Italie, Royaume-Uni, Tunisie… ces pays qui osent parler de Grand Remplacement
La France prendra-t-elle, un jour, exemple sur ses voisins ? Italie, Royaume-Uni, Tunisie… ces pays semblent avoir pris conscience de l’enjeu majeur que représente l’immigration pour leur nation, et les déclarations des chefs d’État et ministres sur ce sujet se suivent, suscitant invariablement des levées de boucliers, notamment en France.
Dernière polémique en date, la déclaration du ministre italien Francesco Lollobrigida, proche du parti Fratelli d'Italia dirigé par Giorgia Meloni : « Nous ne pouvons pas nous résigner à l'idée d'un remplacement ethnique : les Italiens ont moins d'enfants, alors remplaçons-les par d'autres. Ce n'est pas la voie à suivre », a ainsi déclaré, ce mardi, celui qui est aussi le beau-frère du Premier ministre. Il n’en fallait pas plus pour émouvoir la gauche, la secrétaire démocrate du parti de centre gauche dénonçant des « propos répugnants » ayant « des relents de suprémacisme blanc ». Quelle horreur, en effet, que de vouloir conserver une identité italienne !
Le plus terrible, c’est que ce dérapage n’est pas à déplorer seulement en Italie. Le mois dernier, c’est en Tunisie que le président Kaïs Saïed provoquait le scandale, par des déclarations assez similaires. Le président a ainsi décrit l’immigration clandestine qui déferle sur la Tunisie comme une « entreprise criminelle ourdie à l’orée de ce siècle pour changer la composition démographique de la Tunisie afin de la transformer en pays africain seulement et estomper son caractère arabo-musulman ». De même qu’en Italie, les œillères ne sont pas de mise dans les discours politiques. Dans ce pays comme dans l’autre, on craint la vague migratoire qui peut menacer son équilibre. Foin de la langue de bois employée en France ! Le Grand Remplacement, cette notion vilipendée chez nous, n’est plus un tabou chez eux. Au sommet même de l’État, les responsables l’utilisent et ils s’emploient vigoureusement à lutter contre ce fléau.
Outre-Manche, on constate la même tendance. Dans une déclaration à peu près concomitante à celle du président tunisien, le Premier ministre britannique expliquait, en mars dernier, que les immigrés clandestins ne pourraient plus demander l’asile, qu’ils ne pourraient en aucun cas bénéficier des aides sociales, qu’ils ne pourraient en appeler aux droits de l’homme et qu’il leur serait de toute façon impossible de demeurer sur le territoire britannique. Comme ses homologues, Rishi Sunak se montre intraitable en paroles… mais aussi en actes !
Ainsi un accord migratoire a-t-il été conclu entre notre pays et la Grande-Bretagne, visant à ce que la France lutte contre l’immigration dans le nord du pays, fasse la guerre aux passeurs, construise un centre de rétention pour les clandestins… contre 200 millions d’euros de la part du Royaume-Uni ! Voilà nos amis tranquilles, tandis que la France, moyennant compensation financière, continuera à se débattre contre les arrivées toujours plus nombreuses de migrants illégaux. Pratique, non ? En Tunisie, des mesures concrètes ont également été prises et les expulsions ont d’ores et déjà commencé : des centaines d’Ivoiriens et de Guinéens ont ainsi pris un vol retour vers leurs pays, après les propos de Kaïs Saïed promettant qu’il n’était pas question « de laisser quiconque en situation illégale rester en Tunisie ». Si c’est impossible, comme on nous le martèle en France, pourquoi d’autres y arrivent-ils donc ?
Et en France ? En France, on nous a promis que 100 % des OQTF seraient appliquées. Passer de 5,7 % d’exécutions (chiffre pour l’année 2021) à 100 %, voilà qui devrait en effet être un jeu d’enfant. En France, on nous a promis une loi immigration : un « texte ferme contre l'immigration irrégulière » dont la France a « besoin », plaidait Gérald Darmanin, le mois dernier. Il faut croire que l’urgence demeure modérée, si l’on en juge le report et le découpage prévu du texte en question. En France, le nombre d’entrées sur le territoire explose tous les ans, occasionnant des dépenses entre 20 et 33 milliards d’euros chaque année. Mais en France, il faut réformer les retraites…
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43 commentaires
Une seul solution, sortons de l’Europe, çà vas être très dure mais à terme, notre maitrise de nous même. Voyons ce qu’était notre pays il y a cinquante ans, moi qui voyageais à l’étranger, je pouvais voir comment était perçus la France, à l’heure actuel, les pays qui étaient les plus proche de nous, surtout ceux qui étaient Francophone, se détournent de nous. De puis quant, depuis la grande immigration surtout incontrôlé et incontrôlable et qui a une grande part dans notre dette.
Cette sortie de cette europe va bientôt revêtir un caractère d’urgence absolue si nous ne voulons pas disparaître à tout jamais de nos terres d’origine !
Il n’est pas ici question de suprématie blanche (comme certains osent le dire) mais de protection de peuples autochtones…
La Russie en parle aussi, mais en montrant la France du doigt…
Enfin quelques pays où parler du « grand remplacement », n’est plus un gros mot !
Zemmour aurait donc raison !
Vous avez raison.
Mais j’ai un très gros problème avec Z, avec son racisme anti boomers.
