Mort du petit Émile : ses grands-parents placés en garde à vue

L’affaire de la disparition d’Émile Soleil, qui avait bouleversé la France en 2023, connaît un rebondissement majeur, ce 25 mars 2025, avec la mise en garde à vue de ses grands-parents et de deux autres membres de la famille, accusés d’homicide volontaire et de recel de cadavre. Une perquisition a eu lieu au domicile des grands-parents du petit Émile. Cette information a été confirmée par le procureur Jean-Luc Blanchon.
Le 8 juillet 2023, l’enfant de deux ans et demi avait disparu alors qu’il venait passer les vacances d’été chez ses grands-parents, dans le hameau isolé du Haut-Vernet, situé dans les Alpes-de-Haute-Provence. Un crâne et des dents d’Émile ont été retrouvés en mars 2024, à 1,7 km de la maison familiale, relançant l’enquête. Les enquêteurs ont également saisi une jardinière près de la chapelle du hameau, en mars 2025. Ces gardes à vue font suite à des vérifications menées sur les éléments collectés lors des mois d’investigation. Le procureur a précisé que des opérations criminalistiques se déroulaient dans divers lieux.
Dix-neuf mois après la disparition d’Émile, des obsèques publiques ont eu lieu en février 2025. À cette occasion, les grands-parents avaient publié un communiqué, réclamant la vérité.
Une nouvelle communication officielle devrait suivre, une fois les vérifications terminées.
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2 commentaires
Des informations particulièrement horribles affluent aujourd’hui. On apprend surtout que le prêtre qui a baptisé Émile, le Père Claude Gilliot, s’est suicidé le 15 mars après avoir subi des insultes du grand-père Vedovini, placé en garde à vue ce matin. Depuis cet été, le père Gilliot avait été écarté de la chapelle, où il officiait depuis plus de vingt ans, à la demande du grand-père d’Émile, qui ne lui pardonnait pas d’avoir révélé une photo du petit garçon, enfant chéri des fidèles. Le grand-père, qui dirigeait la chorale chaque dimanche, aurait menacé le recteur de la chapelle de ne plus chanter à l’église tant que le père Gilliot y officierait. La mort du prêtre avait été annoncée, mais sans autre précision. La presse nous apprend qu’il a laissé une lettre d’adieu à sa sœur, laquelle a affirmé dans Paris Match que son frère avait été meurtri et désespéré par cette éviction. Nos pensées vont surtout vers le père Gilliot, un éminent universitaire, islamologue et arabophone d’une immense culture, si injustement puni et banni.
Il était prêtre ou imam ? Avec Paris Match, méfiance ! Une bonne occasion de taper sur les catholiques tradis avant de les interdire.
Le pape pro migrants, réchauffiste, islamophile est tellement plus fréquentable pour les mondialistes.