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3 commentaires
De la disparition des frontières à la disparition de la France.
Depuis cinquante ans, les gouvernements successifs, toutes couleurs confondues, et en particulier le dernier, ont méthodiquement délesté le pays de ses prérogatives, dissous ses frontières dans un brouillard supranational, cédé au chantage des minorités agissantes et à l’idéologie du renoncement. Le résultat est là : une nation qui doute d’elle-même, qui ne sait plus à quoi elle appartient, ni même si elle existe encore. Une nation livrée sans réaction à l’entrisme des frères musulmans, le bras armée d’une civilisation concurrente qui investit le pays avec l’approbation passive des édiles, mais parfois aussi de manière plus active de la part de « certaines élites. »
Ce n’est plus seulement la démocratie qui a été effacée. C’est la France qui s’efface lentement sous les coups de boutoir d’un mondialisme sans visage, complaisant envers des courants hostiles, tolérant une infiltration méthodique de ses principes les plus élémentaires. Et face à cela, les responsables politiques ne réagissent que par des incantations stériles, déjà mille fois entendues ; les macronades, les bayrouades, les retaillades.
Il ne s’agit plus de savoir si nous sommes encore en démocratie, mais si nous sommes encore une nation. Une nation digne de ce nom, fière d’elle-même, sûre de son destin, capable de dire non, capable de dire nous !
De la mort des frontières.
Depuis cinquante ans, les gouvernements successifs, toutes couleurs confondues, et en particulier le dernier, ont méthodiquement délesté le pays de ses prérogatives, dissous ses frontières dans un brouillard supranational, cédé au chantage des minorités agissantes et à l’idéologie du renoncement. Le résultat est là : une nation qui doute d’elle-même, qui ne sait plus à quoi elle appartient, ni même si elle existe encore. Une nation livrée sans réaction à l’entrisme des frères musulmans, le bras armée d’une civilisation concurrente qui investit le pays avec l’approbation passive des édiles mais parfois aussi de manière plus active de la part de « certaines élites. »
Ce n’est plus seulement la démocratie qui a été effacée. C’est la France qui s’efface, lentement, sous les coups de boutoir d’un mondialisme sans visage, complaisant envers des courants hostiles, tolérant une infiltration méthodique de ses principes les plus élémentaires. Et face à cela, les responsables politiques ne réagissent que par des incantations stériles, déjà mille fois entendues ; les macronades, les bayrouades, les retaillades.
Il ne s’agit plus de savoir si nous sommes encore en démocratie, mais si nous sommes encore une nation. Une nation digne de ce nom, fière d’elle-même, sûre de son destin, capable de dire non, capable de dire nous.
Frontières sur le papier, c’est bien. Mais réelles, encore mieux pour se séparer de l’UE !
Sortir de l’UE, reprendre notre destin en main, est-ce trop demander ?
En roulant tranquillement ce matin, j’admirais le paysage. Et je me suis mise à penser que, même là, l’UE mettait son sale nez. Comme si les ruraux ne savaient pas mieux que quiconque comment gérer leurs terres. À bas les « crates » de Bruxelles et d’ailleurs.