Ouverture des JO : à la création, une gauche bobo subventionnée
Depuis quarante-huit heures, les organisateurs et concepteurs de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris se confondent en explications. Aux origines de ce show aux accents woke, des artistes et personnalités aux parcours différents mais qui cochent toutes les cases de la caste artistique parisienne, biberonnée à l'argent public.
Thomas Jolly, le metteur en scène adulé par la gauche
« Vous ne trouvez jamais chez moi ou dans mon travail une quelconque volonté de moquerie ou de dénigrer qui que ce soit. J'ai voulu faire une cérémonie qui répare, qui réconcilie. » Sur le plateau de BFM TV, Thomas Jolly, le metteur en scène de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris, est revenu sur les critiques qui pèsent sur son spectacle. Petit rictus au coin des lèvres, l’homme de théâtre ne semble guère prendre au sérieux les accusations de blasphème et les remarques sur la vulgarité de certains tableaux de la parade. Inconnu du grand public, Thomas Jolly est, en revanche, le « chouchou » du gratin artistique parisien. Déjà trois Molière à son actif, à seulement 42 ans !
Originaire de Normandie, il se fait remarquer dès le milieu des années 2010 à Avignon, temple des artistes de gauche. En 2014, il réalise ainsi la prouesse de monter l’intégralité de la trilogie Henri VI de Shakespeare sur les célèbres planches de la cité des papes. Au total, 18 heures de représentation ! Le petit prodige de la mise en scène, adoubé par Télérama et Têtu, continue d’exercer son art dans les théâtres nationaux, aux quatre coins du pays. On lui doit, notamment, une mise en scène de l’opéra Roméo et Juliette de Charles Gounod, dans laquelle il ne peut s’empêcher d’inclure le waacking, une danse pratiquée dans les clubs homosexuels américains dans les années 1970, ainsi qu’un baiser entre le héros éponyme et son ami Mercutio. Celui à qui on doit également la mise en scène de Starmania prend peu la parole sur la vie politique mais prévoyait tout de même de transformer la cérémonie d’ouverture en « cérémonie de résistance », en cas de victoire du Rassemblement national aux élections législatives. Une prise de position qui fait écho à un tweet de 2015 dans lequel Thomas Jolly s’inquiétait du score du parti de Marine Le Pen aux élections régionales.
La gauche artiste bobo
Mais Thomas Jolly, chef d’orchestre de cette cérémonie d’ouverture, n’était pas seul, loin de là, à concevoir ce spectacle. À ses côtés, pour la mise en récit du show, on trouve notamment Patrick Boucheron, historien controversé qui entendait faire de cette cérémonie « l’inverse » du Puy du Fou, comme nous le précisions dans l'article en lien. Connu pour son ouvrage L’Histoire mondiale de la France, ce soutien du Nouveau Front populaire voulait « le contraire d’une histoire virile, héroïsée et providentielle ». Il avait notamment attaqué la cérémonie d'ouverture des JO de Pékin : « C’est exactement tout ce que nous ne voulions pas faire : une leçon d’Histoire adressée au monde depuis le pays d’accueil, une ode à la grandeur et une manifestation de force. »
À ses côtés, Damien Gabriac, homme de théâtre, Fanny Herrero, scénariste de Dix pour cent et également Leïla Slimani, prix Goncourt 2016. Franco-marocaine, cet écrivain, à l’inverse de Thomas Jolly, prend régulièrement la parole dans le débat public. Chanteuse voilée, sexualité au Maroc, immigration en France… l’auteur d’une Chanson douce multiplie les prises de position, toutes dans le même sens. En décembre 2023, elle signait une tribune dans Le Monde contre la loi Immigration. Lors de l’élaboration du spectacle, elle insistait ainsi pour « ne pas oublier [ni] l’immigration », [ni] le féminisme. Après son prix Goncourt, elle a par ailleurs été nommée par Emmanuel Macron au Conseil permanent de l’Organisation internationale de la francophonie.
Reste enfin, aux costumes, Daphné Bürki. Animatrice de télévision, elle officie désormais sur le service public (Culturebox), où elle présente notamment l’émission Drag Race France, censée sélectionner la prochaine « grande reine du drag français ». Une émission qui explique sûrement son enthousiasme, ce 26 juillet, pour présenter le défilé de drag-queens sur la passerelle Debilly. Daphné Bürki est également à l’origine de nombreuses prises de position publiques, notamment contre l’expulsion de migrants, le Rassemblement national ou encore l’arrivée de Geoffroy Lejeune à la tête du Journal du dimanche.
