Loi vaccinale : l’automne des droits de l’homme ?
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Il semblerait que le passe vaccinal puisse être retiré, d'ici quelques semaines, ce qui n'est pas une mauvaise chose. En l'imposant, Emmanuel Macron avait, en effet, orchestré l’adoption d’une réglementation sanitaire portant gravement atteinte aux libertés fondamentales.
Paradoxalement, ce n’est pas l’obligation vaccinale, prise isolément, qui pose les questions les plus graves concernant la défense de nos droits. Le danger se trouve avant tout dans le système répressif généralisé en train d’être mise en place.
Václav Havel, qui allait devenir président de la République tchèque après l’effondrement du mur de Berlin, commença son engagement politique comme « dissident », militant pour les droits de l’homme sous la dictature communiste. Il théorisa alors ce qu’il dénommait les petits renoncements. Selon lui, une dictature ne parvient à s’imposer que parce qu’elle réussit à instaurer une forme de micro-asservissement permanent. Un despotisme, c’est un régime brutal et répressif, mais c’est aussi une multitude de contraintes obscures, harcelantes, opprimantes au quotidien. Un exemple typique est celui dit « du verre d’eau ». Si un gouvernement décrète, un jour, d’interdire à ses citoyens de boire un verre d’eau en les obligeant, quand ils ont soif, à devoir boire, à la place, deux demi-verres d’eau successifs, cette mesure peut apparaître totalement grotesque, burlesque ou peu importante. Elle représente pourtant la marque d’une implacable tyrannie. La population victime se trouve en effet contrainte de se soumettre à ce diktat absurde, infantilisant, dont le but est d’avilir les citoyens en leur faisant ressentir le poids écrasant d’un État tout-puissant imposant son arbitraire. Eh bien, lorsque le gouvernement français décide de priver chacun du droit de boire un café debout, dans un bar, on peut se demander s'il n'agit pas de la sorte. L’argument selon lequel cela se justifierait par des impératifs sanitaires, afin d’éviter une proximité de comptoir, se trouve d’autant moins acceptable que, dans le même temps, il est permis de s’entasser tous les matins à l’intérieur des wagons du métro, dans des conditions bien pires.
L’exigence du « café assis » a pour conséquence, volontaire ou pas, de nous humilier. Cette mesure constitue une punition collective qui nous installe insidieusement dans une sorte de servilité face au pouvoir. L'un de ces petits renoncements, comme Václav Havel l’avait très justement expliqué ? Certes, la France n’est pas une dictature, mais la loi vaccinale respire la tyrannie.
Olivier Barrat
Avocat
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47 commentaires
« Certes, la France n’est pas une dictature, » Affirmation sans preuve. Les preuves de l’inverse sont par contre multiples.
Légère pour le moment mais elle ne fait que commencer.
S’entasser dans le métro, c’est pas grave pour nos nantis. Les serfs, les gens qui ne sont rien, vont au « turbin ».
Mais prendre un café dans un bar, c’est un petit plaisir, oh pas grand chose, mais juste un geste de liberté, le geste d’un homme libre.
Voilà où se situe l’humiliation, l’emprise totale d’un régime qui impose une situation absurde et sans fondement logique.
« ce n’est pas l’obligation vaccinale, prise isolément, qui pose les questions les plus graves concernant la défense de nos droits. »
Le problème est qu cette injection expérimentale n’est pas un vaccin, mais un produit imposant à l’organisme humain à produire une toxine!
Cela me parait des plus graves!
Pas une dictature au sens de certaines pires qu’ici mais pas vraiment loin ! Le café assis comment les français ont-ils pu avaler cette monstruosité ! Plus débile tu meurs le petit groupe qui nous humilie à longueur de journée a bien du se marrer ! Réveillez vous m’enfin ça fait 2 ans qu’on nous enfume. La méchante année 2020 ah bon et bien même nombre de morts qu’en 20215 ! Ballot non !
