L’idéologie pro-migrants enseignée à nos chères petites têtes blondes
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Sortie scolaire dans un camp de migrants. L’idée a de quoi surprendre. Pourtant, à Valenciennes (Nord), une professeur de philosophie propose bel et bien à ses élèves une journée à Calais à la rencontre des migrants et des bénévoles qui œuvrent auprès d’eux. Averti par un parent d’élève inquiet, le collectif « Protégeons nos enfants » n’a pas manqué de médiatiser cet exemple pour alerter sur l’endoctrinement pro-migrants qui sévit dans les écoles.
Les militants pro-migrants infiltrent l’Éducation nationale
Collecte de dons, rencontre avec l’Auberge des migrants, ateliers de bénévolat, ethnographie à la frontière… Ce programme du parfait activiste immigrationniste a en réalité été concocté par l’une des professeurs de philosophie du lycée Watteau à Valenciennes pour ses élèves de classes préparatoires littéraires. Ce 2 décembre, cette enseignante, connue par ailleurs pour ses activités militantes – elle a notamment fondé avec son mari une association d’accueil des migrants dans les Hauts-de-France et écrit plusieurs ouvrages à ce propos –, projette d’emmener ses élèves à Calais auprès des migrants.
Lycée Watteau de #Valenciennes, un professeur de l’@education_gouv organise une sortie scolaire au camp de migrants à #Calais.
Programme : rencontre des bénévoles de l'Auberge des migrants, ateliers de bénévolat et ethnographie.Vous aussi, témoignez : https://t.co/PZeJXZS8uu pic.twitter.com/m6WTBnCr8V
— Protégeons nos enfants (@ProtegEnfants) November 28, 2022
Ce n’est pas la première fois que les élèves du lycée Watteau sont encouragés par leurs professeurs à s’engager en faveur des immigrés. Déjà au mois de janvier dernier, cette même enseignante avait mobilisé ses étudiants à collecter des vêtements et des sacs de couchage pour les « exilés » avant de les emmener sur le terrain à Calais. Surpris par cette activité, un parent d’élève a décidé d’alerter le collectif « Protégeons nos enfants », proche d’Éric Zemmour. « Cette professeur a le droit d’avoir des engagements personnels, mais elle n’a pas à les exprimer au sein de l’école », rappelle Agnès Marion, porte-parole du collectif auprès de BV. Et de s’interroger : « Quel est l’intérêt pédagogique d’une telle activité en classe préparatoire littéraire, si ce n’est imposer un discours militant ? » Contactés à ce propos, ni le lycée ni l’académie de Lille n’ont pour le moment donné suite à nos sollicitations.
Le cas de Valenciennes est loin d’être anecdotique. Depuis plusieurs années, des associations militantes, soutenues par des enseignants ralliés à leur cause, infiltrent les écoles. Début novembre, c’est à Marseille, au lycée Montgrand, que des élèves ont été sollicités pour prendre part à un projet de partenariat avec l’association Ramina (Réseau d’accueil des minots non accompagnés) afin « d’accueillir et d’accompagner de jeunes migrants ». À Sedan, ce mardi 29 novembre, les élèves du lycée Pierre-Bayle ont, quant à eux, été invités au festival Migrant-Scène, un événement qui prône la « liberté de circuler et de s’installer » pour tous. Les collégiens ne sont pas en reste. Il y a quelques jours, Ian Brossat, adjoint à la mairie de Paris, saluait la participation des élèves du collège Pierre-Mendès-France (Paris XXe) au programme Inter'Act Tour du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) pour « apprendre la réalité des migrations » et, selon les mots de l’élu, lutter contre « les idées racistes ». Ces professeurs et militants « persuadés d’être dans le camp du Bien, agissent maintenant en toute impunité », déplore Agnès Marion. Il faut dire que depuis quelques années, l’Éducation nationale laisse faire. La Cimade, association de défense des migrants, tout comme SOS Méditerranée ont ainsi reçu un agrément du ministère pour sensibiliser les élèves à la thématique des migrations et du sauvetage en Méditerranée.
« Pris un à un, ces exemples peuvent sembler isolés et anecdotiques. Mais on réalise, grâce aux nombreux signalements, qu’il s’agit en réalité d’un phénomène massif », s’inquiète Agnès Marion. L’école, sanctuaire de l’instruction, devient désormais le lieu du formatage idéologique des élèves. Des professeurs militants n’hésitent plus à se servir de leurs cours pour diffuser leur propagande, souvent au détriment de l’instruction. Ironie du sort : le 25 novembre dernier, l’Éducation nationale annonçait une nouvelle baisse du niveau en français des élèves. L’école retrouvera-t-elle sa vraie vocation, celle d’instruire plutôt que d’endoctriner ?
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69 commentaires
Ce soir sur cnews dans face à l info l excellente nouvelle que le rectorat a annulé cette sortie de la honte faite par une « prof » propagandiste véritable insulte au martyr vécu par Samuel Paty. Il serait intéressant de voir les comptes bancaires de cette femme tant l immigration est un marché lucratif…ce qui expliquerait son zèle à faire accepter son idéologie … Qu elle fasse ce pour quoi l état la paie à savoir instruire nos enfants…
Ces professeurs devraient être pénalisés par une pénalité sur leurs salaires ,ils sont à l’école pour enseigner pas pour formater les enfants .
Retour obligatoire des jeunesse communistes. On appelle ça le progrès, mis en place par des mondialistes dont le seul but est de nous ramener aux années 50.
On a donc une enseignante qui par ailleurs touche des subsides grâce à la cause migratoire (association et livres), et qui utilise des élèves comme main d’oeuvre gratuite (pour elle, tout étant financé par d’autres) pour ses affaires.
Décidément, l’immigration est un business juteux.
