[L’ÉTÉ BV] [LIVRES] Bye Bye Démocratie, de Jacques Myard
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Cet article a été publié le 20/01/2024.
À l'occasion de l'été, BV vous propose de redécouvrir des livres qui ont marqués l'année écoulée. Aujourd'hui, Bye Bye Démocratie de Jacques Myard.
Jacques Myard, bien connu des lecteurs de BV, évoque irrésistiblement un général d'Empire, loyal, courageux, parlant franc, mais avisé, et surtout patriote - une vertu désertée. Il est, depuis des décennies, le maire très apprécié de ses administrés de Maisons-Laffitte. Il a gagné, aussi, un vrai brevet de patriotisme républicain : en 2008, il fut un des deux seuls parlementaires de son parti (UMP) à voter contre la ratification du traité de Lisbonne, cette haute trahison. La suite, hélas, lui donne raison, et tort aux 212 autres parlementaires qui ont ratifié Lisbonne, trompés, soumis ou félons à la France. Car la situation de la France et des Français, en 2024, est désormais gravissime, au bord des gouffres immigrationnel, sécuritaire, social, économique. Jacques Myard a déjà publié des ouvrages bien connus et justes sur l'euro, la mondialisation, la laïcité…
Dans son petit livre, qu'il désigne lui-même comme un « brûlot », Bye Bye Démocratie, paru chez Lafont, Jacques Myard décrit la chute interminable de la France, ses causes, et en appelle à un « nécessaire sursaut », l'instinct de conservation, la légitime défense. Et il recourt à l'anglais pour bien montrer, par cette formule triviale et désinvolte, que toute notre culture est en péril. Ce livre est un excellent résumé des inquiétudes des Français face aux « multiples ruptures qui mettent à nu la fragilité de la cohésion nationale » que seuls les derniers fans (21 %) de Macron-Attal ne veulent pas voir.
Un vademecum bien utile
Le livre est structuré par grands thèmes regroupés en deux idées : le diagnostic du mal, sans tabous, et les remèdes. Sur tous ces sujets, M. Myard confronte les opinions, sa longue et précieuse expérience personnelle, des références et beaucoup de citations : un vrai et solide mode d'emploi pour notre pays et notre temps, qui tire sa force de la tradition historique, intellectuelle et morale française. Un vademecum à relire avant d'endurer les « repas en ville » ou en famille, car le livre fourmille de réponses et d’arguments pour ranimer nos flammes patriotiques et démocratiques, épuisées d'un si long temps de sottises et félonies.
À cinq mois d'élections européennes qui vont probablement bouleverser l'histoire de notre continent en péril, on lira avec une attention soutenue ce résumé de réflexions, d'expériences et de préconisations nationales et internationales. Parmi lesquelles de forts réquisitoires contre Macron, le gouvernement des juges, soumis à des sujétions extérieures, politisés ou laxistes, la dictature des minorités, l'immigration, et surtout l’islamisation qui augure de la guerre civile… Et de forts plaidoyers : en économie, la maîtrise du tout concurrence, la fin de l'ARENH (accès régulé à l'électricité nucléaire historique, origine de notre désastre énergétique) ; en politique étrangère et de défense, une moindre dépendance des USA et de l'OTAN, mais aussi de Bruxelles.
L'expérience hellène
Mais alors, quel sursaut, selon Jacques Myard ? Quel Cincinnatus et quelles réformes nécessairement juridiques (nous sommes plus réticents à l'évocation de Philippe le Bel) ? Jacques Myard met en avant les principes républicains et nationaux à rétablir, une véritables feuille de route, mais il est moins précis sur la façon de faire, si ce n'est le recours « régulier » au référendum, sans préciser toutefois sa position sur le RIP ou le RIC, la proportionnelle.
Ce Bye Bye Démocratie, les parents doivent le faire lire à leurs enfants qui vont voter pour la première fois en 2024. Les Hellènes, ces maîtres en tout (mais sottement oubliés), savaient que la transmission de l'expérience acquise des parents est salvatrice de la cité : c'est l'agôgè. Aucun réseau social ne peut la remplacer. Et l'on peut compléter par la sagesse de Solon (VIe siècle av. J.-C.), plus que jamais actuelle : ayez plus de confiance dans la probité que dans les serments. Appliquez-vous à des choses utiles. Avant de commander, apprenez à obéir. Prenez la raison pour guide. Évitez la société des méchants. Respectez vos parents. Jacques Myard nous transmet son expérience. Recueillons-la précieusement.
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16 commentaires
Ils nous ont eus jusqu’au trognon en effet si nous avions pas adhéré a l’EUROPE tel quelle est nous aurions été les rois du pétrole en effet en ce moment grâce a nos centrales électriques ,nous vendrions de l’énergies sans compter ,notre centrale entièrement rénovée distribuerai du courant a toute l’Europe ,nos centrales ne seraient jamais tombées en désuétudes a cause des allemands, certainement que notre industrie ce porterai mieux nous aurions des frontières ainsi nous ne serions pas a la merci des hordes barbares car il s’agit bien de barbares pour tuer autant de français au non de Mahomet. Comme disaient les bien pensants dans les années 70 nous n’avons pas de pétrole mais nous avons des idées. En France nous pourrions avoir une autre vie que ces progressistes nous ont donnés : La pauvreté pour un grand nombre ,Insécurité et en plus le pire de nos malheur le grand remplacement que sont devenus nos grandes villes avec ces banlieues barbares ,ou mêmes les forces de l’ordre n’osent plus s’aventurer pour cause de soulèvements comme nous avons connus en 2023 . Quand on voit comme balisent nos dirigeants a l’approche des jeux d’été, le pire est a venir car maintenant ils nous imposent de distribuer de par ci de par la cette immigration dont nous ne voulons plus.
