Loi Immigration : pour l’évêque d’Arras, il n’y a pas encore assez de migrants
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Mgr Olivier Leborgne est un homme de bien. Animé d’une foi sincère, il a eu des mots justes, profonds et même émouvants à l’occasion des obsèques de la petite Lola et de Dominique Bernard, qu’il a célébrées. Lola, assassinée par une Algérienne sous OQTF, venait d’une famille du Pas-de-Calais. Dominique Bernard, assassiné par un Tchétchène fiché S, était professeur à Arras.
Et pourtant… Pourtant, l’évêque d’Arras, qui compte dans son diocèse le pandémonium migratoire de Calais, se dit inquiet de la future loi Immigration - si, toutefois, le Conseil constitutionnel ne la vide pas de sa substance. On a déjà dit que cette loi était bien timide et ne changerait pas grand-chose au chaos actuel ni à l’invasion à venir, mais ça ne semble pas lui suffire. Loin de nous inciter à casser gratuitement du sucre sur le dos d’un clergé français qui n’a pas besoin de ça, une telle réaction mérite qu’on s’y intéresse d’un peu plus près.
Le Christ, migrant zéro ?
La tribune de Mgr Leborgne, publiée le 22 décembre dans La Croix, s’inquiète du sort des migrants, qui sont donc, on l’a dit, déjà très nombreux dans son diocèse. Restreindre leurs droits lui paraît une offense à la personne du Christ pour qui, déjà à l’époque, personne n’avait trouvé de place à Bethléem. Le Christ, migrant zéro ? C’est un peu facile… S’il ne nie pas que les clandestins qui ne cessent de déferler sur l’Europe ont été bercés d’illusions par un discours fallacieux sur l’eldorado que représenterait notre Vieux Continent, l’évêque est tout de même angoissé à l’idée que ces nouveaux venus pourraient ne pas être accueillis avec tous les égards.
Ce parallèle hasardeux entre l’Enfant Jésus et les Zodiac™ de délinquants n’intervient pas par hasard à la période de Noël. Il y a probablement, chez cet inconditionnel du pape François, quelque chose de très politique à s’indigner ainsi aux alentours du 25 décembre, afin d’amplifier encore la mauvaise conscience de l’Occident. Ce qui ne laisse pas d’interroger le lecteur, en revanche, c’est la raison pour laquelle Mgr Leborgne, dont les homélies pour les obsèques de Lola ou du professeur Bernard sont pleines de foi, d’espérance et de charité, prend fait et cause pour ceux qui sont à l’origine de ces deuils. Peut-être pense-t-il que, statistiquement, le mal traverse tous les peuples avec une égale puissance et qu’il y aurait une facilité, de l’ordre du repli sur soi, à faire peser la charge de la barbarie exclusivement sur les migrants. Peut-être, avec un intellectualisme typiquement clérical, voit-il dans la figure du clandestin un nouveau pharmakon, ce mot grec pour le bouc émissaire, qui désigne à la fois le mal et le remède, la victime expiatoire d’une société malade ? On ne sait pas. On se perd en conjectures.
Des propos tout simplement irresponsables
Ce qu’un simple fidèle de base pourrait lui opposer tient en bien moins de mots et vole beaucoup moins haut. Monseigneur, pourquoi tant d’aveuglement ? Oui, le mal traverse la Terre entière, mais pouvez-vous ignorer que les prisons sont peuplées de 25 % d’étrangers et de 80 % de musulmans qui, par définition, ne viennent pas d’Europe ? Pourquoi refuser à la France, à l’Europe, de se défendre (bien modestement) contre des populations hostiles, parfois haineuses, qui viennent, de leur propre aveu pour certaines, envahir l’Europe ? Quel niveau de déracinement faut-il avoir atteint pour s’inquiéter du sort de réfugiés qui ne fuient aucune guerre, aucun péril, et veulent seulement toucher des aides sociales dans un pays qu’ils accusent de tous les maux ?
Mgr Leborgne a un cœur pur et une âme droite. Il n’y a probablement aucune malice dans ses propos et il entrera très certainement au Paradis avant l’auteur de ces lignes. Ce qu’il dit, cependant, n’est rien d’autre que révoltant.
