappée en 2019, place de la République à Paris, en marge d’une manifestation algérienne, et qui avait refusé que son agression « soit associée à une certaine communauté ». On songe, enfin, à feu Bernard Tapie qui, en 2021, alors qu’il était « home-jacké » par des cambrioleurs issus de l’immigration, leur avait lancé, incrédule : « Mais je ne comprends pas, je vous ai toujours défendus ! »
En dépit du sang et des larmes versés, le camp du Bien refuse d’ouvrir les yeux et d’évoluer. Un gauchiste n’apprend jamais.

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46 commentaires
Ne soyons pas pessimistes , ils auraient pu installer leur campement à l’Opéra ou à la Comédie française .
Pour une fois que ce n’est pas une église mais c’est tout avec l’argent de nos contributions
C’est avec l’argent de soros, mais malheureusement, il est in =épuisable
Qu’attend t’on pour virer tous ces squatteurs et rendre ces locaux à leur première utilisation ?
Toujours peur de faire des vagues ?
L’arroseur arrosé !!!
Ne sont-ce pas ces gens qui revendiquait de remplacer C8 ?!
Streetpress squattait la Gaité Lyrique ? L’argent de Soros et celui de nos impôts ne suffisaient pas ? Une enquête sur leur train de vie est à réaliser en urgence.
Tout est dit dans la dernière phrase : un gauchiste n’apprend jamais rien. Il transforme l’histoire à sa manière pour enjoliver son rôle dans cette histoire en accusant un opposant (même imaginaire) de responsabilité.
Les arroseurs arrosés !! Comique !! Dommage que ce soit une triste situation
Moi ça me fait bien rire !
Comment se fait-il qu’un théâtre, probablement grassement subventionné avec l’argent public, abrite dans ses locaux un journal d’extrême gauche ? Que dirait donc médiapart et apathie (tous eux subventionnés avec l’argent public) si cela avait été un journal « normal » qui aurait été abrité dans ces locaux ?
S’il n’y avait que la solidarité des lecteurs de StreetPress pour participer aux frais imprévus par ce départ forcé ce ne serait point grave, mais comprenons bien que l’état ( nous) mettra peut-être la main à la poche.
Sûrement.
L’arrêt de subventions à la presse est une des premières urgences avec l’arrêt des subventions aux associations
Oui vivement la tronconneuse de milei
Entre les liquidateurs de France, c’est Gaîté pas Lyrique, il y a peu de chance que la Gaîté Lyrique renaisse de ses cendre comme le Phénix.
Au-delà de ce réel qui finit toujours par faire intrusion dans les délires des idéologues de tout poil, il y a aussi l’argent. Cet argent dont toute organisation militante a besoin sans jamais le gagner par elle-même. Dans ce beau pays de mon enfance que fût la France, cet argent là est souvent celui du contribuable appelé à financer une multitude d’associations dont l’activité de beaucoup est très éloignée de l’intérêt général. Retirez cet argent public et les militants actifs seront immédiatement moins disponibles pour cause de recherche d’emploi.
Bonne conclusion
Ces gentils MNA sont bien ingrats.
Normal! Ils viennent dans un pays riche qui doit les accueillir à bras et porte-feuille ouverts. Ce n’est pas assez à leur goût, on leur doit plus parait-il!
Les gauchistes sont bouchés à l’émeri: ils ne tirent jamais conséquence de leurs actes
L’arroseur arrosé. Trop émouvant