Metz : des places de parking réservées aux femmes pour les protéger du viol !

@davealmine/Unsplash
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Au début du mois d'août, une femme a été violée par un clandestin nigérian dans un parking de Metz. Ce fait de société, le énième du même genre, réclamait apparemment une mesure ferme. Eh bien, on peut dire que c'est réussi. Le maire, François Grosdidier, membre du parti « Libres ! », affilié à LR, n'écoutant que son courage (qui ne lui disait rien), s'est vigoureusement saisi de ce dossier sordide. Il vient de prendre une mesure sévère : très bientôt, dans les parkings messins, les places les plus proches des ascenseurs ou des sorties seront réservées aux femmes. Oui, vous avez bien lu : comme il existe des places pour handicapés un peu partout, comme il existe des places pour les familles nombreuses devant certains magasins ou certains supermarchés, comme il existe des bornes de rechargement pour les voitures électriques, il va donc y avoir des places pour les femmes. Être une femme, est-ce un handicap, la promesse d'une famille nombreuse ou un mode de conduite éco-responsable ? On ne sait pas. Ce féminisme machiste ne manque pas de sel. Les Grosses Têtes des années Bouvard auraient probablement ironisé sur la façon de faire un créneau dans un parking souterrain. Autre temps…

On pourra toujours élargir les trottoirs, réserver des places de parking...

François Grosdidier n'est pas le premier homme politique à prendre ce genre de décisions absurdes ou à les suggérer. Vous vous souvenez peut-être de la féministe Caroline De Haas, qui proposait qu'on élargît les trottoirs pour que les femmes ne se fassent pas harceler à la nuit tombée dans certains quartiers de Paris. Quelqu'un d'autre avait mis en cause l'éclairage. Il y a un peu plus longtemps, on avait suggéré de diffuser de la musique classique dans les haut-parleurs des… parkings souterrains. Pour adoucir les mœurs, qu'ils disaient. Ça ne réussit pas sur tout le monde, apparemment.

Il y a un premier obstacle à cette mesure généreuse, responsable et citoyenne, comme on dit dans le métier : contrairement à ce qui se passe dans d'autres pays, aucune loi ne protège ces places. Il faut s'en remettre au civisme des usagers. Et puis, surtout, il y en a un autre, d'obstacle, d'une tout autre sorte : un homme qui est capable de violer une femme dans un parking va-t-il se comporter en parfait gentleman si la voiture de la dame est près de la sortie ?

C'est toujours la même histoire. On pourrait peut-être commencer par renvoyer chez eux tous les délinquants sexuels étrangers. Peut-être. On pourrait peut-être même, en faisant des statistiques toutes simples, s'apercevoir que certaines nationalités ne sont pas pour rien dans le calvaire que vivent les Françaises. Tout cela est peut-être déjà proche du nazisme, pour les narines délicates de la gauche de salon, qui trouve tout « nauséabond ». Ce serait pourtant plus honnête, plus utile aussi. On pourra toujours élargir les trottoirs, réserver des places de parking. Bientôt, on demandera aux femmes de se vêtir avec « pudeur », puis on leur conseillera de rester chez elles pour ne pas se faire violer. On appellera ça la loi de la République. Elle ressemblera comme deux gouttes d'eau à la charia.

Arnaud Florac
Arnaud Florac
Chroniqueur à BV

Vos commentaires

33 commentaires

  1. Des parkings réservés seraient sécurisants à condition d’y mettre un gardien avec un gros chien ..il y’a bien longtemps que ne veux plus me garer dans ces endroits..qui peut s’y cacher ?

  2. Places de parking réservées et bientôt interdiction aux femmes de sortir seules la nuit pour leur sécurité bien sûr : certains pays le font, non ?

  3. Je ne voit pas ce qu’il y a de choquant dans cette décision du Maire de Metz. Dans un pays où l’État est incapable d’assurer la sécurité de sa population, il est tout à fait normal qu’un élu local tente d’y suppléer. Quand on apprend  » qu’au début du mois d’août, une femme a été violée par un clandestin nigérian dans un parking de Metz. » Et que les pouvoirs publics nous répètent à l’envie que l’immigration n’à rien à voir avec l’insécurité, et continue à ouvrir les frontières sans contrôle, il faut bien que chacun à son niveau organise une protection avec ses moyens, et c’est le rôle d’un maire. Par ailleurs, c’est un système qui existe déjà en Suisse et je ne sache pas que les Suisses trouvent ça débile. Mais, on est en France. Il suffit que Panoramix décide quelque chose pour qu’immédiatement le village se coupe en deux et se tape dessus sans réellement savoir pourquoi.

