Les eurodéputés macronistes déclarent la guerre aux… leaders conservateurs et patriotes !
Cela leur permet sans doute de détourner le regard de vraies menaces telles que la montée du totalitarisme woke de l’extrême gauche ou l’entrisme islamique en Europe.
« Dire NON à l’extrême droite. » Ce jeudi 1er décembre, dans l’enceinte du Parlement européen, la délégation Europe Ensemble, qui rassemble les eurodéputés français de la majorité présidentielle, organisait un colloque afin d’établir un plan de bataille contre l’extrême droite. Plutôt que de s’attaquer à l’entrisme islamique qui menace réellement l’Union européenne, les eurodéputés macronistes préfèrent lutter contre les leaders européens conservateurs et patriotes.
Le Pen, Orbán et Meloni au pilori
https://twitter.com/Ensemble_UE/status/1598308194232705026?s=20&t=Tw9CvvYmfAcWqYgcDIV53A
Dès la vidéo d’introduction, le ton est donné. Les interventions médiatiques de Marine Le Pen, Éric Zemmour, Viktor Orbán ou encore Giorgia Meloni se succèdent sur fond de musique anxiogène. Leur crime ? Réclamer une immigration choisie et défendre une identité chrétienne. N’étant pas à une approximation près, la délégation macroniste au Parlement européen associe sans sourciller ces figures européennes à des groupuscules flirtant avec le néo-nazisme. L’objectif de cette communication tapageuse : faire de l’extrême droite l’ennemi numéro un en Europe. Rassemblant les députés français du groupe Renew, cette réunion a vu défiler des politiques à l’instar de Stéphane Séjourné, tête de file de la majorité présidentielle au Parlement européen, des « spécialistes de l’extrême droite » comme la politiste Nathalie Brack ou le chercheur Benjamin Briard et des journalistes européens. Ensemble, ils annoncent vouloir préparer leur combat contre ce qu’ils qualifient « d’extrême droite ». « Nous voulons aller au-delà de la dénonciation et agir », promet la délégation sur Twitter.
Un plan de bataille contre l’extrême droite
Au terme d’une après-midi de discussions sans contradiction, les eurodéputés macronistes ont pu établir leur plan de bataille. Étape 1 : refuser la normalisation de l’extrême droite. Cela passe notamment par la « mise en œuvre stricte d’un cordon sanitaire » (pas de cosignature, pas de résolution commune, pas d’événement commun et surtout une franche opposition à leur nomination à des postes clefs), une « lutte contre le complotisme » et un rappel « des origines et ascendance historique de l’extrême droite ». À les lire, on pourrait croire que le Rassemblement national, le Fidesz en Hongrie ou Fratelli d’Italia ne sont que d’obscures formations complotistes. Étape 2 de leur combat : « consolider les libertés et droits fondamentaux », à savoir « les droits des femmes et l’accès à l’IVG ». Faut-il rappeler que Marine Le Pen proposait, il y a seulement quelques jours, de constitutionnaliser le droit à l’avortement ? Enfin, ces parlementaires européens appellent à lutter contre les ingérences étrangères « pro-Tump » ou russes. Pour appuyer leur propos, ils invitent Roza Thun, eurodéputé polonaise, à témoigner sur « ce qu’avoir l’extrême droite au pouvoir signifie : persécutions politiques, propagande, surveillance d’État, atteintes au droit… »
Sur Twitter, pour médiatiser leur combat, ces eurodéputés n’hésitent pas à sortir l’artillerie lourde. Digne d’un slogan de SOS Racisme, Max Orville, eurodéputé Renaissance, écrit : « Parce que la haine de l’autre n’est pas toujours une opinion, l’extrême droite et ses idées doivent être combattues. » Son collègue Pascal Canfin ajoute : « Nous battre contre les nationalismes fait partie de notre ADN. »
Leur combat contre l’extrême droite semble des plus sérieux. Cela leur permet sans doute de détourner le regard de vraies menaces telles que la montée du totalitarisme woke de l’extrême gauche ou l’entrisme islamique en Europe. Il est plus facile de se battre contre la droite conservatrice et patriote que contre les véritables ennemis de notre civilisation…
Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le 04/12/2022 à 7:43.
Clémence de Longraye
Journaliste à BV
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44 commentaires
Certes, la lutte contre la dite « extrême droite » est prioritaire face à la montée de l’Islamisme, en cela, les « démocraties ! » notamment la France, s’érigent en sauveurs de l’humanité !
Si gérer c’est prévoir, qu’il soit permit de douter de la clairvoyance de l’équipe en place, ainsi que de celle qui l’a précédée…..
