Le grand désastre des villes vertes : à Bordeaux, rien de vraiment nouveau
La « révolution verte » est partie du Mexique en 1943, avant de se répandre en Inde et dans tout le Sud-Est asiatique. Même si la couleur est identique, la « coloration verte », ayant frappé la ville de Bordeaux lors des élections municipales de 2020, paraît bien dérisoire au regard de la célèbre mutation agricole du XXe siècle. Rien d’autre qu’un épiphénomène ayant conduit un candidat, réputé écologiste, à l’hôtel de ville de la capitale gironde. Un simple maire vert, comme dans plusieurs autres communes de France ! Presque deux années se sont écoulées. Et alors ? Alors, pas grand-chose.
Il y a, naturellement, les gadgets ridicules dont les écologistes ont le secret. La proclamation de l’urgence climatique. La suppression du traditionnel sapin de Noël car, à Bordeaux, « on ne veut pas d’arbres morts ». L’installation, à la place, d’un horrible sapin en verre et en acier de quatre tonnes. La chartre des droits de l’arbre car « l’arbre a droit au respect de son intégrité physique, aérienne et souterraine […] Il doit être respecté tout au long de sa vie, avec le droit de se développer et se reproduire librement, de sa naissance à sa mort naturelle, qu’il soit arbre des villes ou des campagnes. L’arbre doit être considéré comme sujet de droit, y compris face aux règles qui régissent la propriété humaine. » À part cela, rien de très croustillant à se mettre sous la dent. Mais l’absence de nouveautés ne signifie pas que Bordeaux échappe à toutes les fadaises promues par l’écologisme idéologique. Car ici comme ailleurs, celles-ci avaient été mises en œuvre par la précédente majorité municipale réputée… de droite.
La nouvelle équipe ne fait que poursuivre, sans véritablement les amplifier, les errements d’une droite voulant toujours être - à l’image d’une feuille morte - dans le vent. Le Bordeaux légué par Alain Juppé ressemble au Paris occupé par une candidate à l’Élysée. Il ne manque rien. La quinzaine de l’égalité et sa propagande LGBT. L’accueil des mineurs isolés, qui ne sont souvent ni l’un ni l’autre, et l’augmentation de l’insécurité. Des travaux, partout et sans fin, et des rues constamment barrées. La frénésie des promoteurs immobiliers. L’envolée des prix chassant les moins fortunés à la périphérie. Des trottinettes, surmontées par des benêts masqués, symbolisant une population infantilisée. Des vélos ayant tous les droits et ne respectant aucune règle. La chasse aux automobilistes, avec des places de stationnement supprimées, des sens interdits irrationnels allongeant les temps de trajet et les couloirs de bus multipliés. Avec le résultat que chacun connaît : des bouchons et une circulation constamment saturée. Rien d’autre que la célèbre recette parisienne consistant à créer le chaos routier pour dissuader l’administré de prendre sa voiture ! Qu’importe que la pollution, en raison de tous ces véhicules à l’arrêt, n’en soit que plus importante. L’idéologie ne se soucie pas du réel. L’essentiel est atteint : l’automobiliste est malmené à l’image d’un non-vacciné que le Président voudrait emmerder.
Heureusement, la ville a encore des limites. Lorsqu’elle prend fin, la campagne surgit. Les vignes. Le raisin. Le vin. L’entre-deux-mers et le médoc. Les fermes du Bazadais. Les villages encore préservés. Le sanctuaire de Verdelais. La vraie nature ! Celle qui demeure et que nous chérissons, loin des utopies écologistes !
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Un vert manteau de mosquées
20 commentaires
J’espère qu’à la prochaine municipale , les électeurs auront compris que les verts sont des crétins qui ne connaissent rien à l’écologie !
Et son ancien Maire Alain Juppé, qui est en partie responsable du déclin de la France…Condamné à 10 ans d’inéligibilité, parti au Canada, revenu pour se coller à sa mouvance de Loge mondialiste de l’extrême, avec oublié la Droite, qui a appelé à voter Macron, a fait de l’ombre au retour de Sarkozy, et se retrouve au Conseil Constitutionnel au plus près de Fabius P S pour avaliser la Politique du Pass de la honte…Bordeaux pour moi est en terre étrangère, à récupérer !!!!
Encore une ville gérée par des écolos bobos socialistes une vraie catastrophe comme a paris des inconscients au pouvoir!!!!!!!!!!!!!!!!!
De quel verts parlez vous ? Celui de l’islam ? des pseudo-écolos ? ou celui de l’Islamo-gauchisme ?
Les deux mon général!
aves le TGV les bobos parisiens nous ont mis au pouvoir les verts pastèques LGBT au pouvoir avec seulement 15% les bordelais n’avaient qu’a voterce jour la au lieux de ce dorer au soleil du bassin !!!!
Bordelaise de naissance et y ayant toujours résidé, je ne reconnais plus ma ville et ce depuis très longtemps.
Il se produit à Bordeaux ce qu’il se produit partout en France, une fracture généralisée entre les êtres humains. Les jeunes contres les vieux, les automobilistes contre les cyclistes, les cyclistes contre les piétons …
Dans les rues il règne un climat délétère, les gens sont prêts à mordre.
Cela s’appelle diviser pour mieux régner. C’est à la mode
merci qui? il y a un « chef » à la tete de tout cela. il faut le mettre dehors rapidement
Les arbres ont certes droit au respect, mais les familles aussi et on ne peut pas dire que le mariage homosexuel soit très écologique et que les écolos s’en soucient. Certes un arbre de Noël en verre n’a ni étamines, ni pistil, un vrai progrès donc en attendant la viande cellulaire.
Et si nous parlions du bilan carbone du « sapin » de verre et d’acier de quatre tonnes ?
C’est pas bien. À Bordeaux il faut laisser les grains de raisin vivre leur vie. Bon les écolos ont un grain aussi mais c’est pas le même.
Parce que un verre,ça va, mais des Verts bonjour les dégâts.
Il n’y a pas un vrai écologiste là-dedans uniquement des Verts Pastèques, des trotskistes maquillés de vert.. Comme EELV
Fait important, Bordeaux est devenu la banlieue parisienne avec sont lot d’immigrants bobos parisiens.
Les Bordelais ont tiré le gros lot !!!
Pourtant il paraît que le vert c’est l’espérance, tout est là pour nous prouver le contraire .
Le vert est plutôt maintenant la couleur de l »islam !
Les écolos ne sont que des opportunistes, fainéants et incultes. Rien à voir avec l’environnement, seulement quelques idéologues qui cherchent eux aussi la rente à vie dont la République en est devenue Maître dans l’Art.
Je vis à Bordeaux.
J’ai vu cette ville se dégrader en 20 ans, l’insécurité et la délinquance exploser; au point de trembler lorsque mes fils y sortent.
La faune interlope qui traine, à l’affut.
Avec un maire pastèque qui entend attribuer 35 % du parc immobilier aux logements sociaux, nous allons vers des lendemains qui chantent.
qui sont ceux qui ont votés pour lui ou sont ils maintenant?