Notre-Dame de Paris : des étudiants contre l’UNEF
2 minutes de lecture
À la suite de l'incendie de Notre-Dame de Paris, des cadres du syndicat étudiant UNEF ont tenu des propos racistes et injurieux sur les réseaux sociaux.
Des étudiants de la Cocarde ont manifesté leur indignation devant le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, réclamant la dissolution de l'UNEF. Boulevard Voltaire les a rencontrés.
https://www.youtube.com/watch?v=2sn9BabOZ6A&feature=youtu.be
Je m’appelle Étienne Pérardel. Je suis responsable de la Cocarde étudiante à l’université Paris II Panthéon-Assas.
Un incendie a eu lieu à Notre Dame de Paris. Nous étions tous choqués de cet événement dramatique. L’UNEF a élevé la voix et nous a montré qu’elle n’en avait rien à faire de cette civilisation. Elle nous a traités de « petits blonds » en nous assimilant à des nazillons. Nous sommes donc là pour marquer un coup et montrer que l’UNEF n’est pas une association qui défend des étudiants, mais qui est juste une association anti-France.
Deux cadres de l’UNEF représentent-ils l’UNEF tout entière ?
Nous sommes étudiants et sur le terrain. Je vous assure que, lors de différents tractages et différentes actions, nous avons pu rencontrer les gens de l’UNEF. Leur discours est le même. Nous avons longuement débattu avec eux. Il est arrivé qu’ils nous sortent les mêmes propos que ceux tenus sur Twitter. Nous condamnons fermement les propos qu’ils ont pu tenir à notre encontre et à l’encontre de la civilisation française.
Quelles décisions attendez-vous du ministre vis-à-vis de l’UNEF ?
Nous attendons la plus grande fermeté. Cela fait beaucoup trop longtemps que cela dure. Avant, c’était le racisme anti-Blanc et maintenant, c’est devenu la remise en cause de notre civilisation.
Nous voulons une action ferme, le gel total des subventions à leur encontre et une dissolution totale de l’UNEF.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées
BVoltaire.fr vous offre la possibilité de réagir à ses articles (excepté les brèves) sur une période de 5 jours. Toutefois, nous vous demandons de respecter certaines règles :