On supprime progressivement l’énergie issue du nucléaire et …. »ON » passe au tout électrique, en détruisant au passage toute la filière automobile, ne resteront que les éoliennes et les bougies (fabriquées à l’étranger !)
Comme « gestionnaires ! » pôle emploi aura beaucoup de mal à les recaser lors du grand coup de balai !
Au regard de ce qui précède, il est impératif que les Français redécouvrent le sens d’appartenir à une nation qu’on respecte, pour cela, ils doivent cesser de croire que Bruxelles est la clé qui ouvre toute grande la porte d’un paradis universel….
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Ceci ressemble à un gag, donc dans cette logique il suffirait de voter un projet gouvernemental pour que tous votent contre ?
Il faut de temps à autre mettre les pendules à l’heure et se positionner. La vraie droite défend les vraies valeurs humaines, la Nation, et l’ordre. On a déplacé le curseur et ils l’ont mis sous vocable extrême droite. La fausse droite est à gauche et c’est celle des marchands du Temple. La vraie gauche c’est celle du désordre, de la casse généralisée et de la perversion.
ça s’appelle une dictature !
Quelle différence y a-t-il entre le gouvernement chinois et l’Union Européenne ? Mêmes politiques idéologiques, même moyens de surveillance, même menaces, même système de désinformation. La seule différence se situe dans la clientèle servie.
Ce n’est pas une découverte. Je rigole….Nous serions dans une démocratie.
Comme il n’est pas assez de détruire la France la Macronite veut aussi détruire l’Europe ! Préparez les battes l’avenir va faire mal.
ces euro-députés macronistes devraient déjà balayer devant leur porte en France avec tous les mis en examens dans leur parti , et déblayer leur chef qui détruit la France !
Nouvel ingrédient dans la cuisine européenne qui progressivement met en cocotte minute une future guerre civile. Une fois de plus cette organisation à Bruxelles est hors sujet et n’a plus sa raison d’être. Le FREXIT serait une bouée de sauvetage. L’U. E. est devenue l’iceberg du Titanic.
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Les wokes macronistes qui, même recasé(e)s après défaites phénoménales, s’écraseront avec autant de brillance qu’ils mirent pour s’élever, un phénomène de passage, qu’il nous faudra vite oublier, et nous acharner à réparer les énormes dégâts.
Ils/elles n’auront plus que leurs yeux pour pleurer sur l’absurdité faite homme, Macron lui-même, qu’ils/elles mirent au pinacle de la République exemplaire…
On a vu, merci pour ces scandales successifs, honteux, et exemplairement licencieux.
Macron qui, ces trois dernières semaines lors d’une succession de réunions internationales, s’est exemplairement, et avec méthode, ridiculisé à la face du monde et surtout de ses dirigeants qui attendent autre « chose » du président de la France.
Un seul exemple, Macron qui défend la francophonie en s’exprimant dans un anglais approximatif, oubliant au passage que les deux langues officielles dans ces institutions, ne serait-ce qu’à l’ONU, sont l’anglais ET le français… Sûrement pas le franglais !
Si nous pensions avoir été ridiculisés à la face du monde, notre France et nous les français, par un « Monsieur boîte à outils » engoncé dans ses costumes boudinés, et usant d’un anglais de farces et attrapes, force nous est donnée de réviser notre vision, la Macronie exemplaire restera comme une verrue au milieu d’un visage.
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Montfaucon !
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Comment est-ce possible..entre ces pourris débiles et les lobbyistes professionnels Comment voulez-vous que la démocratie s’exprime.. ce sont toujours les minorités qui imposent leur idées et les veaux laissent faire…pauvre monde.
Ah, l’ADN à la mode de chez nous ! Pas de vocabulaire plus subtil dans le dictionnaire, ou dans les (ex-) Lagarde et Michard ?. Pour employer-encore – un adjectif » à la mode », je dirais : Pathétique !
L’extrême droite n’existe pas en union européenne et encore moins en France. Elle est certes très implantée et puissante chez nos alliés ukrainiens mais ils ne font pas partie de l’UE.
Ce qu’on appelle extrême droite en France correspond au centre gauche danois qui lui-même ferait office d’extrême gauche dans la majeure partie du monde.
Moi je trouve que ces gens-la jouent petit bras. Il faut carrément inscrire dans la Constitution l’interdiction de ’”l’extrême droite”. Au passage on pourra aussi y inscrire la limitation à 150 km/h de la 4 voies Mont de Marsan/Dax/Bayonne les jours pairs dans le sens nord-sud et les jours impairs dans l’autre sens.