Onfray, Naulleau, Bergeaud-Blacker : à Perpignan, la droite célèbre la liberté d’expression
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C’est à Perpignan, deux jours après le grand meeting de Jordan Bardella, que l’essayiste Éric Naulleau a donné le top départ du premier Printemps de la liberté d’expression, ces 3, 4 et 5 mai : « Wokisme, obscurantisme, pensée unique, censure : la liberté d’expression est aujourd’hui menacée dans toutes ses expressions. » Sur ce thème se sont réunis penseurs, essayistes et politiques pour faire l’état des lieux de la liberté d’expression en France. Un arbre, symbole de cette liberté, a été planté près du palais des congrès pour marquer l'événement, le premier d’une longue série. Une bonne humeur générale troublée par des militants d’extrême gauche venus perturber violemment les interventions d’Éric Naulleau et de Michel Onfray, invité spécial de ce lancement... Reportage.
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A l’époque d ‘ONPC ( de Ruquier ), Zemmour était le « méchant » de droite , et Naulleau, le gentil de gauche… Onfray ne se disait pas « de droite ». Puis, avec les éléments de langage repoussoirs avec lesquels on stigmatise à tout va : « droite », « extrême droite » etc voilà que des gens qui ne se donnent pas d’étiquette sont « situés » _sic à l’extrême droite ! A force, cela ne veut plus dire grand’chose. Vouloir sauver ce qui mérite de l’être, ne pas être déconstruit, foulé au pied, est maintenant dit : d’extrême droite… A ce titre, cela ne fait plus peur à personne !
Ces anti- quelque chose ( ils ne savent pas vraiment quoi : alors les éléments de langage leur font dire extrême droite etc ) sont peu ou prou encouragés par le laxisme à leur égard.
Facho par ci, facho par là, ce titre tellement galvaudé va, à force d’abus, devenir un titre honorifique.
Il est très symptomatique que ceux qui réclament la liberté d’expression soient traités de fachos. Ces « brailleurs » qui ne savent qu’ostraciser ceux qui ne pensent pas comme eux ont ils seulement conscience de leur inculture crasse?
Ces « braves » filles ont bénéficié de la liberté d’expression. Elles ont gâché leur temps, Elles n’ont rien à dire, qu’a brailler.
les anti-fascistes d’hier sont les fascistes d’aujourd’hui. Attention, ils sont peu mais ils gueulent pour 100.