Mulhouse : un homme abattu en pleine rue près du tribunal

Brève breve

Un homme de 34 ans a été abattu à Mulhouse, ce mardi après-midi, alors qu'il se trouvait près du tribunal judiciaire. Il a été touché dans le dos. Un autre homme a été blessé par les tirs, il est en urgence absolue, rapporte France Bleu.

Plusieurs coups de feu ont été tirés

Les faits se sont déroulés vers 15h50, sur l'avenue Robert-Schuman. Les assaillants étaient à bord d'une voiture. Ils ont percuté le scooter des victimes avant d'ouvrir le feu avec une arme de poing de petit calibre. Plusieurs coups de feu ont été tirés. Les secours, rapidement alertés, n'ont pas pu réanimer la victime, qui a été déclarée morte sur place.

Un homme interpellé, d'autres suspects en fuite

Un homme, âgé lui aussi de 34 ans, a été interpellé, mais au moins deux autres suspects sont toujours en fuite, selon Actu17. Une arme a également été retrouvée sur place.

La piste menant à un règlement de comptes est privilégiée par les policiers, à ce stade.

Vos commentaires

14 commentaires

  1. Les Juges remettent les racailles en liberté sous prétexte que, comme eux, elles ont des problèmes psychiatriques. Envoyons tout ce beau monde finir ses jours aux îles Kerguelen.

  2. Il suffit d’avoir traversé cette ville et sa population pour comprendre immédiatement que les clans et les tribus doivent y régner dans l’ignorance et le mépris de la civilisation occidentale.

  3. Un homme a été abattu à Mulhouse, alors qu’il se trouvait près du tribunal judiciaire. Il a été touché dans le dos. Pas de nom… serait-ce un juge ?

  4. Bien entendu, il est là encore inutile de demander noms et prénoms des « victimes ». Pas plus d’ailleurs que l’activité de ces mêmes victimes.

  5. De toute évidence, quand on veut régler ses comptes, on sait où sont ses ennemis: il suffit de se poster tout armé près du Palais de justice. Fantastique.

  6. Tribunal judiciaire ? Comme la France manque de magistrats, par extension la justice est rendue dans la rue. Elle au moins, est efficace.

    • Dans ce cas, rétablissons la peine de mort, avec un procès, des avocats, des jurés et des recours. C’est comme ça que cela devrait se passer dans un pays dit civilisé. De plus, on n’a jamais vu de victimes collatérales au cours d’une exécution capitale. Nos bourreaux étaient des professionnels et travaillaient consciencieusement. Ce qui se déroule sous nos yeux, ce n’est pas la justice, ce sont des assassinats perpétrés en pleine, en toute impunité, parfois devant des enfants. Notre pays connait un destin tragique depuis qu’il a emprunté cette voie tracée par la gauche et la bien-pensance.

  7. Pour une fois examinons la chose avec optimisme, cela va désengorger le tribunal. Le mauvais côté de la chose, c’est que pour le Français moyen, sortir dans la rue devient une gageure.

  8. Inutile de préciser les origines, ni les prénoms, encore moins les CV (casiers judiciaires) des victimes et coupables présumés, nous avons compris.

  9. Règlement de compte à une heure de grand passage . Si ces voyous avaient tué , une fois de plus , un innocent nos élus leur trouveraient encore des excuses . On n’est pas « au pays  » ici on ne règle pas ses différents dans la rue mettant en danger des innocents . Ces populations n’ont pas leur place sur notre sol , ils reproduisent ce pour quoi ils ont , soi disant , fui leurs pays mais continuent de vivre comme chez eux . Stop .

    • Simple fait divers vous répondront la presse de gauche et les bien-pensants. Si des Français sont tués c’est qu’ils étaient (dans leur pays) au mauvais endroit au mauvais moment. S’ils sont mécontents, c’est qu’ils sont racistes et d’extrême droite, ils n’ont qu’à changer de pays et laisser la place aux nouveaux arrivants. Deux exemples, pour illustrer mon propos. L’évasion de mohamed amra, lors de laquelle deux agents pénitentiaires ont été massacrés, trois autres blessés gravement, il y a 3 mois de cela. La colère des agents pénitentiaires a été calmée avec quelques vagues promesses, vite oubliées. Aujourd’hui le coupable, dit « la mouche » court (ou vole) toujours et on n’en parle plus guère. L’autre exemple, c’est ce qui se passe en Grande Bretagne. La protestation de la population britannique de souche devant le carnage de trois fillettes au couteau par un ressortissant rwandais. Les manifestants sont qualifiés d’extrême droite, ils se font tabasser par la police et on libère des prisonniers de droit commun (des criminels) pour incarcérer à leur place des Anglais qui manifestent leur colère devant le massacre de leurs enfants par une population allogène. Cette colère est donc jugée illégitime et d’extrême droite, tandis l’assassinat de trois gamines, lui, est jugé normal. Les Anglais qui ont voté le Brexit doivent commencer à se poser quelques questions. Cela vous donnera une idée des priorités de nos dirigeants. Nous pouvons nous faire massacrer jusqu’au dernier, ils ne lèveront pas le petit doigt que y changer quoi que ce soit. Rien ne doit entraver le projet immigrationniste, pas même le massacre des populations autochtones.

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