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101 commentaires
Les migrants sont certainement à plaindre et un évêque ne peut que compatir sur le sort de ces milliers de gens qu’on déracine pour les envoyer vers des pays qui n’ont plus du tout la capacité de les recevoir et qui les entassent sous les ponts dans des petites tentes prévues par leurs passeurs, comme du bétail en réserve d’utilité. Que personne ne porte la honte de cette situation sur ceux qui l’organisent est un mystère. Que personne ne dise haut et fort que ce n’est pas autre chose qu’une traite humaine, surprend. Que les ONG financées par on ne sait qui (on le sait) et que les gouvernements complices irresponsables, poursuivent paisiblement cette activité jugée autrefois criminelle laisse perplexe . C’est pourtant très précisément ce qui devrait simuler la charité du clergé.
Le clergé serait-il, comme les politiques, déconnecté de la réalité. ? Et si les migrants trouvaient le bonheur en restant chez eux ?
Le général DE GAULLE doit « mourir tous les jours » depuis très longtemps tellement son nom est mis à toutes les sauces par es poli-tocards qui lui ont succédé à l’Elysée … Simone VEIL est en deuil elle aussi lorsqu’elle « entend » les combats à géométrie variable des pseudos « féministes » déconstruites et fières de l’être ! … Et l’abbé PIERRE doit se « réjouir » de ne plus voir la misère des français passée « en pertes et profits » par des « bouffeurs de chrétiens » alors qu’ils sont au coeur de du christianisme ! …
Il n’y a pas plus aveugle qu’un abruti qui ne veut rien voir ! … Cet évêque doit changer de costume et aller « prêcher » dans d’autres contrées … HONTE à lui et je « présente » mes excuses aux familles des victimes qui ont été massacrées par ce qu’il refuse de voir …
Comme le Vatican et comme tous les Gouvernements d’Europe et du monde, ils ne sont pas au courant de ce qu’a déclaré Houari Boumediene, en 1974, le président algérien lors de la conférence islamique :
« Le ventre fécond de nos femmes nous permettra de conquérir l’Europe et le Monde » et à l’ONU « Des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Ils n’iront pas en tant qu’amis. Ils iront pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire ».
C’est avec ce genre de personnage que l’Eglise perd chaque jour de plus en plus d’ouailles …..L’Islam a un bld devant lui !
Il y a des paroles qui sous l’idéologie chrétienne et dites par certains religieux, sont suicidaires pour la religion chrétienne en particulier pour les Catholiques. Se plaindre que la France ne fait pas entrer sur ses terres une armée de migrants très majoritairement musulmane. Ceux qui nous les envois n’ont qu’un seul but ISLAMISER la France et l’Europe. Que cet évêque garde pour lui les âneries mortifères qui sortent de sa bouche. Jésus a donné sa vie pour nous sauver, cet évêque fait tout l’inverse. Il n’a rien compris ! Entre pardonner à son ennemi, et l’inviter dans sa maison, là il faut être FOU !
L’angélisme, même (et surtout) irresponsable doit avoir ses limites ! Monseigneur devrait se reposer et prendre le temps de réfléchir au présent et à l’avenir des migrants, et ce, en pleine conscience.
Que cet évêque aille prêcher et prier en terre d’Islam, mais pas n’importe où, en Iran, en Tchétchénie, en Azerbaïdjan, et s’il revient j’irais l’écouter.
Les Eglises se vident et ce genre de propos ne les rempliront pas. C’est criminel de s’exprimer ainsi car nous savons que c’est de cette manière que les barbares ont d’abord envahi puis détruit l’empire Romain, au prix de centaines de millier de morts. La solution c’est le développement de l’Afrique.
C’est l’évêque invité par France-Inter. C’est tout dire.
Les Français sont tous inquiets pour l’avenir de leurs enfants et petits enfants en regardant la démographie française.
A l’évidence l’évêque d’Arras tout comme Macron n’ont pas la même inquiétude et pour cause, ils n’ont pas d’enfants.
Manifestement tous ces coupés de leurs racines sont à côté de leurs pompes en préférant les migrants aux aborigènes autochtones Celtes ou Slaves
Bravo pour votre superbe conclusion.
C’est presque normal car avec son patronyme, il n’en voit que la moitié ; et de plus dans son évêché bien protégé il ne risque pas grand chose.
Peut-être si l’Evêque d’Arras et le Pape François commençaient à s’occuper un peu plus de leurs ouailles et un peu moins de sujets qui sont plus du ressort de César, les Églises se videraient un peu moins vite
Au pays des aveugles, les borgnes sont rois …