  4. Ce maire de gauche en fait qui avait changé le nom du lycée Colbert en Rosa Park une inconnue .

    Parlons de la conseillère municipale LR qui s’affiche avec les islamistes turcs de la ville de Metz .
    Accusée de liens sulfureux avec les islamistes turcs, Nathalie Colin-Oesterlé, 8e sur la liste LR de François Bellamy, attaque Marion Maréchal et Damien Rieu en justice

    Sur le Facebook de Nathalie Colin, on découvre de nombreuses publications avec les loups gris.

    Sur ses photos, elle publie même leur logo ou bien la mention « Bozkurt » (loups gris

  5. Ayant déjà vu cela à Dusseldorf il y a une trentaine d’années je ne suis pas choqué je dirais même que c’est bien de la faire , il y a trop de cinglés en liberté chez nous .

  6. La bien-pensance a rendu les hommes idiots. Daria DOUGUINE disait en 2016 « la tolérance a été inventée pour supprimer l’identité européenne ». Depuis, nous avons franchi un autre seuil : la tolérance a été remplacée par la bien-pensance. Le bien-pensance est en train de tout détruire. Le bon sens a disparu. Il a été dévasté par la bien-pensance qui nous est imposée par le progressisme et la gauche. Les français en sont infectés et le pronostic vital est engagé. Beaucoup sont maintenant incapables de « penser » en dehors de ce diktat.

  7. En pays d’absurdie, ce maire aurait pu aussi préconiser aux femmes de ne porter que des robes ou jupes et obliger tout homme à se vêtir d’un pantalon, car tout monde sait bien qu’il est plus facile de courir jupe relevée que pantalon baissé. Il n’y a pas à dire, mais avec de tels élus, les agresseurs ont de beaux jours devant eux.

  8. Puisque chacun(e) peut à sa guise choisir son sexe ou son genre, les hommes biologiques, pour peu qu’ils se sentent non binaires pourraient se garer où ils veulent ?

  9. Après le piscines pour femmes de Lille, les parkings de Metz, va falloir penser aux coiffeurs il y en a des mixtes…

  10. Il devrait y avoir un prix des décisions politiques les plus absurdes, des champions de « ne pas nommer le problème ». Les femmes sont violées par des nuisibles qui se moquent bien de la largeur du trottoir ou de la musique du parking. Ils trouveront toujours une femme à violer, celle là ou une autre. Sans mesure fortes d’éloignement, d’enfermement, ces mesurettes sont juste ridicules.

  11. Questionné récemment par une association familiale messine à propos du financement de la construction de la grande mosquée de Metz, monsieur Grosdidier les a renvoyés dans leurs pénates en les traitant d’islamophobes. Ça donne une bonne idée du bonhomme.

  12. Prochaine étapes apprendre aux femmes à courir plus vite. Par contre mettre en prison les violeurs multi-récidivistes ça c’est plus compliqué. C’est l’Oscar du n’importe quoi !

  13. La proposition de diffusion de musique classique peut faire sourire, pourtant elle a fait ses preuves. A Copenhague une des deux sorties latérales était squattée par des punks à chiens qui harcelaient les passagers. La direction de la gare a décidé de diffuser 24 heures sur 24 du Vivaldi et du Mozart. Effet garanti, l3s punks ont disparu et les passagers peuvent tranquillement emprunter cette sortie sans être asticotés et taxés par les junkies.

  14. La sécurité individuelle est le produit d’un ratio entre le niveau de la menace et celui des mesures de protection.
    Force est de constater que nos élus hémiplégiques ne songent qu’à hausser le niveau de protection, jamais à faire baisser celui de la menace.
    Au lieu de réduire la liberté des femmes en limitant leur choix des places de stationnement, (bon courage pour faire respecter cette répartition), ne serait-il pas plus judicieux de s’attaquer à la menace.
    Le maire de Metz ne dit pas où pourront stationner les femmes trans et autres non-binaires…

    • enfin une réponse sensée , toutes les autres ne sont qu’emplâtre sur une jambe de bois , pour finir par nous enfermer dans un ghetto sécuritaire , laissant l ‘espace public aux malfrats et autres violeurs

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