L’hymne olympique interprété par Arielle Dombasle, risée des réseaux sociaux

Brève breve

La chanteuse et épouse de Bernard-Henri Lévy, Arielle Dombasle, a interprété, ce dimanche, à l’occasion de la célébration du 14 Juillet, son titre Olympics sur le parvis de l’hôtel de ville de Paris. Une prestation jugée « malaisante » et qui a suscité de nombreuses réactions auprès des internautes, décidément peu séduits. Son titre, composé spécialement pour les Jeux olympiques d'été de Paris 2024, s’inspire de la Septième Symphonie de Beethoven.

Toute de blanc vêtue, parée d’une tenue de Marianne futuriste ornée d’anneaux, ainsi que d’une perruque blanche et de bottines aux semelles démesurément compensées, l’artiste a livré une performance qui n’a pas convaincu, faisant préciser à certains internautes, moqueurs ou ironiques : « Ceci n’est pas une parodie ! » Qualifiée de « Lady Gaga de supérette », la chanteuse est moquée, comme le ridicule de la mise en scène imposée au public. Heureusement que « le ridicule ne tue pas. sinon, on aurait perdu Arielle Dombasle depuis longtemps », lance un internaute.

Vos commentaires

62 commentaires

  1. Vêtue d’une robe type Bibendum à la blancheur Ariel, cette personne haut perchée s’est lancée dans le ridicule. Il faut dire qu’elle est à bonne école. Tristement lamentable.

  2. Pathétique! Je pensais avoir « tout vu » dans la nullité mais je vois que nous n’avons pas encore touché le fond! France, réveille toi!

  3. Bon, d’accord, les chaussures, trop moches ! Mais j’aime bien. C’est drôle, un peu kitsh peut-être, mais dans cette société vibrante de haine, malade d’actes de barbarie quotidiens, d’humeur sombre, désespérée, un peu de légèreté est une bouffée d’oxygène. Dombasle a un charme fou, merci pour ces 5 minutes de détente frivole.

  4. S’il elle n’était pas en blanc, on aurait cru un boudin. Elle arrive à devenir aussi ridicule que BHL, mais en moins toxique.

    • Elle nous rappelle les momies ou les nourrissons qui étaient à une époque, emmaillotés jusqu’au menton comme des boudins.

  5. Pauvre Arielle Dombasle : Entre la robe façon goulotte à gravas, les « baskets » style chaussures de chantier et une chorégraphie à côté de laquelle, « la dance des canards » passerait pour un ballet du Bolchoï, quoi dire, sinon que ce pays part singulièrement en cacahuètes. Mais ça plait à certains, c’est « disruptif » avec un soupçon de « déconstructivisme », bref c’est ni fait ni à faire ! Comme d’hab en macronie !

  6. C’est un gag ? Ne dites pas que c’est la version définitive ? Ils n’ont pas répété, c’est pas possible …

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