Alain Finkielkraut
« On ne peut jouer éternellement la carte de la peste brune. »
Pour Éric Piolle, il est bien naturel que certains citoyens « de seconde classe » se rebellent !
Combien de temps LFI restera-t-elle le petit frisson bourgeois qui permet aux CSP++ de s’encanailler aux côtés des islamistes radicaux, des zadistes et des revendicailleurs de tout poil ?
Il faut écouter les philosophes, parfois. Invité le 26 juin sur Europe 1, le philosophe Alain Finkielkraut répondait à Mathieu Bock-Côté.
Alain Finkielkraut était l’invité de CNews, face à Mathieu Bock-Côté, le 30 avril. À cette occasion, le philosophe a constaté que « La France insoumise
La nostalgie n’est pas une « passion triste », comme le professe notre Président, comme un petit Freud de banque privée.
J’éprouve une forme de nausée face à certains propos de Daniel Cohn-Bendit en 1975 et le 23 avril 1982 lors de l’émission « Apostrophes »…
Comme les Sleeping Giants, il est le bras armé numérique de la gauche morale, mais dans un autre registre. Comme son nom l’indique, il « balance ».
Il y a dans ces deux réactions successives toutes les marques de notre époque.
Notre gouvernement est décidément formidable. Ou fort minable, comme dirait la chanson, c’est selon.
L’idée que la nationalité française est purement juridique leur permet de pratiquer « une résistance culturelle à l’intégration », de s’approprier un pays qu’elles veulent « traiter » selon leur fantaisie.
Et là, la boulette, l’erreur tragique consistant à faire de l’humour avec une féministe…
Pourquoi, alors que la gauche l’a déçu, Alain Finkielkraut ne dit-il pas tout simplement qu’il est devenu de droite ?
C’est un fait que tous les terroristes se réclament de l’islam et qu’il existe un lien, actuellement, entre immigration, islam et terrorisme.
Les épisodes honteux dont Alain Finkielkraut a été victime et qui m’ont indigné – je n’étais pas le seul – rendent difficile un regard critique sur lui, ses propos et ses analyses.
Si des milliers de Français ont balancé les bras devant leurs écrans pour fêter la « victoire de l’égalité » des joueuses de foot, on espère qu’ils vont « se bouger » pour défendre l’égalité de tous les enfants devant leur naissance.
L’ultra-gauche, à la faveur des réseaux sociaux, se déplace en meute à chaque fois que la conférence d’un intervenant étiqueté d’extrême droite, réac ou bien simplement conservateur est annoncée.
Dans la foulée, un cimetière juif se trouve profané à coups de svastikas : les années trente se rappellent ainsi fort opportunément au bon souvenir d’un Macron en précampagne européenne.
Qu’Alain Finkielkraut se rassure : il ne risque pas – pas encore ? – de croiser Marlène Schiappa sous l’habit vert.
L’instrumentalisation de l’Histoire à des fins politiciennes est source d’indignation autant que d’inquiétude…
Fils d’un Algérien et d’une Française, ce gilet jaune de la première heure, portant volontiers la barbe, avait été actif au sein de l’Association des Palestiniens de France basée à Mulhouse.
Rien ne serait plus accablant pour la démocratie – réflexe bête – que de constituer l’antisionisme comme un délit alors qu’il n’est pas TOUJOURS un antisémitisme.
L’antisionisme, c’est avant tout la détestation d’Israël, et ce sentiment, qui est clairement de gauche, est puissant chez les musulmans, immigrés ou convertis.
Pourquoi, dans un cas, livrer à la vindicte populaire un homme, certes coupable, mais père de famille et parfaitement intégré, et, dans l’autre, vouloir protéger un individu dont la radicalisation semblait en bonne voie ?
Sur l’affaire Alain Finkielkraut, tout ce qu’il y avait de censé à dire l’a été sur ce site. Mais le « mieux-disant » revient pourtant au principal intéressé.
A-t-on assez reproché à ces pauvres stratèges militaires de l’entre-deux-guerres d’avoir gardé les yeux sur la ligne Maginot dont ils étaient si fiers sans anticiper le Blitzkrieg.
Les gilets jaunes, mais le pouvoir plus encore, devraient écouter davantage et Alain Finkielkraut et Pierre Perret.
