La conversion des musulmans : la voie de réconciliation nationale ?
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Aujourd’hui, à vue humaine, la France semble dans une situation très délicate liée au changement de la population dans les pays occidentaux, causé par la faible démographie des autochtones combinée à la forte démographie des allogènes et aux flux très élevé et récurrents d’immigrants, encouragés par les autorités internationales (Nations unies, Union européenne) en raison même de la démographie en berne.
Ce site a suffisamment souligné les problèmes que posait cette situation nouvelle, refusant d’emblée les solutions iréniques nous expliquant que tout se passera bien parce que l’islam est une religion de tolérance, d’amour et de paix. Son texte fondateur, son histoire et la vie de son prophète prouvent largement le contraire : on n’a pas attendu le wahhabisme pour subir la violence de cette idéologie politique ayant intégré Dieu afin de mieux soumettre les peuples. Et le fait que de très nombreux musulmans ne vivent pas ainsi ne prouve rien - pas plus que l’engagement généreux de militants communistes ne montrait une quelconque grandeur de cette doctrine -, si ce n’est qu’une religiosité naturelle est inscrite dans le cœur de l’homme. Mais elle n’a rien de spécifiquement musulman.
Alors, que faire ? Assister, résignés, à la libanisation de notre pays ? Ou alors faire comme nos ancêtres chrétiens, à la fin de l’Empire romain, et « passer aux Barbares » ? La situation, à cette époque, n’était guère plus favorable, avec des migrants armés, conquérants, détestés et non chrétiens. Ils ont mis Rome à sac en 410. Mais une chose a fait la différence : nos ancêtres avaient la foi et l’ont transmise aux Barbares. Cela a donné l’Europe.
Aujourd’hui aussi, des chrétiens se mobilisent, comme les abbés Loiseau et Pagès, bien connus des lecteurs de Boulevard Voltaire, mais aussi des laïcs, à travers des initiatives comme les forums Jésus le Messie, ouverts à tous ceux qui veulent s’engager.
On parle beaucoup d’accueil de l’étranger. Cela serait la vertu suprême. Chez le pape François comme, chez nous, nos bien-pensants. Chiche ! Prenons-les au mot, jouons le jeu, accueillons-les vraiment en donnant aux immigrés ce que nous avons de meilleur : la foi chrétienne. Et là, imaginons qu’ils l’adoptent en masse, car ce sont des hommes religieux. N’aurions-nous pas, alors, tout gagné ?
Ce serait une vraie voie d’intégration, car peut-on faire plus intégré qu’une personne qui participe à la vie chrétienne locale ?
Ce serait donc, aussi, la fin des zones de non-droit prospérant sur le communautarisme musulman.
Ce serait la voie pour que ces immigrés aiment la France tout comme les immigrés italiens, polonais ou portugais l’ont aimée, parce qu'issus d'un pays catholique.
Ce serait donc la fin des discours de repentance qui n’auraient plus d’écho, car c’est la grandeur même de la France que ces immigrés auront choisie.
Ce serait la fin de l’opposition entre les populations de souche et celles immigrées, et même l’occasion, pour ces premières, de renouer avec leurs racines chrétiennes.
Ce serait la fin des discours des prêcheurs musulmans qui profitent de la décadence de notre civilisation pour présenter l’islam comme solution.
Cela serait, aussi, la fin des discours des prêcheurs athées, qui profitent de la menace de l’islam pour exclure le catholicisme de l’espace public.
Oui, allons-y ! Car, comme le disent ceux qui se sont déjà lancés : « Les musulmans nous attendent. » Car ils sont, selon nous, les premières victimes, non satisfaites, de la doctrine musulmane. Et ils le savent en leur for intérieur.
Ne pas le faire, c’est de la non-assistance à personne en danger. Nous leur devons ce véritable accueil.
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