Je suis un citoyen catholique obéissant, social et modéré, plutôt de centre droit et légaliste, mais je suis de plus en plus choqué par des décisions qui me heurtent : accords de Lisbonne, retour dans l’OTAN, refus des clauses de conscience et d’un referendum pour le mariage homosexuel, passe pas sanitaire seulement, mais vaccinal et emmerdant éthique médicale douteuse, contraintes Européennes, arrêt de Fessenheim. Je vais bientôt exploser si les élections n’apportent pas de changement.
Si la vaccination anti-Covid avait été rationnelle ( proportionnalité bénéfices/risques…) il n’y aurait pas eu de débat.
C’est parce que cette vaccination a démontré une efficacité contestable et que malgré cela elle a voulu être imposée de manière contraignante et liberticide qu’elle laisse entrevoir le pire pour les années à venir. Un galop d’essai qui malheureusement a montré la soumission d’une majorité à l’irrationnel et à la peur serinée par une propagande ridicule et ignoble.
Oui, mais n’oublions pas que derrière cette tyrannie se cache d’énormes enjeux financiers et la vision d’un monde complètement livré à la « science » et aux technologies, sans plus aucun contre-pouvoir ou débats possibles. Regardez qui se sont enrichis depuis le début de cette crise sanitaire mondiale et placés aux postes clefs. Regardez également lesquels s’enrichissent dans la lutte contre « le réchauffement climatique » ou dans l’idéologie « woke ». Tout ceci est très factuel et lié….
C’est un mouvement mondial vers des dictatures. Pour la vaccination et ses effets tout est dit dans le livre de Michel Georget vaccinations, les vérités indésirables. Je n’ai plus d’enfant en bas âge mais je peux assurer que ces vaccins expérimentaux, pas chez moi!.
Très bien vu: il n’y a rien de mieux que des ordres absurdes pour vérifier la soumission du peuple
Depuis 2015, nous sommes en dictature, vu que les mesures d’exceptions n’ont jamais été levée. Nous sommes donc en tyrannie tel que décrit par Hannah Arendt. Les moyens déployés par les gouvernements (France, Canada, Autriche, etc…) contre les convois de la Liberté viennent donner raison aux lanceurs d’alerte.
Sans compter les mesures antiterroristes, provisoires et destinées au départ aux seuls terroristes
totalitarisme serait le mot le plus juste, ne nous reste plus qu’à nous y opposer, désobéissance civile, objection de conscience, tracter, porter une parole de bon sens car ce n’est pas fini. D’ailleurs pourquoi aucune date n’est elle donnée pour le retrait de ce passe et pourquoi pas dès aujourd’hui ?
Le verre d’eau fut interdit un temps par Castex dans les trains, puis réautorisé pour les enfants…Le meilleur exemple de la soumission n’est-il pas le port du masque en toutes circonstances, à partir de 6 ans ? Et que le dictateur abroge à son gré dans certains lieux, à sa convenance ?
Ah! Le métro et ses rames bondées, les RER. Charmants endroits où l’on est tellement compressé entre usagers que pas le moindre virus ne peut se glisser entre votre ventre et le derrière de votre vis à vis. Ce qui m’étonne , c’est que je n’ai jamais vu ni entendu le moindre journaliste balancer cette incohérence à la face d’un Véran ou d’un Castex ou de tout autre adorateur de Pfizer, Moderna et Cie.
Et ça vous étonne?
Mais il n’y a plus de vrais journalistes .
L’Histoire retiendra cette guerre déclarée plus contre le peuple qu’à un virus qui n’est pas le plus létal des centaines de milliers existants, et combattu dans la tyrannie, l’hypocrisie la plus totale, avec des moyens très sélectifs, au profit d’une « fraterie 3 points » d’une mouvance qui se veut devenir les Maitres du Monde avec leur Religion remplaçant à terme les 3 monothéistes afin de mieux contrôler. Pas du tout sûr que ce soit la paix.
Sinon celle des bottes…
Le virus a bon dos ..non à la dictature qui s’installe pour notre bien paraît il ..nous ne sommes ni debiles ni séniles et nous avons le droit de décider de notre sort médical ..oui à la liberté sans macron .j’en rêve .