Le « plan migrant » ou le choc des civilisations

"En septembre 2015, l’Union européenne mettait au point un “plan” pour répartir les réfugiés qui fuyaient la guerre en Syrie. Le bilan de cette première expérience de la solidarité est contrasté", nous dit Ouest-France, ce matin.

Tout ça grâce à la photo d’un enfant kurde, échoué sans vie sur une plage turque, alors que les milliers de martyrs chrétiens d’Orient ne semblaient pas trop émouvoir l’Europe.

À l’heure où ce funeste plan de répartition des migrants prend fin, demandons-nous avec angoisse ce qui nous attend, étant donné que les réfugiés continuent d’affluer, Emmanuel Macron, champion de l’hydre européenne, ayant même proposé "d’aller les chercher sur place".

En attendant, ils essaiment sur notre territoire, avec notamment leur délinquance, comme on le constate par exemple à Rennes.

Les Européens de souche, et ceux venus d’ailleurs mais parfaitement intégrés, sont sommés de cohabiter avec des individus souvent violents, dont les mœurs ont démontré qu’elles étaient incompatibles avec les nôtres. Comme le montrent certains de leurs comportements avec les femmes, 71,2 % des migrants étant des hommes, selon le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés.

« Au 15 septembre, les pays de l’UE ont accueilli 28.239 réfugiés, dont 19.699 arrivés par la Grèce et 8.540 par l’Italie. C’est peu au regard des 98.255 personnes que les dirigeants s’étaient engagés à relocaliser, 29 % de l’objectif seulement », nous explique le même Ouest-France. Sauf que cette immigration, qui a explosé avec l’appel d’air initié par Angela Merkel en 2015, n’est pas quantifiable, étant donné l’importance du flux et la multiplicité des routes migratoires. Dit autrement, ces chiffres ne valent rien...

Quant à l’origine des migrants, une plaquette émise par TVLibertés nous renseigne bien plus honnêtement que les médias autorisés : on constate que les principaux « pays d’origine des migrants vivant en Europe » sont le Maghreb et la Turquie, où il n’y pas de guerre. Viennent ensuite de nombreux autres pays d’Afrique et effectivement la Syrie et l’Irak. Pour ces deux derniers pays, nombre de leurs ressortissants sont rentrés chez eux, car "certains réalisent après coup que leur vie n'est pas foncièrement meilleure [en Europe]" (source : Atlantico). Mouvement qui s’amplifie avec le recul de Daech sur place.

D’un point de vue financier, et selon un rapport de la Cour des comptes, "en France, le coût global de l’asile par an pour 66.000 demandes en 2013 s’élèverait à deux milliards d’euros". Une coquette somme à l’heure des restrictions budgétaires tous azimuts !

S’agissant des migrants, on peut en effet parler de crise, mais surtout pour les peuples européens !

Et TVLibertés de citer Michel Poniatowski, à l'époque ministre de l’Intérieur sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing : « C’est une tragique illusion que de vouloir faire coexister dans un même pays des communautés ayant des civilisations différentes. L’affrontement est alors inévitable. »

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