Jean-Michel Blanquer
Cela confirmerait le poids politique qu’a acquis, en France, la communauté musulmane.
La défaite de Manuel Valls est peut-être la première note d’une petite musique, alimentée par certains sondages : plusieurs autres figures de la Macronie seraient en difficulté.
On ne cautionnera pas, évidemment, l’agression de nos hommes politiques, sous quelque forme que ce soit.
Sur Twitter, plusieurs leaders de la droite nationale ont condamné l’agression dont a été victime Marine le Pen…
Opération camouflage oblige, l’habitant ne doit pas s’apercevoir que le prétendant député vient de débarquer dans un lieu dont il n’a jamais entendu parler.
La responsabilité du ministère de l’Éducation nationale est entière. Soit cette mention – « autre » – n’a pas été vue par le ministère, ce qui serait une faute professionnelle majeure, soit elle a été laissée volontairement, ce qui est encore plus grave.
Les enseignants et les contribuables apprécieront.
Les critiques émises par certains syndicats dépeignent bien l’idéologie sectaire de leurs auteurs. Mais la palme revient à Yannick Jadot, le candidat écologiste à la présidentielle.
La réforme du bac a du plomb dans l’aile
De quels crimes inexpiables Jean-Michel Blanquer est-il coupable ? D’avoir peut-être cédé à sa promise sur le choix d’une destination très connotée bling-bling ?
Un train peut en cacher un autre. C’est pareil pour les polémiques. L’homme d’Ibiza, visiblement fatigué, est venu faire son mea culpa sur TF1, lundi
Les enseignants, donc, seront nombreux à battre le pavé, jeudi.
En plein chaos sanitaire au sein des établissements scolaires, le séjour au soleil révélé par Mediapart provoque un tollé au sein de la classe politique.
Le poids de la pandémie pèse sur toutes les professions ou presque. La profession dispose des vacances scolaires, ce qui n’est pas un mince avantage. Enfin, nos profs sont-ils si mal payés ?
Le troisième depuis… le lundi 3 janvier, qui avait été annoncé en catastrophe la veille de la rentrée à tous les parents et aux directeurs d’école, quand ces derniers ne l’avaient pas appris par voie de presse.
Alors qu’Éric Zemmour attaque le quinquennat Macron sur son bilan, notamment celui de l’Éducation, le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer a affirmé, dans un
Le latin et le grec sont moribonds, les moyens pour les enseigner insuffisants, la volonté politique inexistante. Dans ces conditions, Jean-Michel Blanquer risque fort de rester au stade des incantations.
Jean-Michel Blanquer réussit le tour de force de placer cette initiative de fin de règne sous le signe de la lutte contre le « wokisme » tout en parlant « inclusif ».
Rappelez-vous, c’était il y a seulement une semaine, les spécialistes tiraient la sonnette d’alarme : « Nous ne pouvons plus nous taire sur ce qui nous apparaît comme une grave dérive commise au nom de l’émancipation de l’« enfant transgenre »
Monsieur le Ministre, ne cherchez pas à passer pour ce que vous n’êtes pas, restez vous-même…
Évincer, selon le Petit Robert, c’est : 1) Déposséder juridiquement 2) Déposséder quelqu’un par intrigue d’une affaire, d’une place (chasser, écarter, éliminer, éloigner, exclure).
Au-delà du baccalauréat, le ministre s’interroge sur la possibilité d’étendre les « règles de mixité sociale et scolaire […] mises en place dans les lycées [parisiens] ». Comme si la mixité était la panacée pour relever le niveau de l’enseignement.
L’Europe, la vraie, s’est aussi faite à Varna, en 1444, avec le sang des Hongrois.
Notre adepte assumé de l’intelligence artificielle ne pouvait que tomber dans la facilité : vider le baccalauréat de sa substance au point de n’en laisser qu’une coquille vide…
Au moins a-t-il posé les mots. En attendant des actes…
Si certains cherchent encore la latitude et la longitude de l’Absurdistan, le GPS les conduira tout droit rue de Grenelle.
Les « remontées de terrain » auront sans doute réduit le ministre au repli tactique.
