Le « saignement » prétendu des journalistes du JDD : une fiction démasquée !

geoffroy lejeune

Face à l'arrivée de Geoffroy Lejeune au JDD, la presse de gauche, à l'instar de Libération, cherche à susciter l'effroi par des termes mal choisis et des allégations infondées.

En réalité, loin d'être « saignés », les journalistes du JDD qui choisissent de partir recevront un traitement non négligeable lié à leur statut. Si le terme choisi par Libération est provocateur et évoque un assassinat silencieux de la rédaction, la réalité sera autre. Ainsi, Mediapart de révéler, ce mardi, que les journalistes décidant de partir seront non pas saignés mais soignés...

La journaliste de Libération Alexandra Schwartzbrod proposait de marquer ce jour d'une « pierre noire dans l'histoire de la presse ». Peut-être serait-elle bien inspirée de reconsidérer sa vision des choses au regard des conditions accordées à ces journalistes par l'actionnaire qu'ils critiquent si ardemment ?

Selon Mediapart, concrètement, les conditions de départ évoquées seront généreuses, allant jusqu'à deux mois de salaire par année d'ancienneté, avec un plafond de quinze ans. Et pour ceux qui ont récemment rejoint la rédaction, un plancher de trois mois est également prévu. À titre comparatif, le licenciement d’un salarié en CDI prévoit au minimum un quart de mois de salaire mensuel par année jusqu’à dix ans, puis un tiers de salaire par année supplémentaire. En outre, les journalistes quittant le navire bénéficieront d'une dispense d'activité de trois semaines avec rémunération maintenue.

Des conditions juteuses qui n'ont pas échappé au journaliste d'extrême gauche Nils Wilcke. « Pas mal », commente-t-il sur Twitter.

 

Félix Perrollaz
Félix Perrollaz
Licence de Science politique à l'Université de Lille, étudiant en journalisme, journaliste stagiaire à BV

Vos commentaires

53 commentaires

  1. Les journalistes du JDD, si tenaces dans leurs opinions, se laissent donc acheter ? C’est beau cette gauche soumise au pognon !

  2. je comprends mieux maintenant les engagements des journalistes avec des avantages pécuniaires si importants, et que boulevard voltaire demande sans arrêt des fonds!

  3. Superbe, le poing levé…des « forçats de la faim »…On évoquerait, pour un peu, les « insoumis de la cravate »…

  4. Oui ,c’est véritablement une presse de caniveau gauchiste Ces gens ne sont pas des journalistes , ils ne cherchent qu’a véhiculer leur idéologie gauchiste . Bonne route Geoffroy .

  5. Il faut aller jusqu’au bout de cette « purge », quoi qu’il en coûte. Le piston gauchiste a fonctionné pendant 50ans (2 générations) et c’est donc dur de ré-équilibrer la balance. Preuve que la droite que l’on dit « républicaine » (RPR/UMP/LR) n’a été qu’une gauche honteuse.

  6. Ces braves gens devraient reprendre à leur compte cette formule : « Quant un ministre n’est pas d’accord, il ferme sa gueule ou il démissionne ». Ca peut s’appliquer parfaitement à nos brillants journalistes…
    Certains d’ailleurs devraient changer de métier comme ces journalistes de LCI qui ne savent pas de quoi ils(elles) parlent. L’une, parlant d’une arme fournie aux Ukrainien, parlait d’une précision au Km…au lieu du mètre. Manifestement, le sujet ne l’intéressait pas…L’autre parlant d’un bateau Russe refoulé de Géorgie ne savait même pas dans quel port l’évènement a eu lieu. Hélas, cette profession devient le symbole de la chute du niveau culturel qui frappe notre société…

  7. Rien qu’à voir la photo on voit le niveau non non ne lisez pas cas.. niveau.
    ViVe Geoffroy et bonne route.

  8. Ces journalistes du JDD qui crachent sur l’investisseur illustrent leur lâcheté en acceptant leurs généreuses conditions de départ. Ils crachent et tendent la main. Risibles ! Le pus sera extirpé de l’abcès. Le JDD retrouvera sa véritable vocation pour laquelle il est attendu, le rendu-compte du vrai.

  9. Ils crachent sur Bollorė mais pas sur son argent : finalement leurs convictions n’étaient qu’un genre de chantage. Pitoyable

    • Mais ils sont dans leur idéologie, comme les politiques. Ils tournent avec le vent, et vont toujours du côté ou souffle celui-ci. Certains de ces personnages sont même plus intelligents que les ordinateurs de la météo ils arrivent à anticiper les changements avant l’heure. Suffit de regarder autour de soi.

  10. Pourquoi appeler ces gens, journalistes ! le terme « propagandiste » serait plus approprié.
    De toute façon, bon débarras.

    • non ils ne vont pas partir avec ces sommes , j’espère que le départ n’est pas une partie fixe, mais au mérite

  11. Idées de gauche mais aussi porte feuille à droite, je ne vois aucun de ces journaleux refuser les Très bonnes conditions qui leurs sont offertes , ils ont des principes , Oui mais seulement pour les autres .

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