Combien de Tunisiens illégaux arrivent en France chaque jour pour profiter des aides sociales ,
Mitterrand n’avait il pas signé un accord en son temps pour recevoir en France la moitié des jeunes Tunisiens , accord jamais dénoncé !!!
enfin des pays qui en ont, pas la France et la Suisse, pas de retour au pays, malheureusement et avec interdiction de revenir. Vous pensez, la pension et bonne, surtout à rien faire et à tout obtenir gratuitement, mieux que les retraités
En France, on n’est pas près de ne plus entendre le bruit des casseroles. Macron et se ministres parlent tous les jours ! Quel concert !
En France le grand remplacement est en cours de finalisation. Maintenant, et en parallèle, Macron programme le grand déclassement (disparition des classes moyennes).
La lutte contre l.immigration illégale en France se résumera à des régularisations à tour de bras ! Ouvrez vos yeux « grands fermés « !
et tous les délinquants seront français !
Bien entendu !
La Tunisie n’est pas dans l’UE , elle est libre , et elle va nous envoyer tous les migrants dont elle ne veut pas . L’organisation passeurs mafieux et ONG fonctionne remarquablement pour transférer les immigrés en UE.
L’UE a mis en place un arsenal de punitions , sanctions financières , condamnations par des juges , droit suprême européen, pour faire appliquer de force sa politique migratoire , et faire plier les pays récalcitrants. La France est son élève le plus appliqué , le plus soumis.
Sauf que la HONGRIE et V. ORBAN ne veulent pas plier aux injonctions des mafieux de Bruxelles ! Et bien entendu, par mesures de rétorsion, cette organisation lui coupe les vivres jusqu’à ce qu’il cède mais çà ne risque pas de se produire, les Hongrois tenant à leur identité nationale.
La France est le pays de l’UE qui compte le plus de musulmans dans sa population , plus de 250 morts et de 800 blessés dans des attentats islamistes depuis janvier 2015 , ils ont infiftré tous les rouages de notre société , partis politiques , administrations , entreprises , donc la France à peur , elle se tait .
A part l’Angleterre, des pays nordiques comme le Danemark, je ne vois pas l’Italie résoudre son pb avec l’immigration, Méloni s’est révélée un ventre mou gérant l’invasion… et son ministre Lollobrigida pour l’instant en est dans le déclaratif !
Quant à Salvini, qu’est-il allé faire dans le gouv. Draghi ? Il s’est cramé… d’ailleurs les élections ne lui ont pas été favorables… et quelle réaction face à l’invasion migratoire ?
« changer la composition démographique de la Tunisie afin de la transformer en pays africain seulement et estomper son caractère arabo-musulman »
Simple remarque, les ascendances berbères sont majoritaires en Tunisie et dans la zone TAM du Maghreb, autrement dit, les berbères ont été colonisés et arabisés (et se réclament arabes), ce qui nous attend !
Triste scénario que, heureusement je devrais ne pas connaître vu mon âge. Quel malheur !
Et oui, notre âge nous sauvera ce cette vision… mais notre descendance…
Saint Cyprien et Saint Augustins sont moins morts que l’on croyait . Il faut savoir que la Carthage était Chrétienne avant la Gaule et a nourri plusieurs Pères de l’Église dont les analyses sont toujours vigoureuses.
Exact .
Il est normal qu’on s’ émeuve de quelqu’un qui s’ inquiète de remplacement ethnique. C’est un propos au relent raciste, qui laisse entendre qu’un noir ne sera jamais un bon italien, même s’il choisissait la religion majoritaire, mangeait de la cuisine italienne, parlait italien….
Le remplacement est bien évidemment ethnique, racial et culturel . Mais c’est le remplacement culturel qui est à déplorer. La disparition d’une culture, et qui plus est la disparition , en l’occurence, d une des plus belles cultures, sans création d’une culture plus belle. Déplorer le remplacement racial, vouloir faire des bébés blancs pour chasser tous les noirs plutôt que penser à régler le problème d’intégration des noirs qui le souhaitent, et l’éloignement de ceux qui ne le souhaitent pas, est une préoccupation raciste qui mérite d’être discutée.
Je ne vois pas de propos raciste dans le désir légitime de vivre dans son pays dans sa culture.
Nombre de français sont d’origines étrangères et parfaitement intégrés dans notre vie collective, d’autres individus débarquent chez nous pour nous imposer leurs visions et les rejeter n’est pas du racisme (mot remis à la mode) mais simplement leur dire : « chez nous ce n’est pas chez vous »… alors respectez le pays qui vous accueille ou passez votre chemin…
Nous sommes bien d’accord: ce n’est pas le remplacement ethnique le problème, mais la dégradation culturelle. C est très différent.
Ils « osent » en parler mais dans le cas de l’Italie il semble que Mme Meloni soit entrain de se dégonfler, confrontée qu’elle est au réel et à l’arsenal législatif dont dispose l’UE à l’usage des pays récalcitrants aux « valeurs » ou à « l’état de droit ».
Oser en parler est déjà bien. L’ennui c’est que les migrants vont peut être délaisser ces pays là et se rabattre sur la France où ceux qui veulent en parler sont ostracisés
Je crains que la parlotte ne se substitue totalement à l’action.
Les pays ont eux aussi des moyens de pression sur le diktat de l’Europe : ce sont es cotisation que ces mêmes états leur versent. Sans ces cotisations, l’Europe s’effondre et tous ceux qui ont perverti le système se retrouve à la rue et nous on retrouve notre liberté. Mais encore faudrait-il que nous ayons des dirigeants qui en aient.
Vous avez raison mais il n’y a eu que les Anglais pour ce genre de pression.
L’Italie verse plus à l’UE que ce qu’elle reçoit, comme la France. Alors ?