Moi Tanguy, adepte du pacte de l’ONU sur l’immigration
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La Macronie vous fait la leçon à vous, les beaufs, les fachos, ceux qui ne sont rien, ceux qui ne pensent pas comme on pense à l’ENA, Sciences Po ou à la banque Rothschild, comme on doit penser… La Macronie a raison de vous faire honte de ne pas vouloir d’une société qui considère la migration comme un art majeur, un mode de vie, un ultima ratio.
Moi, je n’ai pas fait Sciences Po, mais je suis né dans le 16e et j’ai toujours pensé que le vivre ensemble et le partage avec les immigrés sont des valeurs morales fondamentales…
Mais je n’ai pas connu la réussite sociale et financière dans mon pays d’origine pour certains motifs que je préfère ne pas étaler ici, et j’aime voir du pays.
Alors, quand j’ai entendu parler du pacte migratoire, j’ai décidé de « migrer » au soleil, dans un pays où j’étais sûr que mes compétences ne manqueraient pas d’être reconnues.
Ignorant l’appel de mes convictions écologistes, j’ai investi quelques billets empruntés à mes parents dans cette place d’avion qui, à grand renfort de kérosène mortifère pour la planète, m’a conduit vers ce pays d’Afrique qui, au nom de la doctrine du pacte immigrationniste, était censé m’accueillir par des transports de joie et subvenir grassement à mes besoins en attendant qu’on m’y offre le travail lucratif de mes rêves.
Oh, déception ! Les autorités locales, lorsqu’elles ont su que je ne possédais aucune des rares qualifications professionnelles qu’elles souhaitaient importer, lorsqu’elles se sont rendu compte que je ne parlais pas la langue du pays et que ma seule richesse consistait en un téléphone portable piqué à mon père avant mon départ, m’ont fait savoir sans ménagement :
- que je n’étais pas le bienvenu chez eux ;
- qu’il était hors de question de m’accorder le moindre subside ;
- que le traité sur l’immigration cher à la Macronie, était fait en faveur des bons à rien comme moi, mais qu’eux n’étaient ni assez riches ni assez stupides pour l’avoir signé ;
- que j’avais 48 heures pour sortir du pays, et que si je m’y trouvais encore passé ce délai, je serais emprisonné pour une période minimum d’un an et astreint aux travaux forcés pour payer mes « frais de séjour ».
Le militaire qui m’a précisé tout ça n’avait vraiment pas l’air d’un rigolo, aussi, toute honte bue, je me suis rué vers la frontière la plus proche et me suis fait envoyer le prix de mon billet de retour au kérosène anti-écolo par ma maman. Vive Western Union !
De retour dans mon 16e arrondissement natal, j’ai rencontré un Black, natif du pays qui m’avait jeté comme un malpropre, et lui ai raconté mon aventure…
Il m’a traité de raciste, moi, un défenseur de la cause de la diversité et du vivre ensemble !
Je lui ai demandé pourquoi il me traitait de raciste, et il m’a répondu : « Il faut que tu sois un vrai raciste pour croire que les Africains sont assez cons pour accueillir chez eux un Blanc sans le sou, sans diplôme et sans compétences, d’une religion et d’une civilisation différentes et pour partager avec lui le peu qu’ils ont !"
Du coup, j’ai réfléchi, c’est dur, mais j’ai longuement réfléchi, et je suis allé présenter ma candidature chez les Identitaires… Ils m’ont ri au nez en me déclarant qu’ils ne recrutaient pas n'importe qui.
Alors, je suis retourné chez ma maman, mais je ne sais pas pourquoi, depuis quelque temps, mes parents m’ont baptisé « Tanguy » !
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