Nuit d’émeute à Brest : un tram attaqué au mortier et un policier blessé

Une émeute a éclaté à Brest (Finistère), dans la nuit du 10 au 11 avril. Peu après 22 heures, un groupe s’en est d’abord pris à des policiers en patrouille dans le quartier de Pontanézen. Un peu plus tard, un tramway a été bloqué par des pierres posées sur les rails, contraignant la police à intervenir. De nombreux tirs de mortier et jets de pierres se sont alors abattus sur le tram et les forces de l’ordre. Face à une trentaine d’émeutiers cagoulés, les policiers ont répliqué avec un contre-feu de grenades lacrymogènes, avant d’escorter le tram en marche arrière pour le mettre à l’abri à son terminus. Le trafic des bus et trams a été interrompu jusqu'au matin. Un policier a été blessé lors des faits. Une entorse au genou lui a valu 21 jours d’arrêt de travail. La police a indiqué que ces violences seraient le fait de narcotrafiquants et feraient suite à des opérations de harcèlement de points de vente de drogue dans le quartier. Des renforts de CRS étaient attendus sur place pour la soirée du 11 avril.
#infobibus
Trafic Tramway et Bus interrompu
❌Trafic Tramway et bus interrompu jusqu'à fin de service— Bibus (@BibusBrest) April 10, 2025
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37 commentaires
Chronique ordinaire d’une soirée bretonne en 2025, mais puisque l’on vous dit que le danger vient à la fois de Moscou et de Washington ,pourquoi s’arrêter à un simple fait divers?
Bientôt ce sera Brest-Port-au-Prince.
ancien marin des annees 70 brest la nuit c etait bamboche sans tabous baux souvenirs et cornet de frites en rentrant a la penfeld sans sousis
Les bretons , il faudrait ne leur fournir qu’un bulletin de vote pour être sur qu’ils aient bien voté .
La drogue oui, mais elle a bon dos. Ne serait-ce pas plutôt que les forces obscures s’entraînent, testent notre faiblesse, nous intimident, font entrer la peur en nous, avant l’émeute finale à la kalachnikov ?
Nos chefs qui nous gouvernent ne sentent-ils pas l’évènement arriver ? Sont-ils aveugles à ce point, préférant aller guerroyer dans des guerres inutiles et absurdes en Ukraine ?
Nos chefs? Ils s’en foutent, ils savent qu’ils ne risquent rien.
Ce sera comme d’habitude: un pavé dans la mare, un gros plouf, quelques éclaboussures, des ronds dans l’eau puis le calme revient comme s’il n’y avait rien eu.
« Ponta. tu n’y vas pas » Ce quartier est connu…