Avec Macron, l’extrême gauche deviendra maître des rues !
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Alors que l'interdiction faite aux policiers d'utiliser certains matériels anti-émeutes se poursuit, les manifestants d'extrême gauche, encouragés par certains syndicats affiliés à la CGT, perpétuent leurs exactions en toute impunité.
À l'occasion de la manifestation du 1er mai, des violences graves ont ainsi été commises contre les forces de l'ordre, provoquant plusieurs blessés dans leurs rangs. Un CRS a été gravement brûlé au visage, sa vie étant même un temps en danger.
Cette violence inacceptable lorsqu'elle touche certaines catégories de nos concitoyens, en particulier des escrocs de nos banlieues, est apparemment en voie de banalisation lorsqu'elle vise nos policiers, nos gendarmes ou nos surveillants pénitentiaires. Bien plus : sous la pression des syndicats (la CGT en tête) et de nombreuses associations alliées ou proches du pouvoir socialiste, les CRS et les gendarmes mobiles se voient aujourd'hui interdire l'utilisation d'armes de défense qui, jusque-là, s’avéraient très efficaces pour assurer leur sécurité physique lors des affrontements, de plus en plus violents, avec l'ultra-gauche.
Le moins que l'on puisse dire est que cette surexposition des policiers aux brutalités inacceptables de la rue, devenues monnaie courante, n'a fait que peu réagir les syndicats de police. Plus prompts, pour certains, à déclarer leur flamme à un candidat à la présidence de la République, ils ont été extrêmement discrets lorsqu'il s'est agi de soutenir leurs collègues gravement blessés. Dès lors, comme s'étonner de ce que de nombreux policiers désertent les officines syndicales et se regroupent sous d'autres bannières. Quant à la droite dite républicaine, aujourd'hui en pleine cacophonie électorale, ses déclarations de soutien aux forces de l'ordre ont été assourdissantes par leur absence.
Cette indifférence au sort des fonctionnaires de police et des militaires de la gendarmerie chargés du maintien de l'ordre dans notre pays n'est donc pas que le propre de ceux qui nous gouvernent depuis cinq trop longues années. C'est toute la classe politique, qui va de la gauche à la droite, qui, en toute conscience, a abandonné l'institution policière aux coups de ceux qui veulent la perte de notre pays. Et la plus grande lâcheté qui régnait déjà au sommet de l’État est en train de se répandre à toutes les strates d'une administration qui fuit totalement ses responsabilités.
Malheureusement, il y a fort à parier que les désordres, les violences et le chaos qui s'installent peu à peu en France ne disparaîtront pas avec l'élection du prochain Président. Il faut même s'attendre, si d'aventure les sondages avaient raison, à une aggravation de la situation dans les tout prochains mois. En effet, le peu d'empressement de certaines personnalités politiques, en particulier de gauche ou d'extrême gauche, et/ou de responsables syndicaux, à prendre une position claire et définitive quant à l'avenir de nos institutions, laisse présager de crises sociales majeures et de manifestations de grande envergure dans un très proche avenir.
Il est désormais évident qu'une opposition puissante de gauche au banquier Macron s'organise avant même que les consultations électorales en cours ne soient achevées. Dès lors, c'est bien le chaos selon Macron qui se dessine, incapable qu'il sera de gérer les grands événements sécuritaires qui se profilent. Mais quelle que soit la situation à venir, les forces de l'ordre sont déjà prévenues. Elles serviront de défouloir à un pouvoir qui n'aura jamais le courage d'affronter la réalité en face. À moins que dans un sursaut…
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