Va-t-on faire des découvertes du même genre qu’en Italie à propos de cette enseignante et de son « combat » pour les clandestins?
Toute sortie ne doit-elle pas être approuvée par le proviseur ? Celui-ci est-il informé ? Et consentant ?
Je n’arrive pas à comprendre pour le recteur de l’académie dont dépens cette inconsciente ne lui interdit pas cette sortie. Il est vrai avec le ministre de l’éducation nationale qui prône le Wokisme. Pratiquement la plupart des enseignants sont gangrénés par cette idéologie stupide qui détruit notre civilisation, en plus ces sinistres personnes ne font leur travail d’enseignant c’est à dire l’instruction de notre langue ou les mathématiques, histoire et la géographie, ils préfèrent faire de la propagande. Ah oui j’allais oublier cette enseignante stupide, pourquoi elle ne loge pas chez elle quelques migrants?
On devrait commencer a se poser serieusement la question de connaitre les motivations de ces militants qui gangrénent notre pays ! Je ne peux pas croire une seule seconde que sous couvert d humanisme se sont des Français qui aiment la France ! La gauche on le sait a des motivations électorales mais ces professeurs et autre journalistes ???
Je pense sincerement qu il y a une conspiration pour faire éclater la Nation , la Famille et la Chrétienneté partout en Europe pour que nos élites dirigeantes instaurent un systéme digne de « 1984 »
Ce n est plus la France , ni l Europe qui est menacée mais la civilisation méme . (mais bon faut s y faire , c est le Kali Yuga)
Quelle chance pour ces élèves qui vont voir ainsi quel sera leur sort quand il seront obligés de quitter la France quand celle ci sera devenue invivable pour eux. Mais il n’est pas sûr que leurs futurs hôtes soient aussi généreux. Ce sera plutôt la mise en esclavage qui les attend, mais là quels enseignants pour leur rappeler ce qui sévissait sur les côtes Méditerranéennes avant 1830.
tout a fait d’accord avec votre commentaire nos chères têtes blondes sont des proies faciles pour ces enseignants gauchistes a l’extrême je me rappelle ma prof de français en terminale Bac industrie ou notre programme était basé sur les écrivains de la fin du 19 siècle et le début du 20 ième ou toutes cette littérature était basée sur le syndicalisme ouvrier je suis sur que dans ma classe j’étais pratiquement le seul qui a travers mes dissertations étais un anti marxiste .
Voila la gauche NUPES de l’éducation nationale. Quelle image pour des jeunes élèves de voir le malheur de pauvres gens accueillis sur notre sol et à l’abandon. Ils garderont un mauvais souvenir de l’accueil accepté par nos politiciens et de Macron. Cette prof va-t-elle expliquer à ses élèves que l’argent recueilli par les dons va dans les poches des associations et passeurs ? Mais jamais pour loger et nourrir les immigrés. Et que ces malheureux deviendront des voleurs pour pouvoir survivre. Drôle de philosophie pour cette hypocrite professeur.
Si cette professeur de philosophie n’était pas encartée dans un mouvement radical islamo-gauchiste, on serait en droit de se poser la question pourquoi pas ? un sujet sur la disparité dans ce monde entre les nantis et les plus démunis (encore une preuve d’humanisme) , mais pour en revenir à cette activiste il s’agit d’inculquer à ces jeunes gens le côté sombre de l’immigration , dans le cadre d’une sortie scolaire , un cas avéré de prosélytisme dans cette démarche .
Mais rien de bien étonnant cette action se situe dans la pensée du ministre de l’Education Nationale , qui fait passer son idéologie trop souvent au détriment aux fondamentaux de l’instruction scolaire.
espérons qu’ils expliqueront aussi pourquoi ils n’en loge pas chez eux, pourquoi ils ne s’occupent pas des SDF sur notre territoire, avant de s’occuper de clandestins donc hors la loi, de leur faire miroiter monts et merveilles et de les planter-là qui sous des ponts où sous des bâches. L’idéal serait que ces « enseignants » fasse comprendre à ces populations migrantes qu’ils n’auront pas de meilleure vie chez nous que chez eux. Cette forme de prosélytisme à grande échelle dans nos écoles, lycées et collèges, ainsi que nos universités squattées par des gauchistes, n’apporte rien à l’éducation pour le développement et le respect des uns et des autres.
Ne serait-il pas temps d’arrêter de donner des subventions à toutes ces associations ??
Je propose à des enseignants proches des thèses chères à Eric Zemmour, d’organiser des visites dans certains quartiers et leurs marchés tels que je connaissais près de chez moi en régions parisienne puis d’organiser des débats autour du grand remplacement. Tout en leur passant des video de l’INA des années 60 à 80 pour qu’ils puissent réaliser de l’ampleur du phénomène migratoire et ses conséquences directes en terme de changement total de population totale . Leurs montrer l’envers de la politiques encouragée par cette enseignante . Et on s’étonne que les gens mettent leurs enfants dans le privé . L’EN ce ne devrait pas être n’importe quoi ! C’est une preuve de plus du délitement de tous nos secteurs d’état !
Il faudra indiquer à l’enseignante qui a rédigé cette note que l’on n’emmène pas une valise, on l’apporte !!!
Minable cette sortie, mieux vaudrait les emmener au concert ou au musée……
On a l’impression qu’ils vont au zoo, appareil photo, prise de notes…….
Pourriez-vous éviter d’utiliser le terme migrant en lieu et place de clandestin, afin de nous éviter de nous voir infliger encore et toujours le vocabulaire de l’ultra gauche ?
C’est vrai, mon père était officier d’immigration au sein des Renseignements Généraux, et le vocable de « clandestin » était bien identifié (avec les « égards « qui leur étaient dus)!