« Monsieur Finkielkraut, la seule haine que j’entends est malheureusement celle que vous déversez, contre une France que vous ne comprendrez décidément jamais. »
« On ne peut jouer éternellement la carte de la peste brune. »
Pour Éric Piolle, il est bien naturel que certains citoyens « de seconde classe » se rebellent !
Combien de temps LFI restera-t-elle le petit frisson bourgeois qui permet aux CSP++ de s’encanailler aux côtés des islamistes radicaux, des zadistes et des revendicailleurs de tout poil ?
Il faut écouter les philosophes, parfois. Invité le 26 juin sur Europe 1, le philosophe Alain Finkielkraut répondait à Mathieu Bock-Côté.
Alain Finkielkraut était l’invité de CNews, face à Mathieu Bock-Côté, le 30 avril. À cette occasion, le philosophe a constaté que « La France insoumise
La nostalgie n’est pas une « passion triste », comme le professe notre Président, comme un petit Freud de banque privée.
J’éprouve une forme de nausée face à certains propos de Daniel Cohn-Bendit en 1975 et le 23 avril 1982 lors de l’émission « Apostrophes »…
Comme les Sleeping Giants, il est le bras armé numérique de la gauche morale, mais dans un autre registre. Comme son nom l’indique, il « balance ».
Il y a dans ces deux réactions successives toutes les marques de notre époque.
Notre gouvernement est décidément formidable. Ou fort minable, comme dirait la chanson, c’est selon.
L’idée que la nationalité française est purement juridique leur permet de pratiquer « une résistance culturelle à l’intégration », de s’approprier un pays qu’elles veulent « traiter » selon leur fantaisie.
Et là, la boulette, l’erreur tragique consistant à faire de l’humour avec une féministe…
Pourquoi, alors que la gauche l’a déçu, Alain Finkielkraut ne dit-il pas tout simplement qu’il est devenu de droite ?
C’est un fait que tous les terroristes se réclament de l’islam et qu’il existe un lien, actuellement, entre immigration, islam et terrorisme.
Les épisodes honteux dont Alain Finkielkraut a été victime et qui m’ont indigné – je n’étais pas le seul – rendent difficile un regard critique sur lui, ses propos et ses analyses.
Si des milliers de Français ont balancé les bras devant leurs écrans pour fêter la « victoire de l’égalité » des joueuses de foot, on espère qu’ils vont « se bouger » pour défendre l’égalité de tous les enfants devant leur naissance.
L’ultra-gauche, à la faveur des réseaux sociaux, se déplace en meute à chaque fois que la conférence d’un intervenant étiqueté d’extrême droite, réac ou bien simplement conservateur est annoncée.
Dans la foulée, un cimetière juif se trouve profané à coups de svastikas : les années trente se rappellent ainsi fort opportunément au bon souvenir d’un Macron en précampagne européenne.
Qu’Alain Finkielkraut se rassure : il ne risque pas – pas encore ? – de croiser Marlène Schiappa sous l’habit vert.
L’instrumentalisation de l’Histoire à des fins politiciennes est source d’indignation autant que d’inquiétude…
Fils d’un Algérien et d’une Française, ce gilet jaune de la première heure, portant volontiers la barbe, avait été actif au sein de l’Association des Palestiniens de France basée à Mulhouse.
Rien ne serait plus accablant pour la démocratie – réflexe bête – que de constituer l’antisionisme comme un délit alors qu’il n’est pas TOUJOURS un antisémitisme.
L’antisionisme, c’est avant tout la détestation d’Israël, et ce sentiment, qui est clairement de gauche, est puissant chez les musulmans, immigrés ou convertis.
Pourquoi, dans un cas, livrer à la vindicte populaire un homme, certes coupable, mais père de famille et parfaitement intégré, et, dans l’autre, vouloir protéger un individu dont la radicalisation semblait en bonne voie ?
Sur l’affaire Alain Finkielkraut, tout ce qu’il y avait de censé à dire l’a été sur ce site. Mais le « mieux-disant » revient pourtant au principal intéressé.
A-t-on assez reproché à ces pauvres stratèges militaires de l’entre-deux-guerres d’avoir gardé les yeux sur la ligne Maginot dont ils étaient si fiers sans anticiper le Blitzkrieg.
Les gilets jaunes, mais le pouvoir plus encore, devraient écouter davantage et Alain Finkielkraut et Pierre Perret.
« Monsieur Finkielkraut, la seule haine que j’entends est malheureusement celle que vous déversez, contre une France que vous ne comprendrez décidément jamais. »
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