Cela confirmerait le poids politique qu’a acquis, en France, la communauté musulmane.
La défaite de Manuel Valls est peut-être la première note d’une petite musique, alimentée par certains sondages : plusieurs autres figures de la Macronie seraient en difficulté.
On ne cautionnera pas, évidemment, l’agression de nos hommes politiques, sous quelque forme que ce soit.
Sur Twitter, plusieurs leaders de la droite nationale ont condamné l’agression dont a été victime Marine le Pen…
Opération camouflage oblige, l’habitant ne doit pas s’apercevoir que le prétendant député vient de débarquer dans un lieu dont il n’a jamais entendu parler.
La responsabilité du ministère de l’Éducation nationale est entière. Soit cette mention – « autre » – n’a pas été vue par le ministère, ce qui serait une faute professionnelle majeure, soit elle a été laissée volontairement, ce qui est encore plus grave.
Les enseignants et les contribuables apprécieront.
Les critiques émises par certains syndicats dépeignent bien l’idéologie sectaire de leurs auteurs. Mais la palme revient à Yannick Jadot, le candidat écologiste à la présidentielle.
La réforme du bac a du plomb dans l’aile
De quels crimes inexpiables Jean-Michel Blanquer est-il coupable ? D’avoir peut-être cédé à sa promise sur le choix d’une destination très connotée bling-bling ?
Un train peut en cacher un autre. C’est pareil pour les polémiques. L’homme d’Ibiza, visiblement fatigué, est venu faire son mea culpa sur TF1, lundi
Les enseignants, donc, seront nombreux à battre le pavé, jeudi.
En plein chaos sanitaire au sein des établissements scolaires, le séjour au soleil révélé par Mediapart provoque un tollé au sein de la classe politique.
Le poids de la pandémie pèse sur toutes les professions ou presque. La profession dispose des vacances scolaires, ce qui n’est pas un mince avantage. Enfin, nos profs sont-ils si mal payés ?
Le troisième depuis… le lundi 3 janvier, qui avait été annoncé en catastrophe la veille de la rentrée à tous les parents et aux directeurs d’école, quand ces derniers ne l’avaient pas appris par voie de presse.
Alors qu’Éric Zemmour attaque le quinquennat Macron sur son bilan, notamment celui de l’Éducation, le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer a affirmé, dans un
Le latin et le grec sont moribonds, les moyens pour les enseigner insuffisants, la volonté politique inexistante. Dans ces conditions, Jean-Michel Blanquer risque fort de rester au stade des incantations.
Jean-Michel Blanquer réussit le tour de force de placer cette initiative de fin de règne sous le signe de la lutte contre le « wokisme » tout en parlant « inclusif ».
Rappelez-vous, c’était il y a seulement une semaine, les spécialistes tiraient la sonnette d’alarme : « Nous ne pouvons plus nous taire sur ce qui nous apparaît comme une grave dérive commise au nom de l’émancipation de l’« enfant transgenre »
Monsieur le Ministre, ne cherchez pas à passer pour ce que vous n’êtes pas, restez vous-même…
Évincer, selon le Petit Robert, c’est : 1) Déposséder juridiquement 2) Déposséder quelqu’un par intrigue d’une affaire, d’une place (chasser, écarter, éliminer, éloigner, exclure).
Au-delà du baccalauréat, le ministre s’interroge sur la possibilité d’étendre les « règles de mixité sociale et scolaire […] mises en place dans les lycées [parisiens] ». Comme si la mixité était la panacée pour relever le niveau de l’enseignement.
L’Europe, la vraie, s’est aussi faite à Varna, en 1444, avec le sang des Hongrois.
Notre adepte assumé de l’intelligence artificielle ne pouvait que tomber dans la facilité : vider le baccalauréat de sa substance au point de n’en laisser qu’une coquille vide…
Au moins a-t-il posé les mots. En attendant des actes…
Si certains cherchent encore la latitude et la longitude de l’Absurdistan, le GPS les conduira tout droit rue de Grenelle.
Les « remontées de terrain » auront sans doute réduit le ministre au repli tactique.
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