Le gouvernement dissout le GUD et trois autres structures d’ultra-droite

Brève breve

Ce mercredi, la dissolution de plusieurs groupuscules jugés d’extrême droite à été actée en Conseil des ministres, comme l’ont annoncé Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, et Prisca Thevenot, porte-parole du gouvernement. Parmi ces groupuscules se trouvent le GUD (Groupe Union Défense), les Remparts ainsi que la Traboule et Top Sport Rhône, deux associations basées à Lyon. Le GUD, créé en 1970 mais très discret jusqu’en 2022, a été sanctionné pour incitation à des « agissements violents contre les personnes ». Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, indique que cette organisation est « amie » avec des « gens » du RN. Pourtant, le président du Rassemblement national faisait part, lors du Salon mondial de la défense et de la sécurité à Villepinte, de sa volonté de lutter contre les groupuscules radicaux, y compris le GUD.

 

 

Les Remparts ont été accusés, dans le même décret, comme répandant des « discours provoquant à la haine, la discrimination et la violence à l'encontre des étrangers ». Dans un communiqué, le groupe fait part de sa volonté de contester la dissolution devant le Conseil d’État. Une association islamiste, Jonas Paris, a aussi été dissoute pendant ce même Conseil des ministres.

Vos commentaires

40 commentaires

  1. Monsieur DARMANIN vous êtes hémiplégique ! parce qu’à gauche n’y a-t-il pas de groupuscules qui vous dérangent ? MOI, si, par exemple les BLACK BLOCS qui à chaque manif, arrivent cagoulés et de noir vêtus
    cassent, brûlent, pillent et ne sont jamais inquiétés !!!!! allez Monsieur DARMANIN pour quelques jours encore, un peu d’équité ! COURAGE !

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