Clémence de Longraye
Journaliste à BV
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43 commentaires
Dans le cyclisme c’est celui qui a la meilleure seringue qui gagne, dans le milieu artistique c’est celui qui a les meilleures relations à gauche qui gagne, c’est aussi convainquant l’un que l’autre.
Il devrait se cacher ce type au lieu de rire de ses stupidités
Pas bien « jolly » le spectacle, bradé par quelques scènes du plus pur mauvais goût. Pour une image de la France on a fait mieux, pour une image de la France que voudraient certains on peut difficilement faire mieux.
Quelle équipe !
Dans la séquence dite de la scène) à petite fille présente au premier rang l’était avec l’autorisation des parents (étaient ils présents et consentant ?)
j’aimerais savoir depuis quand et qui sont subventionnés chez ces artistes et autres, et combien coutent-ils à la France dans une année, avec nos impôts !
Cette cérémonie a été de bout en bout une Gay Pride. Ni plus ni moins.
Agrémentée par des contorsionnistes, vulgarité et laideur, même celle des costumes…ils ont ajouté un défilé de mode ridicule ( censé montrer la haute couture francaise ?)
Ils ont réussi ! Ils ont montré au monde entier ce qu’est devenue la France sous macron….une France dépravée…
« Déjà trois Molière à son actif » Et par trois fois le grand Molière a dû se retourner dans sa tombe.
Ça, des intellectuels, des artistes, tous des escrocs, des médiocres qui nous coûtent un pognon de dingue
Sans oublier tous ces chanteurs, talentueux ou non, nous ont présenté une facture salée ! Quant à La canadienne qui a chanté une chanson d’E. Piaf et non de son cru, s’en est retournée dans son pays après sa prestation , facture payée rubis sur ongle ! Tous ces gens m’écœurent !
Ne nous y trompons pas, cette bouse de spectacle est aussi un crachat au visage des français qui ont mal voté par trois fois. Les enfants décadents de la bourgeoisie administrativo-affairiste ont fait passer le message au monde, : » pas de panique, ils peuvent voter comme ils veulent, on a leur l’argent et les médias, donc on a le pouvoir. » Le changement de psyché du peuple français à la shlague médiatique .
Daphné Burki est un cas
Toutes ses émissions sont des bides ,mais elle se recase inlassablement, d’une chaine à l’autre
l ‘anti France est un formidable sésame!
Paris , tumeur maligne de la France , et pour une fois l’origine est bien plus ancienne que la République , voir la Cour à Versailles : les gueux pressurés pour gaver d’argent public une armée d’oisifs , d’inutiles , de médiocres , de nuisibles .
L’entre-soi parigot-bobo subventionné par nos impôts. C’est sûr, la cérémonie va rassembler… l’argent du contribuable français qui va devoir payer la facture monumentale de cette cérémonie encensée par le microcosme gauchiste. Le pire dans tout ça? Ces pseudo-artistes qui se disent subversifs et qui, à la première critique, renient leurs « prises de position artistiques » choquantes. C’est qu’on a le courage de ses convictions à gauche…
Tous subventionnés par l’impôt des français , ce qui est déjà inadmissible . Faire l’inverse » du puy du fou » ça c’est fait , impossible de faire pire et plus moche qu’eux ils ont brillé dans la laideur et la décadence , tout le contraire du puy . Mais qui a donc pu valider de telles horreurs , les vrais coupables sont bien ceux là , ceux qui ont autorisé la diffusion de ce spectacle , ceux qui ont accepté que ces soi disants artistes soient rémunérés pour offenser les chrétions du monde entier , ceux qui n’ont pas eu l’intelligence de protéger les enfants face à de telles horreurs . Coupables d’avoir offensés tant de gens , coupables d’avoir donné cette image horrible qui ne représente ni la France , ni les français . Honte à eux et nous voulons leurs noms .
Des personnages du spectacle sans intérêt.
De l’entre soi parisien
Oui mais ce sont eux qui détiennent tous les leviers du pouvoir et le bourrage de crâne bien-pensant qu’ils assènent de façon continue 7/7 jours, 24/24 heures, est en train de ronger tous les cerveaux français et européens.