Aurore Bergé
Retrouvez, chaque vendredi, les perles politiques de la semaine.
Le prêtre, très suivi sur les réseaux sociaux se défendait en estimant ne faire « qu’exprimer la doctrine catholique ».
Aurore Bergé est dans la continuité de la vision sociétale de la Macronie : de moins en moins de choix pour les familles
Il faudra donc qu’elle apprenne ce qu’est la solidarité gouvernementale.
Et dans ce poker plus ou moins menteur, il ne manquait plus qu’Aurore Bergé, qui vient de lancer un contre-feu plutôt malin.
Aurore Bergé a-t-elle bien pesé chaque mot de sa très guerrière intervention ?
Vendredi, la Cour suprême des États-Unis d’Amérique a annulé le fameux arrêt Roe v. Wade, datant de 1973, qui jugeait le droit à l’avortement conforme à la Constitution américaine. Un véritable séisme aux États-Unis.
Cette initiative répond à la décision prise, vendredi, par la Cour suprême américaine de révoquer le droit à l’avortement au niveau fédéral.
Elle succède à Christophe Castaner qui a échoué dans les urnes le 19 juin dernier.
Après le « quoi qu’il en coûte » est venu le temps du « quoi qu’il fasse ». Aucune annonce insensée, aucune aberration ne semble en mesure de réveiller l’électeur assoupi.
La voix de ses maîtres, parmi tant d’autres glapissements, ira chercher le détail qui fera tomber Zemmour.
Il y a des artistes inspirés. Il y en a d’autres qui sont inspirants…
Reste dans tout cela un dilemme : comment reconnaître un artiste d’un islamiste ?
Décidément, alors que l’exécutif est déjà empêtré dans sa gestion de la vaccination, ce nouvel épisode vient illustrer les contradictions et les tergiversations d’une majorité inquiète de son avenir.
La majorité présidentielle au bord d’une crise schizophrénique majeure.
Sa « maturité politique », son « autorité naturelle », c’est effectivement ce qui vient illico à l’esprit quand on évoque la stature de l’homme.
Il paraît qu’Aurore Bergé « insupporte en haut lieu ». On verra bientôt si c’est seulement en haut lieu…
En politique, la fidélité n’est que rarement récompensée. On ne le dira jamais assez.
Qu’est-ce qu’elle n’aura pas fait pour s’attirer les bonnes grâces du souverain du Macronistan !
Depuis que nous sommes « passés de l’ombre à la lumière » (cf. l’élection de François Mitterrand, le 10 mai 1981), le n’importe quoi s’est fait une place de choix.
La clef de la révolution suicidaire que nous subissons est l’individualisme roi, le narcissisme absolu, la liberté comme émancipation des caprices…
On sait que la pauvreté langagière génère la violence, car lorsqu’au volant on est traité de « c…ard », on n’a pas la ressource de répondre « mes hommages à mademoiselle votre mère ».
L’affaire Benalla est bien une affaire d’État.
Décidément, les dévots de Macron manifestent leur sectarisme dans tous les domaines. On comprend que beaucoup de Français soient sceptiques sur l’issue du « grand débat ».
Voici donc les défauts que se reconnaissent les proches du gouvernement. Cela sent l’examen de conscience impitoyable.
Pourquoi, alors, me direz-vous, des bobards aussi gros ont pu ainsi se propager comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux ?
…c’est sans doute ainsi que l’on doit désormais appeler la baisse du pouvoir d’achat, notamment pour les familles et les retraités.
La politique française nous offre, aujourd’hui, de bien jolis animaux de compagnie.
Retrouvez, chaque vendredi, les perles politiques de la semaine.
Le prêtre, très suivi sur les réseaux sociaux se défendait en estimant ne faire « qu’exprimer la doctrine catholique ».
Aurore Bergé est dans la continuité de la vision sociétale de la Macronie : de moins en moins de choix pour les familles
Il faudra donc qu’elle apprenne ce qu’est la solidarité gouvernementale.
Et dans ce poker plus ou moins menteur, il ne manquait plus qu’Aurore Bergé, qui vient de lancer un contre-feu plutôt malin.
Aurore Bergé a-t-elle bien pesé chaque mot de sa très guerrière intervention ?
Vendredi, la Cour suprême des États-Unis d’Amérique a annulé le fameux arrêt Roe v. Wade, datant de 1973, qui jugeait le droit à l’avortement conforme à la Constitution américaine. Un véritable séisme aux États-Unis.
Cette initiative répond à la décision prise, vendredi, par la Cour suprême américaine de révoquer le droit à l’avortement au niveau fédéral.
Elle succède à Christophe Castaner qui a échoué dans les urnes le 19 juin dernier.
Après le « quoi qu’il en coûte » est venu le temps du « quoi qu’il fasse ». Aucune annonce insensée, aucune aberration ne semble en mesure de réveiller l’électeur assoupi.
La voix de ses maîtres, parmi tant d’autres glapissements, ira chercher le détail qui fera tomber Zemmour.
Il y a des artistes inspirés. Il y en a d’autres qui sont inspirants…
Reste dans tout cela un dilemme : comment reconnaître un artiste d’un islamiste ?
Décidément, alors que l’exécutif est déjà empêtré dans sa gestion de la vaccination, ce nouvel épisode vient illustrer les contradictions et les tergiversations d’une majorité inquiète de son avenir.
La majorité présidentielle au bord d’une crise schizophrénique majeure.
Sa « maturité politique », son « autorité naturelle », c’est effectivement ce qui vient illico à l’esprit quand on évoque la stature de l’homme.
Il paraît qu’Aurore Bergé « insupporte en haut lieu ». On verra bientôt si c’est seulement en haut lieu…
En politique, la fidélité n’est que rarement récompensée. On ne le dira jamais assez.
Qu’est-ce qu’elle n’aura pas fait pour s’attirer les bonnes grâces du souverain du Macronistan !
Depuis que nous sommes « passés de l’ombre à la lumière » (cf. l’élection de François Mitterrand, le 10 mai 1981), le n’importe quoi s’est fait une place de choix.
La clef de la révolution suicidaire que nous subissons est l’individualisme roi, le narcissisme absolu, la liberté comme émancipation des caprices…
On sait que la pauvreté langagière génère la violence, car lorsqu’au volant on est traité de « c…ard », on n’a pas la ressource de répondre « mes hommages à mademoiselle votre mère ».
L’affaire Benalla est bien une affaire d’État.
Décidément, les dévots de Macron manifestent leur sectarisme dans tous les domaines. On comprend que beaucoup de Français soient sceptiques sur l’issue du « grand débat ».
Voici donc les défauts que se reconnaissent les proches du gouvernement. Cela sent l’examen de conscience impitoyable.
Pourquoi, alors, me direz-vous, des bobards aussi gros ont pu ainsi se propager comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux ?
…c’est sans doute ainsi que l’on doit désormais appeler la baisse du pouvoir d’achat, notamment pour les familles et les retraités.
La politique française nous offre, aujourd’hui, de bien jolis animaux de compagnie.