Paroles, paroles mais ça s’arrête là.
» Et l’on peut compléter par la sagesse de Solon (VIe siècle av. J.-C.), plus que jamais actuelle : ayez plus de confiance dans la probité que dans les serments. Appliquez-vous à des choses utiles. Avant de commander, apprenez à obéir. Prenez la raison pour guide. Évitez la société des méchants. Respectez vos parents. »
Préceptes plus qu’oubliés, pire: non enseignés depuis des lustres aux jeunes générations, nous en voyons les résultats aujourd’hui !
La première des cause est comme celle des migrants, le NOMBRE. Trop de Politiques et trop de services Publics = trop de taxes, de charges et de contraintes. C’est particulièrement visible en France seul Pays de l’UE avec une telle charge financière et cela ne s’arrêtera pas sans violence, ils sont des milliers qui sortent chaque année des grandes écoles ou l’on forme les bons communistes, mafieux et pour certains escroc, ils sonnt des milliers à attendre la grosse rente Républicaine dès 20 années de « présence » et des Milliers qui se sauvent de cette minable République pour ne plus payer toutes ces charges. Enfin ils sont des milliers venus d’ailleurs pour profiter de l’argent gratuit issus de Dettes nationales et locales monstrueuses ce qui laisse un avenir sombre pour nos enfants ou petits enfants parce que les glandus qui se font traire n’ont d’autre solutions ou idées que celles de Marches Blanches qui ne servent à rien. En 50 ans ce pays France qui était une référence dans bien des domaines est devenu une République minable qui se fait traire par toutes les mafias précités.
Mais puisque le mot « démocratie » est désormais une coquille vide et que le terme de « droite » est aujourd’hui galvaudé et dévoyé, que fait donc cet homme chez LR qui n’est qu’une droite Canada-Dry, un quasi-avatar et un ersatz édulcoré de la gauche ? Il n’y a qu’un seul parti de droite en France et ce n’est ni LR ni RN !
Forcément, à force d’être massacré, les Français seront obligés de se défendre. Ou autre solution, se soumettre complètement en acceptant de perdre son identité, sa religion, son athéisme, sa liberté de penser, sa liberté tout court, ses mœurs, ses coutumes, sa civilisation pour laisser la place à une autre.
Macron le penseur vide se trompe carrément, l’Europe ne sera pas progressiste, ni mondialiste, mais musulmane !
Comme la majeure partie de la jeunesse s’en moque, ce n’est pas les vieux dont je fais partie iront guerroyer dans une guerre civile qui arrivera surement. En 1914, ils y avaient des hommes jeunes et moins jeunes qui se battaient avec une conviction inébranlable. En 1939 beaucoup moins, si nous n’avions pas eu les britanniques et ensuite les américains, nous serions germaniques. Puis l’Indochine arriva, les communistes français défendaient les communistes de Hanoï, nous sommes partis, puis vint la guerre d’Algérie et ne juin 1962, nous avons abandonné notre terre, car un général plus politique, que général abandonna notre terre, et accepta un compromis des accords d’Evian ou plutôt déviant, qui n’étaient qu’à l’avantage des terroristes. Et maintenant tous ces terroristes sont chez nous, mêmes ceux qui parlent à la télé, et ceux disent FRANÇAIS, ils le répètent trop souvent, pour être sincères. Donc notre Société sera islamisée que vous le vouliez ou non. Car faire la guerre, c’est accepter tous les risques et faire fi des droits de l’homme. C’est un départ dans l’allégresse, et un retour dans la tristesse. Mais si on veut se battre. Un pied Noir d’Alger.
Pied noir d’Alger : relisez l’histoire de France : notre pays a encore du ressort !
» En 1939 beaucoup moins, si nous n’avions pas eu les britanniques et ensuite les américains, nous serions germaniques. » Parce que nous ne le sommes pas?
Sûrement très intéressant.
Heureusement il existe encore des personnalités ayant encore du bon sens, malheureusement la gauche et ses influences omniprésentes aidé du gouvernement s’emploient avec nos moyens que nous leur fournissons grâce à nos taxes et impôts à les étouffer dans une relégation bien organisé. Heureusement BV, CNews et autre résistent sous les coups sans cesse répétés au quotidiens.
Aux européennes Myard va-t-il appuyer Bardella ou Bellamy ?
Et pourquoi pas Marion ??
Je prends le pari que ce sera Bellamy. Comme analyste des travers de notre société, il n’est pas mauvais, mais il faut quand même rester politiquement correct, donc RÉPUBLICAIN!…..?
Tisserand et Christian Laborde vous avez raison : ce sera le test !
L’UE est la fin de la démocratie : « Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens » Jean Claude Juncker